Que s’est -il passé à Villiers-sur-Marne ? Alors que la ville a conservé son député-maire LR Jacques-Alain Bénisti lors de la vague rose des législatives 2012, l’a réélu confortablement aux municipales de 2014 et a tranquillement choisi un binôme de conseillers départementaux LR-Modem aux départementales 2015, ce premier tour a vu étonnamment arriver la liste de Claude Bartolone devant celle de Valérie Pécresse.
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les résultats de la ville aux élections départementales montrent un échec cuisant de la politique de ce maire qui gère notre ville comme une mauvaise ménagère. Pendant des années cet individu a justifié les mauvais comptes de la ville en raison de la fameuse affaire du “Captain Hotel”qui avait plombé le compte résultat de la ville pendant plusieurs années. Aujourd’hui il justifie le déficit de la ville d’une manière différente…mais toujours bien incapable de trouver des solutions parfois simples pour faire rentrer l’argent dans les caisses de la commune.
Aujourd’hui ce monsieur donne la ville aux promoteurs, bétonne notre ville et n’hésite pas à détruire des maisons en meulière du début du siècle dernier qui font parties du patrimoine et de l’héritage de notre Histoire .. Demandez-lui combien lui a rapporté le terrain des anciennes serres municipales (un peu plus de 6000m2) et combien la propriété Michot (1,5 hectares) va être vendue en deux lots séparés tantôt à la ville, tantôt à un promoteur. Les villiérains ne sont pas dupes et ne veulent pas vivre la vie de promiscuité que leur impose le P.L.U. Ce n’est pas un secret que de constater que les maires qui sont à la tête de gestions calamiteuses de leur ville trouvent leur salut dans les ventes de terrains communaux à une catégorie de promoteurs qui n’hésitent pas à magouiller et à acheter les terrains bien plus chers que leur valeur réelle et inversement lorsqu’il s’agit d’acquérir des propriétés privées. Chers lecteurs , je n’est qu’un mot à vous dire: “fuyez l’une des villes les plus endettés de France!”, gérée par un maire qui n’a de cesse de faire du clientélisme et de vouloir soigner son égo. Rien d’étonnant à ce que monsieur Bartolone soit passé devant madame Pécresse. Que ce petit monde politique qui vit bien loin de nos préoccupations quotidiennes ballait devant sa porte.
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