Expos, théâtre, projections hors-les-murs, rencontres avec les associations et débats… dans le cadre de son cycle L’art, l’autre, l’hospitalité, l’espace culturel de l’Anis Gras d’Arcueil, s’intéresse à la question des réfugiés et de leur accueil. L’après-midi Nous autres, le samedi 30 janvier, sera l’un des temps forts du cycle, qui commence ce 21 janvier jusqu’au 11 février.
Quatre expositions démarrent dès ce jeudi 21 janvier (vernissage à 18h) : L’histoire de Kingsley – Carnet de route d’un immigré clandestin et Le métronome fou de la migration, par Olivier Jobard et Claire Billet (documentaires sur le parcours de migrants) ; Moving Beyond Borders, par le collectif Migr’Europe : exposition interactive et collective de cartes, de photographies, de paysages sonores, divisée en 5 modules interactifs ; Exodes par Nathalie Senikiès, plasticienne en résidence à l’Anis Gras ; et enfin une exposition d’affiches et de documents réalisée par le collectif Réseau Education Sans Frontières (RESF). Avant les vernissages, plusieurs cartographes, universitaires et militants associatifs animeront la table-ronde : “La cartographie à l’épreuve de la représentation des flux migratoires” , à partir de 16h.
L’un des autres temps forts du cycle sera la représentation de la pièce Le but de Roberto Carlos, écrit par Michel Simonot en 2013. L’histoire d’un jeune qui quitte son pays natal pour réaliser son rêve : devenir footballeur professionnel en Europe (A voir du 21 au 23 janvier à 20h, du 3 au 5 février à 20h, le 6 février à 19h). Le théâtre sera aussi à l’honneur lors de l’après-midi spécial du samedi 30 janvier, de 14h 19h, avec la pièce Un aller simple, par la compagnie Le Grin, composée de deux collectifs de sans-papiers qui vivent à Bagnolet et à Montreuil. Il racontent avec humour, poésie et espoir leur voyage depuis le Mali jusqu’à la France où les réalités sont parfois plus difficiles qu’envisagées (à 15h30). Tout l’après-midi, les comédiens en résidence à l’Anis Gras rejoueront les plus grands moments des mouvements associatifs français qui défendent les sans-papiers. Un goûter avec le chercheur Michel Agier, l’écrivain Marie Cosnay, et Isabelle Saint-Saëns, membre de Migr’Europe, est également programmé.
Enfin, le cycle est également l’occasion de plusieurs débats. Le 1er février, c’est l’Université populaire d’Arcueil qui posera la question de la cause des migrants (à 19h30). De nombreux débats sur les différents thèmes touchant à la problématique des réfugiés en Europe seront menés par Le Sujet dans la Cité le samedi 6 février. En outre, les représentations du But, de Roberto Carlos seront toujours précédées de première partie (lectures, rencontres avec les associations d’Arcueil, débats, …). Télécharger le programme complet.
Ce qui me choque c’est que ces antifas venus de Paris, de Belgique et d’Allemagne c’est qu’ils osent détériorer la statue de De Gaulle.Ce qui serait important, c’est que Caseneuve nous dise comment, il accepte que des gauchistes de plusieurs pays manifestent en France à la tête de tous ces migrants ?Quant on pense que les pros migrants ont attaqué une famille de calaisiens obligés de sortir le fusil !
Ils apprennent comment taguer les statues du général de Gaulle, comment agresser les routiers, comment monter clandestinement dans les trains, les avions, les bateaux ? Comment bien se comporter envers les femmes ? Comment imposer sa culture et sa religion dans notre société occidentale judéo-chrétienne ?
Il faut être lucide et exhaustif. Ils ont prévu quelque chose à propos de la nuit de la St Sylvestre à Cologne ?
Sinon, sympa les sandales sur la photo. D’aucuns y verront probablement de l’Art.
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