Un joli coup de filet que l’arrestation simultanée d’une vingtaine de personnes appartenant à un réseau organisé de cambriolage la semaine dernière par la police du Val de Marne. Et le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, est venu en personne féliciter les auteurs, la Surveillance du territoire, les groupes d’intervention régionaux (GIR) et la cellule anti-cambriolage, à Créteil ce lundi 28 octobre. Un symbole fort alors que les statistiques du cambriolage constituent le point noir des chiffres de la délinquance. (voir les statistiques dans le Val de Marne).
Alors que les atteintes aux biens ont diminué de près de 3% entre 2011 et 2012 dans le Val de Marne, les cambriolages ont en effet progressé de 7%, et les cambriolages d’habitations principales de 13% (en jaune dans le tableau). “Les cambriolages sont responsables pour un tiers de l’augmentation du sentiment d’insécurité entre 2007 et 2012“, a du reste rappelé le ministre, conscient du problème, évoquant en réponse le plan national de lutte contre les cambriolages lancé par son ministère fin septembre.
Le ministre a assuré de la progression du budget dédié aux moyens des policiers et des gendarmes alors que ces derniers se retrouvent face à des équipes organisées et puissamment équipées en cylindrées rapides et autres accessoires, tout en rappelant les âpres arbitrages dont le budget fait l’objet à Bercy…
L’efficacité de la police n’est jamais en cause. Tout le monde connait le problème mais personne n’en parle: les malfaiteurs sont inlassablement relâchés par les magistrats.
Lorsque Taubira est arrivée à la Chancellerie, elle a immédiatement arrêté tous les programmes de construction de prisons. Ensuite, elle a dénoncé la surpopulation carcérale pour mieux justifier de relâcher toujours plus de délinquants dans la nature.
Pourtant, les solutions sont simples et de bon sens:
1) Construire des prisons,
2) Définir des peines planchers pour empêcher les magistrats de relâcher des multirécidivistes,
3) Prévoir une peine pour tous les délits même les plus mineurs pour éviter le sentiment d’impunité,
4) Construire des maisons de correction pour rééduquer les mineurs multirécidivistes,
5) Retirer la nationalité française à tous les djihadistes car ils haïssent l’occident et donc la France puis les expulser.
6) Expulser les délinquants étrangers (avec leur famille, regroupement familiale exige) car ils n’ont rien à faire en France.
Si seulement on arrêtait de subir le terrorisme intellectuel des gauchistes et des journaleux, on prendrait les mesures adéquates. N’oublions pas que ces mêmes gauchistes défilaient main dans la main avec les islamistes qui hurlaient dans les rues de Paris “mort aux juifs”. C’est dire s’il est grand temps de mener le combat idéologique contre eux.
La colère gronde en France contre le laxisme généralisé des politiques. Soit les partis de gouvernement se décident à traiter sérieusement le problème, soit l’extrême-droite arrivera au pouvoir dans peu de temps.
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