La table-ronde organisée lundi 14 mars par Claude Evin, directeur de l’Agence régionale de santé (ARS) en présence de Mireille Faugère, directrice de l’Assistance publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP) pour discuter de la fermeture du service de chirurgie cardiaque au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Henri Mondor de Créteil
avec les parlementaires du Val de Marne – tous unis contre cette décision, n’a pas répondu à leurs attentes. ARS comme AP-HP ont réaffirmé leur décision de fermer ce service afin de rationaliser l’organisation au niveau régional (voir billet plus détaillé).
Un fin de non recevoir vivement regrettée par les élus de gauche comme de droite. “La disparition de ce service de pointe sera préjudiciable à l’aura du Centre hospitalier universitaire. Il est vraiment dommage que l’Est parisien soit toujours le parent pauvre dans ce type de décision“, a reproché le Sénateur Maire du Plessis-Trévise, Jean-Jacques Jegou, invité à un meeeting organisé par le MoDem du Perreux sur Marne lundi soir. Et de rappeler le choix final de Boulogne Billancourt, il y a quelques années, pour accueillir l’Institut national du Cancer (INCa), alors que Villejuif, réputée pour son pôle anti-cancer, était sur les rangs. “On croit faire des économies en fermant ce service mais, la réalité, ce-sont aussi des heures de transport supplémentaires en ambulance pour les nombreux val de marnais et seine et marnais qui seront obligés de se rendre à la Pitié Salpêtrière, dans le centre de Paris.”
Je réitère mes propos : les malades comptent pour du beurre. La gestion de certains hôpitaux ne s’appuie plus que sur une simple opération comptable. Adieu les malades. LA HONTE A NOS DIRIGEANTS !
Bonjour le tiroir caisse ! Médecine à deux vitesses !
VIVEMENT 2012 POUR DEGAGER CE PRESIDENT INHUMAIN QUI RESONNE QU’EN TERMES D’ARGENT !
Il ne peut pas y avoir de solution pour un problème mal posé
et les élus qui sont associés à la réflexion depuis 2009 le savent très bien
mais l’objectif est ailleurs, il s’agit de faire de l’émotionnel à quelques heures des élections cantonales
la France est en retard dans l’adaptation de ses structures médicales qui reposent très largement sur des concepts et des technologies dépassés, et l’AP-HP est le plus mauvais élève de la classe
si l’on veut une réponse de proximité adaptée aux technologies d’aujourd’hui il faut développer des unités d’urgence de premier niveau, par exemple en intégrant cela dans un projet d’extension des urgences sur Armand Brillard
Dommage que certains préfèrent l’intérêt particulier d’Eiffage à l’intérêt général
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