A peine la cloche de rentrée sonnée, la mobilisation a commencé pour demander ici ou là une ouverture de classe ou de poste. A Bonneuil sur Marne, la fermeture d’une classe à l’école primaire Henri Arles sur constat de rentrée (lors que les effectifs sont en-dessous du seuil de fermeture) n’est pas passée inaperçue.
«Nous demandons à ce que le poste d’enseignant de cette classe ne soit pas supprimé mais soit transformé en moyen supplémentaire pour la lecture. L’école qui est en ZEP (Zone d’éducation prioritaire) en a grand besoin», explique Mireille Cottet, maire-adjointe en charge des questions scolaires. Venue en nombre soutenir le dispositif de SOS Rentrée à Créteil ce mardi après-midi, la délégation de Bonneuil espérait être reçue par la Direction des services départementaux de l’Education nationale (DSDEN), munie de 269 pétitions fraîchement signées du matin.
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