Après les pavillons de l’exposition universelle de Milan lundi, la délégation emmenée par la CCI du Val-de-Marne a visité ce mardi 20 octobre l’équivalent milanais du MIN de Rungis ainsi que la Chambre de commerce milanaise. Ce voyage d’études,
qui réunit à la fois des représentants d’entreprises du MIN de Rungis, du Conseil départemental, de la Société du Grand Paris (dont le chargé de mission Cité de la gastronomie Joël Gayssot), des élus locaux et le préfet, sous l’égide de la CCI, vise à s’inspirer et réfléchir sur le devenir de la Cité de la gastronomie. Rien de tel que quelques jours d’échange pour se concentrer sur la question. La volonté commune : avancer vite. “Nous sommes déjà en 2016. En 2024, nous aurons une gare Cité de la gastronomie entourée de champs si le projet n’avance pas“, résume Jean-Jacques Bridey, député-maire PS de Fresnes.
Dans ce contexte, l’idée de s’embarrasser des structures en tiroir d’un syndicat d’études associé à différents groupes de travail pourrait être abandonnée pour partir dans l’opérationnel directement en associant d’emblée public et privé pour développer des projets viables du point de vue économique.
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Le pavillon français de Milan atterrira-t-il à la cité de la gastronomie Paris-Rungis?
partenarait public-privée ça signifie les ertes seront à la charge du public et le bénéfice irant dans la poche du privé. Dans tous les cas le contribuable est le pigeon; petite précsion ce systéme est autorisé en France par une ordonnance du 17 juin 2004, a cette époque le premier ministre était Raffarin
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