Les familles de Roms qui avaient investi le Samu social situé au sein de l’ancien hôpital Jean Rostand dans la journée du 14 novembre, après l’évacuation du bidonville de la rue Ernest Renan, ont quitté les lieux dès le vendredi dans la soirée.
La majorité des personnes qui s’étaient retrouvées sur place étaient des familles à qui il avait été proposé une solution de mise à l’abri provisoire au moment de l’expulsion. Une solution considérée comme provisoire et entraînant la dispersion des familles, refusée par la majorité d’entre elles. Après discussions avec les services de la préfecture, 32 personnes ont finalement accepté la solution de mise à l’abri provisoire vendredi soir et 11 se sont effectivement rendues sur les lieux.
Ce lundi 17 novembre, de nouvelles discussions devaient se tenir entre la préfecture, les familles et les collectifs de soutien, pour envisager l’avenir.
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