Les demandes en duel oral se multiplient à l’approche des municipales et du Perreux-sur-Marne à Villecresnes, des candidats réclament le débat à leurs adversaires. A Alfortville, c’est le candidat Modem-Udi François Tanguy qui a invité Luc Carvounas, le sénateur-maire PS sortant à une joute verbale.Les autres candidats n’ont pas été sollicités.
“Quelle réforme des rythmes scolaires voulons-nous pour améliorer l’éducation de nos enfants ? Comment assurer une gestion saine des finances de notre commune afin de réduire la pression fiscale qui pèse tous les jours sur nos concitoyens ? Quelle politique du logement pour garantir la justice et la solidarité, face aux besoins croissants de nos habitants ? Quel cadre de vie voulons-nous pour notre commune, polluée par les problèmes de stationnement ?”, telles étaient les questions dont voulait débattre en tête à tête François Tanguy avec Luc Carvounas.
Ce dernier l’a renvoyé dans ses 22 mètres dans un courrier lui rappelant les précédents épisodes de la campagne alfortvillaise. “Il y a à peine six mois, vous m’affirmiez à deux reprises votre sensibilité de gauche, et votre envie d’entrer dans ma majorité municipale. J’en avais pris acte et je vous avais proposé de travailler aux contenus programmatiques d’un accord politique. Puis, au gré de votre opportunisme, en octobre de l’année dernière, je vous retrouvais, sans même que vous n’ayez eu la courtoisie républicaine de m’en informer, sur les marchés du dimanche matin avec le candidat UDI. Les déboires de ce dernier, son retrait par les instances départementales de l’UDI, ont fait de vous, depuis à peine deux semaines, le nouveau candidat Modem-Udi. C’est le jeu politique et je le respecte. Mais les Alfortvillais méritent mieux qu’un jeu pathétique de chaises musicales. Aussi, commencez par nous dire avec quels colistiers et quel programme politique vous comptez vous présenter aux suffrages de nos concitoyens en mars prochain avant de lancer des invitations à un débat qui n’ont pas d’autre objet que de vous donner une publicité personnelle.”
Ce qui se passe au niveau National est défendu et copié par les Municipalités de gauche c’est à dire que seul compte à leurs yeux “le clientélisme” et pour cela ils se servent de nos impôts déjà très élevés dans notre commune.
Il serait temps que la transparence et la justice tant prônées par le PS soient enfin de mise dans notre ville.
Le maire de la commune ne veux pas de débats car comment expliquer aux Alfortvillais les somptueuses subventions notament les 43 000€ au club de basket pour effacer une dette … source (Le parisien)
Le candidat MoDem-UDI François Tanguy parle de questions municipales importantes, le ‘premier secrétaire fédéral’ PS sénateur-maire (bonjour le cumul !) Carvounas riposte par des attaques personnelles. On voit le niveau.
Ah si les Alfortvillais pouvaient ouvrir les yeux et voter sans idéologie ,ce serait super et les choses pourraient enfin changer dans notre ville, car qu’on le veuille ou non la politique désastreuse du gouvernement sur la fiscalité est le modèle de ce qui se passe à Alfortville
La Mairie dépense à tort et à travers et pour combler les trous: elle augmente les impôts de ses concitoyens.
Ce sont de piètres gestionnaires
Il faut bien que Mr Carvounas attaque sous cet angle pour éviter le débat ,il ne va pas s’abaisser à cela ce cher homme car ce n’est pas Alfortville qui l’intéresse mais une future place près de Valls et si cela arrive ,il laissera la Mairie à un de ses colistiers comme un héritage car pour les socialistes en place depuis des lustres, Alfortville leur appartient et que personne n’ose les contrarier !!!!
Mais l’idée d’un débat entre tous les prétendants à la Mairie d’Alfortville , personnellement je serais pour.
Mais aujourd’hui ils font les fiers comme d’habitude mais chaque fois qu’il le peut ,Rouquet se montre près de son héritier car ce dernier ne semble pas faire l’unanimité dans la ville loin de là ,alors un petit coup de main …..
Ce en quoi Luc Carvounas n’a pas tort vis à vis du candidat Modem- UDI.
Débarqué de nul part, et sans présenter quoi que ce soit…
Mais l’idée du débat, reste tout de même une idée.
Luc Carvounas, devrait de lui même organisé la confrontation avec toutes les candidats.
Je fais également remarquer que Luc Carvounas a enrôlé sur sa liste des personnes, qui ne sont en quêtes, qu’un d’un individualisme à la limite du foutage de g… Je pense à Mme Rasilly (que je raille) et M Vitse, girouette, tout autant que Mr Tanguy, comme semble le décrire Luc Carvounas dans ses propos…
Lire dans les commentaire que Luc Carvounas sera ré élu facilement et qu’il n’a pas besoin de se prêter à l’échange du débat… Bel exemple de démocratie, sachant que les socialistes ont fait d’Alfortville, une sorte de bastion. Simpliste, d’encarter les gens et de faire avaler des couleuvres à des personnes en marge des réalités. Les électeurs PS, feraient mieux de comparer leur train de vie et celui de leurs “élus”.
La déconvenue serait grande.
Je suis sidéré de voir avec quelle rapidité les appareils centristes ont réinvesti un candidat après la chute du précédent, quand on sait les semaines que cela avait demandé avant l’été pour les investitures officielles …
Et là, en moins d’une semaine tout était réglé… mais au fait, est-ce que les instances officielles ont vraiment investi ce candidat?
Florent,
Ne soyez pas si prétentieux, les victoires ne sont jamais acquise d’avance. C’est toujours quand on s’y attend le moins que cela arrive.Mr Carvounas n’est pas Mr Rouquet. Il lui faudra du temps pour être connu de tous. Hors très peu de personne le connait à Alfortville. Et qu’il soit une étoile montante du PS ou pas , les gens n’en n’ont que faire, juste les militants.
Se rabaisser à debattre avec un candidat des problèmes concrets des Alfortvillais ? M. Tanguy n’a décidément pas encore compris que M. Carvounas sacrifie déjà de son temps précieux pour faire campagne alors qu’une victoire écrasante lui est déjà acquise. C’est le dauphin naturel de M. Rouquet, c’est l’étoile du PS ayant vocation à rejoindre le firmament Valsiste, c’est le poids lourds du 94. Veuillez cesser de l’importuner avec ces formalités électives. Ne troublez pas son plébiscite petit importun.
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