L’Union locale du syndicat CGT Chômeurs rebelles du bassin villeneuvois organise une réunion publique ce mardi 4 février à 10h à la CGT Villeneuve-Saint-Georges en présence d’Alain Florin, de la direction Nationale des Chômeurs CGT, pour
présenter ses propositions dans le cadre des Négociations de la Nouvelle Convention Unedic qui organise les droits des chômeurs.
J’atteste moi également avoir subi un très gros préjudice depuis la mise en place des nouvelles dispositions liées au droits dit recheargeables. Avant ces dispositions, je touchais une indemnité mensuelle de licenciement de 975,40 € maintenant je ne touche plus 585,24 € soit une perte de plus de 390 €. J’ai d’autre part perdu également l’abattement auquel j’avais droit au regard du nombre de jours indemnisés en tant que chomeur de plus de 50 ans.
J espere qu’une action pourra nous permettre d’être réintégrés dans nos droits
Aujourd’hui une masse considérable d’emploi existe de seul fait que l’application des règles professionnelles et sociales sont contingentées par les exigences “budgétaires” plus preècisément financières.
C’est bien contre cela qu’il faut ce rebeller et effectivement le chômeur seul ne peut le faire, il y nécessité de la rencontre entre l’exigence du – BON TRAVAIL VALORISANT et RECONNU- exprimé massivement par les salariés de l’ouvrier au cadre supèrieur et l’exigence du – besoin de travail – exprimé par la totalité des chômeurs qui aspirent d’abord à cela avant de parler indemnisation.
1 jour travaillé doit être égal à un jour indemnisé voila un système simple et efficace qui pose le principe du patron licvencieur = patron payeur.
Hé oui, il faut remettre la sociètè à l’endroit et ce n’est pas la trajectoire prise actuellement, la FINANCE est l’ENNEMI du PEUPLE.
Aujourd’hui une masse considérable d’emploi existe de seul fait que l’application des règles professionnelles et sociales sont contingentées par les exigences “budgétaires” plus preècisément financières.
C’est bine contre celma qu’il faut ce rebeller et effcetivement le chômeur seul ne peut le faire il y nécessité de la rencontre de l’exigence du – BON TRAVAIL VALORISANT et RECONNU- exprimé massivement par les salariés de l’ouvrier a
“chômeurs rebelles”…J’ai tendance à penser qu’être au chômage, si l’on veut sortir de cette situation , doit mobiliser énergie et persévérance. Chercher un emploi dans le contexte économique d’aujourd’hui est une chose difficile. Se rebeller alors mais contre quoi ? Certains syndicats ont une vision quelque peu déformante des véritables combats à mener !
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