Environnement | | 08/02/2016
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Le ministre promet de ne pas augmenter le nombre de décollages et atterrissages à l’aéroport d’Orly

Le ministre promet de ne pas augmenter le nombre de décollages et atterrissages à l’aéroport d’Orly

Alors que les riverains de l’aéroport d’Orly s’inquiètent des conséquences du nouveau règlement européen qui prévoit de remplacer la limite de décollages et atterrissages par  un quota de nuisance sonore,  un système déjà en oeuvre à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle, en s’appuyant sur l’IGMP (Indicateur global mesuré et pondéré), 

le député PRG de la circonscription a écrit au secrétaire d’Etat aux transports, Alain Vidalies, pour le questionner sur une éventuelle remise en question du plafonnement des mouvements à Orly, dont l’aéroport est particulièrement proche des habitations, ainsi que du couvre-feu.

“La remise en question de ces deux protections constituerait un dommage majeur pour les riverains de l’aéroport qui subissent déjà, dans l’état actuel de la situation, de lourdes nuisances qui portent atteinte à leur tranquillité et à leur santé”, défendait le parlementaire dans son courrier du 22 octobre 2015.

Dans sa réponse du 3 février 2016, le secrétaire d’Etat a mis les points sur les i et précisé que “ce nouveau règlement ne remet nullement en cause les restriction d’exploitation en vigueur sur l’aéroport de Paris-Orly“. Le nombre de créneaux maximum restera donc à 250 000 par an. De même, le secrétaire d’Etat a confirmé que le couvre-feu perdurerait bien de 23h30 à 6h.

 

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