6,7/20, telle est la note décernée au Val-de-Marne par le journal La Vie à l’occasion de son édition 2015 du palmarès départemental de l’écologie. Un classement qui ne diffère pas de celui de l’année dernière. Si le département s’offre un peu de vert grâce à ses agendas 21 et ses initiatives en matière de consommation durable, il se retrouve dans le rouge sur tous les autres plans, de la qualité de l’air et de l’eau à la transition énergétique.
“Ce classement montre que notre département, longtemps un territoire servant de la capitale, reste très malmené en termes de pollution, avec son infrastructure routière, les transits de camions… “, réagit Daniel Breuiller, maire EELV d’Arcueil et vice-président du Conseil départemental en charge de l’écologie. “Je ne conteste pas ce classement, il faut l’utiliser non pour se lamenter mais pour progresser. Beaucoup d’actions ont été engagées mais leurs résultats ne sont pas visibles immédiatement. Il faudrait aussi une catégorie pour récompenser le plus fort coup d’accélérateur! Dans le Val-de-Marne, notre stratégie est aussi de travailler en équipe en associant l’institution du département, les autres collectivités, et aussi les associations pour développer les bonnes pratiques des uns et des autres. A la Cop 21, nous serons le seul territoire qui rassemblera tous ces acteurs.”
Le classement établi par le journal La Vie s’appuie sur la moyenne de huit critères, chacun noté sur 20.
1e critère : le nombre et la progression des collectivités (villes, communes, département) ayant mis en place un agenda 21 (ensemble de mesures et d’objectifs pour améliorer les pratiques). Sur ce point, le Val-de-Marne s’en est bien sorti, classé 24e sur 96, derrière la Seine-Saint-Denis qui a raflé la première place du podium, et aussi derrière les Hauts-de-Seine, l’Essonne et la Seine-et-Marne, classés 7e ex-aequo, mais largement devant Paris, classé 60e.
Dans le Val-de-Marne, 9 villes ont un agenda 21 au niveau municipal (Chevilly-Larue, Choisy-le-Roi, Fontenay-sous-Bois, L’Haÿ-les-Roses, Marolles-en-Brie, Nogent-sur-Marne, Sucy-en-Brie, Villeneuve-Saint-Georges et Vincennes), en plus du Conseil départemental, selon les données du Comité 21.
2e critère : l’engagement dans la transition énergétique, à savoir le recours aux énergies renouvelables, la mis en oeuvre de plans climat énergie territoriaux (Pcet), la présence de lauréats territoires à énergie positive, minoré par les rejets de gaz à effet de serre issus de l’industrie, l’agriculture et le logement. Cette fois, le Val-de-Marne se retrouve en 92e position, moins pire que les Hauts-de-Seine (95e) mais derrière la Seine-Saint-Denis (89e) et Paris (75e).
Dans le Val-de-Marne, deux sites ont été lauréats territoires à énergie positive, Seine Amont et Créteil. 8 plans climats énergie territoriaux (Pcet) ont été mis en place. Il s’agit de projets territoriaux de développement durable visant à réduire l’émission de gaz à effet de serre et adapter la vulnérabilité du territoire au changement climatique (inondations, sécheresse…). Ces 8 Pcet concernent : le départements, les communautés d’agglomération de Plaine centrale, Haut Val-de-Marne et Va-de-Bièvre, et les communes (hors communauté d’agglo) de Ivry-sur-Seine, Fontenay-sous-Bois, Villejuif et Vitry-sur-Seine, selon les données de l‘Observatoire des Pcet de l’Ademe (Agence de l’environnement). Concernant le recours aux énergies renouvelables, la spécificité du Val-de-Marne concerne la géothermie. Grâce à la présence du Dogger, Dogger, un gisement d’eau chaude situé à 1,6 km de profondeur, le département est le premier en termes d’installations de géothermie.
“Je suis surpris par notre score en matière de transition énergétique car le Val-de-Marne est le premier département de France en matière de géothermie. Nous venons également d’adopter un schéma directeur de l’énergie qui permettra notamment de diviser par 7 l’émission des gaz effets de serre issus de nos bâtiments. (Lire article) Nous avons également initié une Plateforme pour le rénovation énergétique pour tous (Pret) pour accompagner les ménages dans la transition énergétique (Lire article)”, commente Daniel Breuiller.
3e critère : la présence de l’agriculture biologique. Sur ce plan, le Val-de-Marne est peu concerné, n’étant pas un territoire très agricole, même s’il accueille quelques exploitations. Des expériences de relocalisation de l’agriculture sont aussi menées ça et là, notamment dans la plaine des Bordes. (Voir article) Dans le classement, il se situe en 71e position, nettement devant la Seine-Saint-Denis (85e), Paris et les Hauts-de-Seine (95e ex-aequo). A lire aussi : Oui il y a encore de l’agriculture en Val-de-Marne.
4e critère : la protection de la biodiversité. Ont été comptabilisés le pourcentage d’espaces protégés, de sols artificialisés depuis 2006, l’évolution de l’indice d’abondance des oiseaux communs depuis 2001, l’abondance moyenne de papillons par jardin et encore le taux de participation aux observatoires naturalistes et grand public mis en place par le Muséum national d’histoire naturelle. Un critère sur lequel le département se place en queue de peloton, dernier du classement derrière les Hauts-de-Seine (95e), la Seine-Saint-Denis (66e) et Paris, qui s’en sort bien en 49e position.
“L’enjeu est de retrouver des continuités écologiques mais l’hyper densification du territoire rend cette démarche très compliquée. D’ores et déjà, 90% des pesticides ont été supprimés dans les parcs et il y a beaucoup de réintroduction de faune, de flore, d’installations de ruches...”, cite Daniel Breuiller. A lire : 40 millions d’abeilles dans le Val-de-Marne
5e critère : la consommation durable. Pour noter les départements, La Vie a compté les Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne), les ventes directes de producteurs, et les commerces engagés dans une démarche bio et/ou équitable, le tout rapporté au nombre d’habitants du département. Bonne nouvelle, pas de carte rouge de colère sur ce critère. Avec sa trentaine d’Amap, le Val-de-Marne tire son épingle du jeu, en 46e position, derrière Paris (8e) mais devant les Hauts-de-Seine (51e) et la Seine-Saint-Denis (60e). A lire aussi : 10 ans d’Amap en Ile-de-France, du panier bio pour citadin à la révolution agricole. Au niveau des collèges, une centrale d’achat a également été mise en place pour proposer des produits issus de circuits courts (voir article).
6e critère : la collecte et valorisation des déchets, en évaluant notamment l’évolution des ratios d’ordures ménagères et de déchets recyclables collectés par habitant, les sites pollués faisant l’objet d’une action publique et le nombre de sites produisant ou entreposant une quantité importante de déchets radioactifs. Là-dessus, la carte de la métropole parisienne est écarlate, plaçant tout les 4 départements entre la 84e et 89e place. Le département compte en effet de nombreux anciens sites industriels comme l’ancienne usine de radium de Marie Curie à Nogent-sur-Marne, les dépôts pétrolier classés Sévéso et de nombreuses usines le long de la Seine. Ces vestiges d’une époque où l’on n’était moins soucieux de l’environnement laissent des traces durables qui alourdissent le budget de leur reconversion et les perturbent parfois jusqu’à un stade avancé. En témoigne le report d’un an de l’ouverture du collège d’Ivry Confluences en raison de traces de pollution au mercure, potentiellement liée à l’ancienne usine Philips de production de lampes électriques qui y était implantée (voir l’article). Concernant la collecte des déchets, les initiatives associatives ne manquent pas pour récupérer, réinventer, recycler. A Limeil-Brévannes, le collège Janusz Korczak a par exemple initié une collecte des déchets alimentaires à la cantine, associé à un pavillon de compostage, qui a permis d’éviter 18 tonnes de déchets de terminer à la poubelle en deux ans. (voir article sur les collèges et lycées ayant obtenu un label écolo)
7e critère : la qualité de l’eau. Le journal a pris à la fois en considération l’eau que l’on boit (son taux de nitrate) et l’eau des milieux naturels (concentration moyenne en pesticides des eaux souterraines, teneur moyenne des cours d’eau en phosphates, moyenne des notes de l’indice poissons rivière, IPR). Sur ce critère, la carte du territoire métropolitain étonne par son contraste entre le Val-de-Marne et Paris, classés 90e en queue de peloton, et les Hauts-se-Seine et Seine-Saint-Denis respectivement en 26e et 32e position. Parmi les initiatives réjouissantes en revanche : la réouverture de la Bièvre à ciel ouvert, “un symbole de la reconquête de la nature en ville“, insiste Daniel Breuiller. A lire aussi : Pas de Grand Paris Est sans la Marne
8e critère : la qualité de l’air. Ou plutôt l’évaluation de la pollution de l’air : oxydes d’azote, oxydes de soufre, particules fines, pics de pollution à l’ozone. Un critère qui divise fortement l’Ouest de l’Est parisien, classant les Hauts-de-Seine en 53e position et le Val-de-Marne et Seine-Saint-Denis en 91e. Sur ce plan, la future Métropole du Grand Paris a été retenue parmi les 20 territoires “Villes respirables en 5 ans” dans le cadre d’un appel à projets du ministère de l’Ecologie. A suivre.
Sur l’ensemble des critères, l’ensemble de la métropole parisienne est dans le rouge et le Val-de-Marne est même au-delà, en toute dernière position, comme il l’était déjà dans l’édition 2014 du palmarès. La palme de l’écologie revient à la Gironde, tandis que tous les départements de Bretagne figurent dans le peloton.
Un indicateur ne dit pas la vérité, et l’article en nuance à juste titre les diverses composantes. Il reste que l’indicateur donne une tendance, et elle est particulièrement médiocre pour le Val de Marne. La frénésie bétonnière en cours ne va pas arranger les choses. Il est difficile pour le citoyen d’avoir une vue d’ensemble de la situation, et c’est l’intérêt de ce genre d’indicateur. Rien n’interdit au Département et aux nouveaux territoires de ce saisir de cet état des lieux, et de proposer un plan de rattrapage. Il doit être possible en quelques années d’améliorer très sensiblement les choses …. sans passer son temps à pleurnicher sur le fait de l’Etat ne donne pas les moyens !
pour en revenir à l’environnement, une étude publiée par l’european heart journal a établi un lien entre une circulation routière très bruyante et un taux accru d’AVC (pour les zones supérieures à 60 décibels le risque d’AVC est accru de 5%).
De plus, le poids lourd à l’unité est et de loin l’un des principal pollueur d’air de la région ile de France. Principal émetteur d’oxydes d’azote, de particules pm 10, de dioxyde de souffre, et de dioxydes de Carbonne, le poids lourds représente 31% de la pollution routière pour 5 du trafic en ile de France. (Source air parif inventaire d’émission 2012).
D’un point de vue social, le volet du projet d’étude survol de l’ARS démontre que les zones d’habitations les plus polluées sont celles où vivent les catégories socio-professionnelles les plus défavorisées. Ajouter des risques de pollution c’est donc appauvrir notre, département.
Trafic aérien, trafic routier, chemin de fer. La santé de nos concitoyens n’est que trop exposée. la pollution creuse les inégalités sociales et rendent nos villes moins attrayantes.
La situation environnementale de notre département, de notre région, exige que nous soyons vigilent à baisser urgemment le taux de pollution et non pas le maintenir et encore moins l’augmenter.
il est vrai que pendant un moment le conseil général (comme la plupart des politiques des trente désastreuses) à privilégié l’expansion économique et l’emploi en sacrifiant la santé. résultat “urbaphobie” et ce qui sont restés sont les plus pauvres. cependant la coulée verte, les pistes cyclables etc sont des projets qui dans les années 70-80 étaient déjà une préoccupation des élus du cg94; mais l’emploi l’a emporté une nouvelle fois.
nous comptons maintenant sur la métropole pour mener une politique environnementale plus raisonnable et humaine.
Et quelle est l’impact de l’abandon du FRET FERROVIAIRE dont l’activité est transférée sur la route par le développement du trafic camion. Ce que la LOIU MACRON n’arrange pas avec le développement du trafic BUS aux détriment des relations ferroviaire. Bref, il est temps d’en finir avec ce non sens de l’histoire humaine qu’est le “libéralisme” qui n’a absolument rein à voir avec la liberté individuelle.
Le maire de Saint Maur s’est récemment félicité de l’abandon du projet d’autoroute ferroviaire … Bien entendu il faut d’abord négocier la protection phonique des riverains avant de se lancer dans un tel projet, mais à St Maur c’est ‘NON’ d’abord … Mais aussi ‘non’ aux camions et ‘non’ aux nouvelles lignes d’autobus , et bien sur ‘NON’ à la mixité sociale !!! Voilà ce qui justifie que les communes passent progressivement sous tutelle d’organismes qui ont plus à coeur la notion d’intérêt public.
Et en plus, on se paie le deuxième plus gros aéroport de France …
Voir le 8ème critère !
Eberlué, comme Joseph Terribile, par l’accusation de Aurore (“Et si les élu-e-s écologistes s’occupaient d’écologie au lieu de leur carrière politique ?”)
D’abord, pour qui veut faire carrière “politique” , je ne conseillerais pas de choisir l’écologie : les électeurs sont réticents à voter pour des prophètes de mauvaises nouvelles, les médias, financés par la pub des lobbys que combattent les écologistes, seront systématiquement contre eux, etc. Mieux vaut LR ou PS.
Ensuite je ne conseillerais pas à quelqu’un qui veut “faire carrière” la carrière d’élu local. Ça ne rapporte pas grand chose, à qualification donnée. Prenons l’exemple de Natalie Gandais, 1ere adjointe EELV de Villejuif, gros diplômes (doctorat en écologie), grosse expertise, gros travail. En dix-huit mois de semaines doubles , a déjà fait passer un PLU et un plan vélo qui diminueront considérablement la production de gaz à effet de serre. Aurore peut consulter ses revenus ici, elle aura des surprises : http://www.laveniravillejuif.fr/spip.php?article348
Bref, pour “faire carrière politique”, il faut être un gros cumulard. Les électeurs adorent ça et donnent toujours une prime à celui qui est déjà élu (“que notre maire deviennent en plus député, ça pet toujours nous aider”), mais par définition les cumuls diminuent les opportunités pour les autres. Les profiteurs du système (genre JV Placé) sont donc l’exception parmi les quelques 360 000 élus français. Néanmoins le cumul est la plaie de la démocratie française, car du coup les élus cumulards ne font pas correctement leur boulot. En Europe du Nord, pas de cumul, mais les indemnités des élus sont plus correctes.
Et moi je suis “éberluée” que vous vous permettiez d’émettre un avis sur les indemnités des élu-e-s.
Vous qui avez combiné avec la droite aux élections municipales et qui aux résultats des élections départementales vous êtes venu “fêter” la victoire du PC qui a mis une bonne dégelée avec près de 54%.
Alors s’il vous plaît un peu de retenue
Maintenant je ne comprends pas cette levée de boucliers si les élu-e- bossent aucun souci.
Si vous lisez mon propos je ne comprends pas que des élu-e-s perçoivent des indemnités alors qu’ils ne font pas leur travail.
Mais,M. Lipietz qu’avez-vous dire sur COP21 vous qui êtes un écolo averti? C’est votre réflexion qui m’intéresse
@ Aurore : C’est quoi des “élu-e-s” ?
@Aurore qui ne semble vraiment rien connaître des rémunérations des élus municipaux
Quand je dis rien, c’est rien, comment lui expliquer: pas un centime, pas un ticket de métro.
Et je ne suis pas le seul, tous les élus de l’opposition et une partie des élus de la majorité. J’ai bien dit tous ceux qui n’ont pas de délégation.
Tout le monde sait ça, les salaires des élus sont publics et donc il faut prendre conscience que la plupart des élus communaux ne font pas ça pour l’argent, ni pour leur carrière.
Les gens s’implique pour porter leurs idées, pour soutenir des projets.
Je suis désolé mais il fallait que je répète ça car c’est fatigant d’entendre toujours les mêmes rengaines au sujet des salaires mirobolants des élus.
Pour info, le salaire d’un maire d’une ville de 40000 habitant est plafonné à 3400 € et ça représente un travail immense. Pour le meme job, un DG d’une boite moyenne toucherait 5 à 10 x plus.
Un adjoint au maire 1254 € maximum et je parle de salaire brut
Un conseiller municipal délégué 228 €
Et sans délégation 0€
Voilà la vérité Aurore
Ensuite comptez le nombre d’heures, de jours, de soirees, de tenue des bureaux de vote, de réunions, de travail en commission, les conseils municipaux jusqu’à pas d’heure… que passent les élus et revenez me parler en connaissance de cause
Et pour la COP21, elle deviendra ce que vous même, ce que chacun sera capable d’y apporter personnellement !
Sans être “experte” je sais combien perçoivent les élu-e-s et encore une fois je ne critique pas ce système de rémunération. Seulement l’élu-e- doit faire son boulot pour lequel il a été élu-e- … et payé-e-.
Quant à ce que vous faites, c’est normal vous avez été élu -et avez accepté- donc pas de lauriers pour vous…. comme pour les autres.
Mais je crois que le sujet est COP21 non ?
Avec le plus gros morceau de plaine agricole de la petite couronne, et l’amont de deux belles rivières (sans compter ses multiples rûs), le Val de Marne aurait dû être le “poumon vert” de l’agglomération parisienne, et d’ailleurs c’est vers lui que Paris envoyait jadis ses hospices, c’est vers lui qu’autrefois se tournait, le samedi soir, l’ouvrier parisien.
Malheureusement, au Conseil général, a prévalu longtemps une conception du “progrès” opposée à l’écologie.
Encore aujourd’hui, c’est sans doute le seul département qui démantèle un de ses parcs départementaux, en faveur d’une opération immobilière : le Parc des Hautes Bruyères, pilier du « corridor de trame verte arborée et herbacée à restaurer », selon le SDRIF et le Schéma Régional de Cohérence écologique (« d’incohérence » en ce qui concerne Villejuif.) Cf : http://vaverts.fr/spip.php?article231 ou , en ce qui concerne l’ancien PLU de l’équipe PCF (avant 2014) : http://www.laveniravillejuif.fr/spip.php?article46
A ce propos personne ne s’étonne que le ‘chemin de halage’, en clair le bord de la Marne, soit entièrement privatisé à Chennevières sur Marne (notez le ‘sur marne’, en dépit de la loi sur les servitudes ! Toutes les autres communes respectent la loi sur les cours d’eau, et disposent de promenades aménagées. J’ai écrit à la mairie, mais bien sur je n’ai pas obtenu de réponse ; j’attends les élections régionales qui paralysent tout, puis je recommencerai, avec une démarche plus systématique.
Les voies sur berges du côté de la rue de champigny sont ouvertes à la promenade
Bonjour
Quelqu’un sait ou on pourrait récupérer les données ville par ville ?
Il doit y avoir aussi de gros écarts
Au Perreux Sur Marne sur les 3 premiers critères on a zéro
Sur les 4 suivants j’aimerais bien savoir
Sur le dernier c’est plutôt mauvais
Joseph TERRIBILE
Et pour répondre à Aurore, je suis élu écologiste, mon engagement me prend au moins un journée par semaine en moyenne, plus des WE et soirées de temps en temps, je ne touche pas un euro, j’ai un boulot à plein temps et je ne ferai pas une grande carrière politique à mon age
Et pour la plupart, on est dans ce cas là
@Terrible
C’est à votre honneur que vous vous engagiez. Mais que vous soyez conseiller municipal avec une délégation ou adjoint au maire vous touchez une indemnité, sinon vous seriez bien le seul.
Je ne critique pas ce système à partir du moment où l’élu fasse son boulot et c’est ce qui se passe en majorité.
Par contre, l’élu qui ne fait pas son boulot là jresuis désolée mais il ne mérite ni de siéger ni de percevoir cette indemnité.
Mais là n’est pas le propos.
Depuis que l’on en parle de cette écologie et que rien ne se fait.
Il y a eu maintes conférences qui n’ont abouti à rien.
Alors que va donner la COP21 ?
Les élus d’opposition ne touchent pas d’indemnité.
C’est inquiétant ce qui est écrit sur la qualité de l’eau. Je voudrais bien savoir si ça peut avoir des effets sur la santé, à long terme.
Pour ce qui en est de la géothermie, en tant que cristolien subissant cette technologie depuis de nombreuses années, je considère que c’est de la poudre aux yeux pour écolos : aussi cher que l’électricité ou le fioul, mais avec des pannes d’eau chaude à répétition tout au long de l’année (surtout aux changements de saison), et la SCUC (société liée à Dalkia qui distribue l’eau et le chauffage à Créteil) uniquement joignable en cas de panne sur un n° surtaxé en 08.
Pourtant à en croire “les experts” la géothermie est c’est ce qui se fait de mieux!
La géothermie est une énergie renouvelable tout à fait intéressante. C’est les gestionnaires des réseaux de vos villes que vous devez remettre en question, pas la géothermie !!
Très intéressant cet article ainsi que l’exposé de M. Breuiller.
Et si les élu-e-s écologistes s’occupaient d’écologie au lieu de leur carrière politique ?
Merci.
Rien d’explicite sur les transports et le vélo, apparemment. La marge de progression est large, en effet.
L’item Transition énergétique ne semble pas tenir compte des déplacements, curieux.
Intégrer la proportion des déplacements à vélo eut été intéressant.
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