“Oui à la réhabilitation, Non à la démolition et à la vente“. Tel le slogan qui a fleuri dans la cité Robert Lebon à Villejuif. Parmi les 10 quartiers du Val-de-Marné à avoir été retenus dans le cadre du Nouveau programme de rénovation urbaine (Npru ou Anru 2), ce quartier devrait bénéficier d’une régénération complète avec le soutien financier de l’Etat.
Si beaucoup de quartiers rêvent de bénéficier de ce programme, la perspective de voir débarquer des bulldozers inquiète toutefois sur le terrain. Ce lundi 5 octobre, une quarantaine d’habitants étaient réunis en fin d’après-midi malgré une pluie diluvienne, pour témoigner de leur attachement à leur cité.
“On ne touche pas à ma cité !” lance une habitante, installée dans l’une des tours de Robert Lebon depuis 1996. “Cela va faire 20 ans que je suis là, et 20 ans qu’on a des problèmes. L’arrivée du tramway a changé les choses et maintenant, on voudrait mettre les pauvres dehors !” s’enflamme-t-elle, persuadée que les futurs aménagements du quartier, et notamment la gare Villejuif Aragon du Grand Paris Express va favoriser la spéculation immobilière au détriment des habitants. Comme la quarantaine d’habitants de ces trois barres et quatre tours, elle a répondu à l’invitation de l’Amicale des locataires de la Confédération nationale du logement (CNL).
“Oui, c’est vrai, il faut faire des travaux” , reconnaît la locataire d’un duplex, confrontée à des problèmes d’humidité. “Mais on ne veut pas que tout soit détruit pour être revendu en chassant les habitants historiques du quartier” , reprend-elle. “C’est un quartier qui a mauvaise réputation et pourtant, personne ne veut en partir ! On tient à notre vie de quartier, à notre voisinage, à la solidarité entre les habitants” , ajoute un retraité. “Les logements de son bâtiment, appelé Tour 19 devraient être réhabilités pour être revendus dans le cadre d’un programme favorisant la mixité sociale dans le quartier” , reprend un habitant, précisant que le projet est encore flou. “C’est pour cela que notre mobilisation est pertinente” , insiste Nadine Suyre, présidente de l’Amicale des locataires Robert Lebon.
“Pour l’instant, rien n’est acté, tempère Franck Le Bohellec, maire LR de la ville. Nous avons simplement monté un dossier d’intention qui décrit le contexte et les intentions générales au niveau de la communauté d’agglomération du Val-de-Bièvre (CAVB), avec L’Haÿ-les-Roses (également retenu comme quartier d’intérêt national) et Le Kremlin-Bicêtre (retenu dans le cadre du programme régional). Ce cadre général prévoit de désenclaver le quartier, le connecter à la géothermie, développer une mixité fonctionnelle le long de la RD7 avec de l’activité économique, de l’insertion sociale via notamment une régie de quartier, un garage social, une maison des projets de l’Anru, développer les espaces verts, le stationnement en sous-sol, les connexions urbaines… Concernant le logement, il est prévu de passer, sur l’ensemble du périmètre, de 560 à 950 logements dont 50% en logements sociaux et 50% reste à prix maîtrisés, en accession sociale à la propriété ou en accession à la propriété. Selon les préconisations de l’Anru 2, 120 logements sociaux actuellement sur le site seront transférés ailleurs dans la ville. Pour l’instant, rien est arrêté concernant d’éventuelles destructions de logement. Ce qui a simplement été évoqué initialement par rapport à un diagnostic du bâti de l’OPH qui date de 2012, c’est que les quatre grandes tours centrales seraient dans une dynamique de réhabilitation et les trois petites seraient démolies après reconstruction, mais rien n’est arrêté à ce stade et cela dépendra de la concertation avec les habitants et des études à venir. La phase de concertation se tiendra durant l’année 2016, pour élaborer le dossier de préfiguration” , détaille le maire. Les Conseils citoyens, prévus dans le cadre de l’Anru 2 pour impliquer les habitants dans la transformation de leur quartier, ont été initiés au printemps 2015 et devraient être impliqués dans cette démarche précise l’élu.
Du côté de la CNL, on fait déjà les calculs. “La réhabilitation d’un logement social coûte en moyenne 75600 euros alors que sa démolition et sa reconstruction sur site revient à 101 236 euros , estime Patrick Berlier, président de la section locale de la CNL. Nous voulons que les habitants soient acteurs de leur avenir et co-auteurs de la rénovation du quartier.”
OMG ! ! Nouveau habitant à Villejuif , je suis en sideration devant le niveau bac à sable du débats entre les factions politiques…
Bref on pourra avoir accès aux plans de préfiguration quand ? Merci
Vingkong aller vous soigne et respecte ceux qui habite dans ces quartiers svp Les fachos pas à Villejuif merci je suis choqué par vos propos
Cassez tout ce béton immonde, faites des bâtiments de petites tailles, faites des espaces vert : ça sera plus humain. Toutes ces constructions datent de la période communiste et ne servaient qu’à entretenir le clientélisme et favoriser la base électorale. Cette époque est révolue, le Grand Paris avance et les cités ghettos n’ont plus leur place. La délinquance, le trafic de drogue doit aussi disparaître de notre ville.
Je trouve au contraire cet article objectif. Pour plus de détails, lire l’article si-dessous rédigé juste avant les vacances : http://www.laveniravillejuif.fr/spip.php?article425
Il y a un vrai débat entre les habitants sur l’opportunité de raser les barres les plus dégradées. Il y a une vraie demande de plus de mixité sociale et de “têtes blondes, comme à Montpellier”. Il y a des mères de familles qui demandent à quitter Lamartine. Il y a de jeunes adultes qui déménagent à Athis-Mons dès qu’ils ou elles en ont les moyens…
Mais le PCF Villejuifois est contre la rénovation de Lamartine depuis le début. Au contraire le PCF des autres villes du Val de Bièvre a voté l’actuel “schéma initial” (qui prévoit certaines démolitions-reconstructions, la vente de certains logement en accession sociale à la propriété et l’offre de logement sociaux en dehors du quartier) “dans l’intérêt de la population”.
Tout de la va encore beaucoup bouger…
Bioman écrit des choses pas intéressantes qui nous en apprennent beaucoup sur le projet de l’UC : « Il y a une vraie demande de plus de mixité sociale et de têtes blondes, comme à Montpellier » :
Cela signifie-t-il que l’UC envisage de reloger les catégories sociales les plus défavorisées dans les zones pavillonnaires ou en centre ville, socialement plus élevées, de manière à effectuer un lissage statistique à l’échelle de la municipalité ?
Et qu’il est prévu d’instaurer des quotas ethniques ?
C’est juste pour savoir.
La lutte contre l’apartheid social et ethnique qui s’est peu à peu installée en France, et à Villejuif en particulier, est un problème compliqué (mais pas complexe). La méthode des quotas pour le peuplement des HLM que suggère Monsieur Rosebud serait probablement trop brutale, mais c’est vrai que les gens souhaitent de la mixité. Voici comment l’expriment les femmes du Petit Bard, quartier populaire de Montpellier :
http://www.liberation.fr/societe/2015/06/03/en-classe-on-voudrait-des-petits-blonds-avec-nos-enfants_1322454
Natalie Gandais , adjointe à l’urbanisme et au logement, est interpellée aux Lozaits par des femmes qui font référence à ces femmes de Montpellier. On peut s’enfouir la tête dans la sable et ignorer cette aspiration des gens. Elle nous semble au contraire légitime.
Cher Bioman
Je ne suggère certainement pas des quotas ethniques comme vous l’affirmez de manière absolument scandaleuse, selon un procédé rhétorique où les mots prennent le pas sur la pensée qui ne trompe plus guère que vos idôlatres compagnons de sentier GroVFois.
Je fais l’hypothèse que vous maîtrisez la sémantique de « suggérer » ; du coup il se confirme que vous qui entretenez à des fins clientélistes une confusion ô combien dangereuse entre mixité ethnique et mixité sociale.
Vous réclamez plus de têtes blondes, donc un dénombrement, puisque pour en mettre davantage, il faudra compter et valoriser des indicateurs quantitatifs. Je trouve significatif qu’un élu prétendument vert de la ville où j’habite, défende cette idée aux relents biterrois.
Il n’a peur de rien Bioman, brinquebalé entre le mur de l’hystérie anticommuniste à caractère quasi-pathologique et la satisfaction d’une ambition personnelle d’ampleur somme toute limitée, au crépuscule d’une carrière politique qui aura embrassé la quasi intégralité du spectre politique, depuis l’extrême gauche la plus dure jusqu’à l’aile droite des Républicains de M. Sarkozy. La vacuité de votre propos, au-delà de l’arrière-goût de médiocrité qu’il laisse en fond de bouche, s’avère riche d’enseignements : tout le monde a bien compris que finalement votre ralliement au parti de Mme Morano et de M. Hortefeux fait sens, que ce n’était pas uniquement une opposition locale soi-disant « de gauche » à la liste de Mme Cordillot, mais bien une épousaille idéologique aux thèse de la droite la plus dure.
La CNL a raison de souligner les coûts en termes de réhabilitation et en termes de démolition. La question est de savoir pourquoi est-il décidé de démolir, donc de payer plus cher, au lieu de réhabiliter.
Quand on regarde la composition du conseil municipal actuel, force est de constater que certains ont des professions qui ont tout à gagner à ce genre d’opérations. Les craintes que d’autres ont exprimé au lendemain des élections municipales s’avèrent exactes. On se retrouve bien dans des opérations immobilières où le social ne pèse pas grand chose face aux bonnes affaires qui se profilent dans notre ville.
Quant à la mixité sociale, elle veut dire quoi ?
Pour M. Lipietz, il s’agit d’un “manque de têtes blondes, comme à Montpellier”. Pourquoi, les cheveux crépus vous répugneraient-ils “comme à Montpellier” dont le maire a toujours soutenu son prédécesseur, Fraiche, qui trouvait qu’il y avait trop de “bougnoules” en France et que les harkis étaient des sous-hommes ?.Dans la réalité, parler de mixité sociale, c’est chasser des “pauvres” pour installer des “riches”. On pourrait l’entendre si le terrain était nu, comme c’était le cas dans le quartier du Lac à Créteil, mais à Villejuif ce n’est pas le cas.
Et “l’accession sociale à la propriété”, ça entraîne quoi ? Il suffit de voir le bilan qui en a été tiré là où dans les années 1980, on la vantait tant. Face au chômage en progression, ceux qui se sont engagés et ont perdu leur emploi par la suite se sont trouvés contraints de vendre quand ils n’étaient pas expulsés. Et ceux qui s’imagineraient qu’avec le Grand Paris, ils pourront faire des affaires se mettent le doigt dans l’œil jusqu’au coude. D’une part, la réglementation et, d’autre part, les lois du marché immobilier (ou si l’on préfère la loi du plus fort) se chargeront très vite de les ramener sur terre. Ils ne feront aucune plus-value immobilière.
Pire, comme les immeubles dans lesquels ils se trouveront seront “sociaux”, nombre de leurs habitants, à cause du chômage et de la précarité, des enfants adultes au chômage qu’ils sont contraints d’héberger, bref de la dégradation continue du niveau de vie réel, n’accepteront pas certains travaux d’entretien ou en repousseront au maximum les délais. Il y aura blocage et les immeubles se dégraderont, comme cela s’est produit ailleurs. Le résultat, le plus probable, sera une moins-value.
La propriété, c’est le vol, disait Proudhon. Au-delà du fait qu’il aurait dû préciser la propriété privée et non la propriété en général, dans le cas du logement social, celle-ci est un leurre.
Que certaines démolitions soient nécessaires, nul n’en doute. Et, à Vitry sur Seine, la cité Balzac en a connu, mais tous les habitants concernés ont été relogés en HLM. Et il y a eu une réelle amélioration du cadre de vie pour tous. Mais Lebon n’est pas Balzac et l’amélioration du cadre de vie ne passe certainement pas par une démolition.
M. Lipietz nous parle de gens ayant déménagé à Athis-Mons. Il sous-entend que cela est dû au quartier Lebon. Mais il manifeste là une très mauvaise connaissance de Villejuif et de ses habitants, dont il n’écoute qu’une partie de ce qu’ils disent. Ceux qui ont la chance d’avoir un emploi ici sont souvent contraints de partir s’installer loin de Villejuif, encore plus loin qu’Athis-Mons, qu’Evry, voire l’Île-de-France. Celles et ceux qui ont un emploi stable, dans la fonction publique pour l’essentiel, et peuvent bénéficier de prêts immobilier partent en Seine-et-Marne où les prix sont attractifs. Et les autres, qui n’ont pas les moyens, s’accrochent à leur logement HLM, parce que le privé, même “social”, les étranglerait. Enfin, ceux qui travaillent ici, mais n’ont pas plus les moyens d’aller ailleurs, ils attendent qu’un logement HLM se libère, vu qu’on en construit plus.
Et je ne parle pas des SDF. Il est vrai qu’ils n’intéressent pas M. Lipietz : ils sont sales, en partie étrangers et roms, et ne votent pas…
Il est dommage que M Tripon ne lise pas les billets qu’il critique (en l’occurrence : http://www.laveniravillejuif.fr/spip.php?article425 ), ça lui éviterait de dire des bêtises. Mais bon, il n’est pas le seul de son époque à procéder ainsi. Laissons lui le temps de lire.
Un détail cependant. Lorsque nous sommes arrivés en mairie, il existait déjà des plans de rénovation de Lamartine, qui prévoyaient déjà de détruire et reconstruire certaines barres parce que c’était MOINS CHER que de les rénover. Des études chiffraient même cette différence.
Une étude a été commandée par Mme Gandais (adjointe à l’urbanisme) qui doit vérifier ce point, qui laisse sceptique. Cela dit , dès que le non-reconstruction a été évoquée, une partie des habitant-e-s de Lamartine a protesté, : elles au contraire veulent des immeubles neufs… C’est un débat compliqué, mais nos avons en réalité du temps pour le mener à bien.
Il est vrai que je ne lis plus votre littérature où vous dites tout et son contraire. J’ai, à titre personnel, trop peu de loisirs pour me permettre de jouir de l’ennui.
Quand vous dites que la question de la mixité sociale est compliquée, elle ne l’est que quand on se demande comment des gens ayant des moyens d’acheter leur appartement pourraient bien accepter de cohabiter avec d’autres qui n’ont que leurs bras pour travailler et dont les fins de mois commencent parfois bien avant le versement de la paie, s’ils ont la chance d’en avoir une.
Mais pourquoi faire de la “mixité sociale” ? Est-ce que le fait d’inciter des “classes moyennes” à prendre la place des “classes populaires” est une amélioration pour l’ensemble de la ville et de la société en général ? Car il s’agit bien de ça en virer certains pour les remplacer par d’autres si possible aux têtes blondes “comme à Montpellier”.
La mixité sociale, quand elle a été lancée, était un compromis concernant les villes nouvelles, qui se développaient un peu partout. Le terrain était libre et ça arrangeait tout le monde, le social et le privé.
Aujourd’hui, vouloir faire de la “mixité sociale” là où le social prédomine à quelques kilomètres de Paris, c’est vouloir favoriser le privé au détriment de ceux et celles qui ne pourront jamais y avoir accès. Bref, c’est faire de l’antisocial.
Vous dites que certaines des habitantes veulent du neuf. Construisez donc de nouveaux HLM avec toutes les nouvelles technologies permettant des économies d’énergie. Aucun problème. Je suis même persuadé qu’en détruisant quelques pavillons où ne vivent que deux ou trois personnes, vous pourriez (sans faire de tours) en loger plusieurs dizaines… et même faire des jardins publics.
Vous parlez, dans un autre post, d’apartheid social et ethnique. Pour l’ethnique, je m’excuse, mais les ethnies, ça n’existe que pour ceux qui veulent bien y croire et je ne suis pas sûr qu’elles incluent une ministre actuelle de l’éducation nationale ni une ancienne ministre de la justice. La question est d’abord sociale. Hier, c’était les Auvergnats et les Bretons, puis ce furent les Italiens, les Espagnols et les Portugais et, aujourd’hui, ce sont les Maghrébins, les Africains sub-sahariens, les Asiatiques, sans compter les Roms. Et tous ces gens-là ont fait les sales boulots, du ramassage du crottin avant l’arrivée de l’automobile aux poubelles et ménages d’aujourd’hui. On les a toujours mis à part et, dès que leur situation sociale s’est améliorée, dès que de nouveaux droits sociaux ont été conquis, leur “ethnicité” disparaît du paysage.
Qui se rappelle que Nadine Morano a un nom d’origine catalane, qui est un sobriquet désignant une personne dont la peau est brune comme celle d’un maure ?
Le seul apartheid ethnique qui existe : c’est celui qui consiste à interdire à une petite fraction de la population française d’avoir les mêmes droits que les autres parce qu’ils sont entrés “illégalement” sur notre beau territoire. Et c’est l’État qui le crée. C’est un apartheid né des restrictions au droit de libre circulation des êtres humains.
L’apartheid dont vous parlez est essentiellement social et il vient du discours permanent visant à discréditer les moins bien lotis. Ce discours ne date pas d’aujourd’hui, car le peuple, le populaire a toujours fait peur aux classes possédantes, qui ont toujours cherché à en dévaloriser certaines couches pour mieux le diviser. Écoutez donc le discours sur les jeunes, les quartiers, la banlieue, etc. Rien que du négatif et quand on nous montre du “positif”, c’est pour dire que telle ou telle initiative fait “sortir du quartier”.
Et ce discours nauséabond maintes fois répété et ressassé quotidiennement 24h/24 finit par être intérioriser par nombre de nos concitoyens et concitoyennes, qui finissent par se convaincre que leur quartier est un coupe-gorge alors qu’il s’y déroule moins de délits et d’agressions que dans les rues sombres des quartiers pavillonnaires. Ils en arrivent même à croire que les caves de leurs immeubles sont des endroits où des jeunes violent des jeunes filles, alors que ces caves sont fermées à clé et qu’il ne s’y est jamais rien passé.
Alors que celui sur les têtes blondes “comme à Montpellier” ait été régurgité est une chose. Que des gens le reprennent comme argumentaire en faveur de la destruction (totale ou partielle) d’une cité montrent que, soit ils prennent position pour ce discours, soit ils cherchent à justifier de façon cynique l’injustifiable (faire reculer le social au profit de bonnes affaires immobilières), soit ils révèlent la pauvreté de leur réflexion politique, ce qui pour des élus est grave. Chacun de ces éléments peut évidemment se combiner.
Quand à l’imbécile accusation finale de M. Tripon (à la fois contre les Roms qu’il juge “sales” et contre moi), elle fera ricaner de mépris quiconque connait mes travaux et mes engagements. Voir par exemple en première page du site “L’avenir à Villjuif” :
http://www.laveniravillejuif.fr/spip.php?article317
Monsieur LIPIETZ, à lire votre réponse ci-dessus (7 octobre 15:48) l’impression prévaut que dans le débat que vous qualifiez de compliqué (running gag : pourquoi compliqué plutôt que complexe ?);vous avez choisi de citer les souhaits d’une partie , est -ce du “parti pris” ?
Encore un article de chiotte, écrit par des pseudos journalistes, qui ne savent même pas de quoi ils causent !
Oui a la réhabilitation, Non a la demolition… La volonté politique est de chasser les couches populaires ! Ma cité j’y tiens !
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