L’Institut national de l’audiovisuel (Ina) de Bry-sur-Marne sera pleinement mis à contribution dans le plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme dévoilé par le Premier ministre Manuel Valls à Créteil ce vendredi.
Il s’agit de la mesure 33 sur les 40 du plan interministériel : développer l’éducation à l’image en partenariat avec les acteurs de l’audiovisuel . “L’Institut national de l’audiovisuel mettra ses archives à disposition, il participera à la formation des enseignants et il construira avec eux des parcours pédagogiques” a annoncé Manuel Valls.
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“Nous avons déjà commencé, témoigne, enthousiaste, la présidente de l’Ina, Agnès Saal. Les archives audiovisuelles de l’Ina constituent un support magnifique pour raconter une histoire et la mettre en perspective, en résonance, au service d’un message, et nous avons mis à disposition des enseignants 1700 vidéos de l’Ina contextualisées pour accompagner les programmes de l’Education nationale“. Cette base articulée autour d’une fresque historique est accessible depuis le portail de l’Ina Jalons et le site ressources de l’Education nationale, Eduthèque. “Depuis le mois de janvier, nous avons enrichi ce parcours de contenus spécifiques sur la laïcité, la tolérance, la liberté d’expression…” détaille Agnès Saal.
“L’Ina dispose aussi d’un savoir-faire pour proposer des modules de formation très simples à destination des enseignants et animateurs d’atelier, leur permettant de décrypter l’image à partir d’outils comme des smartphones ou tablettes, face aux étudiants, enfants, adolescents. Nous avons proposé de les aider à éduquer à l’image, par l’image, à l’usage des réseaux sociaux“, indique la présidente de l’Ina. Une proposition intégrée par le comité interministériel dans son plan de lutte.
OUF !
Toujours pas de lien, la malhonnêteté intellectuelle n’est peut-être pas de mon coté finalement…
Agnès Saal est peut-être marqué à gauche, elle est passé par les cabinets, mais elle n’est pas uniquement là à cause de ça. Quiconque regarde un minimum son parcours sait qu’on est devant un grand serviteur de l’Etat et un grand connaisseur du monde de la culture.
Alors je veux bien le lien, parce que si vous taper toute ou parti de la citation, vous tomber sur un site Fn ou proche… (ceci n’est pas une preuve de malhonnêteté intellectuelle, juste une manifestation de mon humeur blasée).
L’INA a vocation de faire de la formation professionnelle, il n’y a absolument rien qui s’oppose à former des enseignants en formation continue sur de l’audiovisuel. Il existe un organisme spécialisé dans le domaine qui propose des formations, s’en servir n’a rien de scandaleux. A moins que vous pensiez que les enseignants soient des demi dieux et sachent absolument tout.
Le président de l’INA est toujours nommé en conseil des ministres sur proposition du ministre de la culture…
Sinon j’adore la citation scientifique sortie directement du site du Front national pour preuve que l’INA n’a pas à faire de formation… alors que c’est déjà le cas, l’INA étant déjà un grand pole de formation à l’audiovisuel…
l’ina est déjà labellisé Valls Propaganda ?
Elle a fait pareil à Pompidou, centre d’art qu’elle gérait avant l’INA.
Là aussi, elle vient d’être mise en examen pour cela.
Certes, ces anciens patrons la défendent, et je trouve cela inadmissible car elle a fauté, personne ne devrait la défendre ; c’est juste qu’ils veulent se donner bonne conscience, et que eux aussi à mon avis abusent largement des largesses de l’Etat et de nos finances.
Tiens, je n’avais pas lu cette réponse (très tardive)… J’imagine que je n’aurai jamais mon lien et que la malhonnêteté intellectuelle n’est toujours pas de mon coté mais du votre.
Personnellement je n’ai aucun problème à “méditer” sur les agissements d’Agnès Saal (seulement méditer, je n’ai pas le pouvoir de condamner). Si elle a fauté, il faut qu’elle soit sanctionné. Point, barre, rideau.
Ceci étant dit, après coup, c’est facile de dire qu’il ne fallait pas la nommer alors qu’on ne connaissait pas ces agissements, donc je vous le redemande encore. Qu’est-ce qui dans le parcours d’Agnès Saal la disqualifiait pour occuper la présidence de l’INA ?
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