Alors que Marine Le Pen vient de réviser à la baisse le nombre de listes Front National aux municipales sur l’ensemble du pays, indiquant espérer atteindre les 500, le FN du Val de Marne a confirmé le chiffre de 10 à 20 listes FN ou Rassemblement Bleu Marine dans le département, à l’occasion de la venue du vice-président du parti, Louis Aliot, pour soutenir le candidat Maxime Chevallier au Plessis-Trévise.
Concrètement, quatre listes FN sont déjà annoncées, à Champigny-sur-Marne (Jean(Marie Rougier), Villiers-sur-Marne (Graciosa Batista), Limeil-Brévannes (Jean-Jacques Lejemble) et Le Plessis-Trévise (Maxime Chevallier). Villeneuve-Saint-Georges et L’Haÿ-les-Roses, seules deux villes à disposer d’un conseiller frontiste dans le département (le délégué du 94 Dominique Joly et Jeanine Le Néonard), devraient aussi renouveler leur présence. En dehors du FN, une liste du Siel (membre du Rassemblement bleu marine) s’est aussi annoncée à Fontenay-sous-Bois avec Christian Tollari. Ce qui fait donc déjà 7. Des opérations de tractage sont aussi en cours à Arcueil, Vitry-sur-Seine et Le Perreux-sur-Marne. Aucune liste RBM ou FN n’est pour l’instant prévue à Villeneuve-le-Roi, où Marine Le Pen a dépassé les 20% lors des présidentielles de 2012. Le chiffre de dix semble donc assez atteignable. Pas évident en revanche que le parti s’approche de la vingtaine.
Côté programme, le Front National puise à la fois dans une charte commune conjuguant sécurité (vidéosurveillance, police municipale armée), non attribution de subventions aux associations considérées comme “communautaristes”,non augmentation des impôts, commission d’attribution des logements… et de spécificités locales. A Limeil par exemple, le candidat Jean-Jacques Lejemble veut installer un marché des terroirs et réimplanter les deux terrains de boules. Au Plessis-Trévise, le candidat Maxime Chevallier a décidé de s’attaquer au budget de la ville, ce qui est assez osé alors que la rigueur budgétaire figure parmi les priorités de la majorité Modem de la commune, promettant dans les semaines à venir des tracts détaillés sur la gestion financière de la ville.
Pour le FN, la présence aux élections municipales n’a pas pour seul objectif de gagner des villes, le parti de Marine Le Pen n’en aura probablement aucune dans le Val de Marne, mais de disposer d’élus locaux officiels, qui seront aussi des grands électeurs. “Une étape importante avant les prochaines échéances électorales“, souligne Louis Aliot.
Reste bien sûr à boucler les listes, avec une marge. “C’est plus facile que je ne le pensais, déclare Maxime Chevallier, mais la liste n’est pas encore achevée“.
Un premier cercle de militants frontistes depuis leur plus jeune âge
Si le FN vise à élargir son électorat en puisant parmi les déçus de la gauche et de la droite, faisant de la dénonciation de l’UMPS ou UMPC l’un de ses leitmotiv, le parti s’appuie d’abord sur des militants ou sympathisants de longue date, quand bien même ils sont jeunes. “J’ai toujours été sympathisante FN, depuis que j’ai commencé à avoir des convictions politiques, et ai voté pour Jean-Marie Le Pen avant de le faire pour sa fille”, témoigne Bénédicte, la trentaine, directrice de campagne de Maxime Chevallier au Plessis, lequel, à 26 ans, était aussi sympathisant longtemps avant d’adhérer il y a deux ans “pour aller plus loin”. Dans la salle venue applaudir le vice-président du parti et le champion local, il en est de même pour quasiment toutes les personnes présentes, quelque soit leur âge. “J’ai toujours été sympathisant FN, ma famille aussi est frontiste après avoir été à droite“, indique le candidat d’une ville d’un département voisin, tout comme ses camarades militants. “Je suis sympathisant de longue date mais avant je n’osais pas m’afficher car j’étais chef d’entreprise“, note encore Jean-Philippe Levêque, directeur de campagne de Maxime Chevallier au Plessis. A Limeil-Brévannes, les Thibaud, un couple de militants, étaient déjà présents à la fondation du FN au début des années 1970, venant d’Ordre nouveau, l’un des mouvements fondateurs du parti, même s’ils ont fait une escapade avec Bruno Mégret en 2001.
Un étudiant en langues étrangères appliquées, encore à la fac, témoigne en revanche avoir été tenté par le communisme avant d’opter pour le programme du Front National. A Limeil, le candidat Jean-Jacques Lejemble, traiteur de profession, était sympathisant de droite, et indique que l’élément déclencheur pour adhérer au FN a été la demande de buffets halal et des appels à la prière dans la rue il y a déjà plusieurs années (et qui se sont depuis arrêtés).
C’est bien, mais à mon avis il y aura plus de listes FN ou RBM que prévue, comme souvent. La 20ème est possible, à condition que les électeurs s’investissent. Il y a une vraie demande et le FN a le vent en poupe. ça fera plus d’une centaine de liste dans toute l’Ile de France ce qui est remarquable. en avant les résistants !!
Voyons les finances de cette ville: En 2011, le montant total des dettes dûes par la commune de Le Plessis-Trévise était de : 31 307 000 €.
Si l’on rapporte cette dette au total des rentrées d’argent de votre commune (que l’on nomme produits de fonctionnement) et qui étaient de 20 013 000€ en 2011, alors cette dette représente : 156.43% de ses revenus annuels.
Par rapport aux 18 632 habitants de Le Plessis-Trévise, en 2011 le poids de cette dette représente 1680 € par habitant.
Concrètement, une famille de 4 personnes qui habite Le Plessis-Trévise, devra donc payer dans ses impôt locaux futurs : 6720 € pour le remboursement de cette dette (plus les intérêts aux banques déjà gavées et soutenues par vos impôts nationaux, bien sûr).
A noter : la valeur moyenne de la dette par habitant des communes françaises similaires à Le Plessis-Trévise était de 935 € par habitant, en 2011.
A Le Plessis-Trévise, la dette due par habitant de la commune en 2011 est donc plus élevée de 79.68 % que pour des communes similaires.En 2011, Le Plessis-Trévise a dû ainsi payer 2 892 000 € pour rembourser sa dette.Cela représente : 155 € par habitant de Le Plessis-Trévise, bien entendu prélevés du budget de votre commune et financés par vos impôts locaux.(source Proxiti).Maxime Chevallier a donc raison de vouloir s’attaquer au budget de la ville et c’est bien le résultat désastreux depuis 1983 du Maire Modem dont le budget n’as été ,loin de là ,sa priorité!!
Ceci est votre point de vue.
En ce qui concerne le stationnement depuis la mise en place du stationnement payant j’ai enfin une place en centre ville pour m’arrêter ce qui était très difficile avant.
Les jeunes en centre ville ne font rien de mal si ce n’est discute fortement d’ailleurs à chaque appel de ma part des forces de l’ordre une solution a été trouvée. Et s’asseoir sur un banc de bus même en étant jeune n’est pas interdit !!!
Il manque des occupation pour les jeunes en soirée je vous l’accorde une maison de quartier serait idéal pour les recevoir.
La circulation est rendu difficile avenue ardouin en raison de l’aménagement, pour le sens de circulation moi je trouve cela fort sympathique d’autant plus que dans ma rue avenue Thérèse il y a beaucoup moins de véhicule qui circulent qu’avant et donc moins de bruit.
Pour le reste je suis en accord avec vous mais il faut relativiser les espaces verts sont forts nombreux au plessis et bien entretenu.
Moi je trouve qu’il fait bon y vivre au plessis.
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