L’usage du bois de Vincennes reste conflictuel entre la mairie de Paris et les villes riveraines. Dernière polémique en date, l’usage du stade Jean-Pierre Garchery, construit par Joinville-le-Pont en 1948 sur le territoire de la ville de Paris, à proximité de l’entrée de l’autoroute A4, dans le cadre d’une concession renouvelée en 1991 pour une durée de 25 ans, c’est-à-dire jusqu’au 30 juin 2016.
Alors que le renouvellement de la concession était en cours de négociation depuis 2009, la capitale a finalement décidé de reprendre 50% des créneaux d’occupation, principalement les mercredi après-midi, du samedi et du dimanche, très demandés par les associations. “Cela entraînerait ni plus ni moins la mort de 3 de nos plus importantes associations que sont le
Racing Club de Joinville (800 licenciés), l’Athlétique Club Paris Joinville (750 licenciés) et le Racing Tennis Club de Joinville (250 licenciés). Près de 2000 adhérents pourraient se retrouver interdits de stade. Compte tenu de la situation excentrée de cet équipement par rapport au 12ème arrondissement, la ville de Joinville-le-Pont est la plus immédiatement concernée par son utilisation”, dénonce le maire LR de Joinville-le-Pont, Olivier Dosne, qualifiant cette décision de brutale et sans concertation, indiquant que la ville de Joinville avait élaboré, en
concertation avec les services de la ville de Paris, “un projet ambitieux de rénovation de cet espace à hauteur de 12 millions d’euros pour les 25 prochaines années“.
“Les services de la ville de Paris ont proposé à Joinville une alternative qui consisterait à reporter certains créneaux sur le Parc du Tremblay. Une solution totalement irréaliste, tous les créneaux étant déjà utilisés au parc du Tremblay, avec des listes d’attente“, reprend l’élu qui a lancé une pétition en ligne.
1 septembre 2015 à 20 h 03 min | Signaler un abus
Supprimons ce stade ça permettra de fluidifier le trafic automobile dans le…
Supprimons ce stade ça permettra de fluidifier le trafic automobile dans le secteur.
Sans oublier que le stade est mal desservit en transports en communs.
5 septembre 2015 à 23 h 15 min | Signaler un abus
ici c”est Paris, allez faire votre sport monsieur le maire , sur votre ville,…
ici c”est Paris, allez faire votre sport monsieur le maire , sur votre ville, c’est vrai le m2 a Joinville le pont c’est pour le grand standing, dosne m al à la tête , plus de stade, pour la cité des sports, c’est marrant, il reste la place du marché soyez immaginatif!!!!!!
6 septembre 2015 à 15 h 55 min | Signaler un abus
Faut se calmer, on a donné à Paris des stades et des bois de banlieues pour…
Faut se calmer, on a donné à Paris des stades et des bois de banlieues pour faire croire que PAris était une ville riche en équipement.
Sans les deux bois (Vincennes et Boulogne), Paris serait la seule capitale mondiale sans bois sur ces terres, donc Napoléon 3 a concédé le bois de Vincennes à la ville de Paris, un décret a eu lieu en 1929 pour le rattacher officiellement à PAris alors qu’il ne lui appartient pas car il n’est pas sur ses terres.
CEea a permis de donner à Paris, une image “verte”.
Il en va de même pour ce stade.
Si un jour toutes les communes peuvent récupérer leurs bien, ça fera mal à Paris qui se retrouvera sans rien.
D’ailleurs JP Garchery, est un ancien maire de Joinville Le Pont.
Le stade a été financé et construit par la commune de Joinville, c’est facile pour Paris de récupérer quelque chose qu’elle n’a pas payé !
19 février 2016 à 11 h 28 min | Signaler un abus
Vous avez raison ! un simple décret pris en Conseil d’Etat pourrait reprendre…
Vous avez raison ! un simple décret pris en Conseil d’Etat pourrait reprendre à Paris le terrain du stade Garchery, et également certains bouts de terrain le long de l’autoroute A4 qui sont enclavés dans les communes de Joinville le Pont, Champigny, Nogent etc …
Afin de mieux réaliser le Grand Paris, que soit rendu aux communes du territoire T10, les parcelles dont Paris se prétend le propriétaire , mais qui lui a été attribué par un concédant (Napoléon III) qui n’en était pas non plus propriétaire.
Ce que l’Etat a fait, l’Etat peut le défaire ! … commençons par une requête au tribunal administratif .
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