L’annonce hier des 900 suppressions de postes par le groupe Sanofi (voir article détaillé) a confirmé les craintes des salariés. Même si les activités du Val de Marne ne sont pas a priori concernées par les redéploiements, l’inquiétude règne. De nouvelles actions sont prévues aujourd’hui à Toulouse, où est attendu Jean-Luc Mélenchon, mais aussi à Alfortville.
“900 postes supprimés, c’est 900 postes de trop. Et ce chiffre ne comprend pas le site de Toulouse. Au total, cela fera donc plutôt 1500. Dans le Val de Marne, si les mesures d’âge sont proposées, ce-sont 100 à 200 personnes qui pourraient quitter le site de Vitry sur Seine, s’inquiète Laurent Ziegelmeyer, de la CGT sanofi. Concernant les perspectives de renforcement des activités val de marnaises, le communiqué d’hier est aussi plus nuancé que celui de juillet, qui prévoit désormais de ne renforcer que la recherche et simplement de maintenir le développement. Nous sommes particulièrement sur nos gardes car les promesses qui nous ont été faites il y a quelques années concernant le développement du site vitriote n’ont pas été tenues (voir article précédent à ce sujet). Et concernant Alfortville, les essais sur les animaux pourraient aussi être menacés de passer en sous-traitance d’ici quelques années“, cite encore le syndicaliste.
Mobilisation à Alfortville jeudi 27 septembre
Une nouvelle mobilisation est prévue ce jeudi 27 septembre dans le cadre des Jeudis de la colère, rendez-vous instauré par les syndicats depuis plusieurs semaines. A Toulouse, Jean-Luc Mélenchon est attendu pour soutenir les salariés. Dans le Val de Marne, l’intersyndicale (CGT, CFDT, CFTC, CFE-CGC, Sud chimie et SD) a appelé à un débrayage au moment du déjeuner et donné rendez-vous sur le site d’Alfortville à 12h30 pour distribuer des tracts à la population.
Zigelmeyer après avoir fait ts les parti politique pour finalement
Au parti de gauche , le voila à la CGT après être passe à cfdt .
Un vraie girouette
Bonjour,
Le courage c’est de signer quand on a des choses à dire.
Oui j’ai changé plusieurs fois d’étiquettes politiques et syndicales. Je le revendique même, une organisation est pour moi un outil pas un but ! Par contre j’ai toujours été du côté du monde du travail, jamais dans le camp d’en face.Je ne perdrai pas mon énergie dans une vaine polémique trop occupé avec mes camarades à me battre contre ce plan de sanofi ! Rejoignez nous cher ami inconnu !
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