Alors que Chevilly-Larue accueille 70 réfugiés dans son ancienne gendarmerie depuis octobre 2015, la maire PCF de la ville s’oppose à l’installation d’un Centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) dans l’ancien foyer de jeunes travailleurs de la rue du Béarn, actuellement désaffecté.
La suite de cet article est réservée aux abonnés !
Si vous êtes abonné cliquez ici pour vous connecter.
Si vous êtes déjà abonné et connecté à votre compte, pensez à recharger la page avec Ctrl+F5 ou à vider le cache de votre navigateur pour accéder à l’intégralité de l’article (ou cliquez ici).
La plupart de nos articles sont accessibles gratuitement afin de pouvoir être lus par tous.
Cependant l’information a un coût, et nous réservons donc certains articles ou parties d’articles à nos abonnés payants. Vous pouvez souscrire un abonnement individuel en quelques clics ici.
Il vous donnera immédiatement accès à tous nos articles et contenus réservés aux abonnés, et à tous nos autres articles sans limitation.
Pour information,une “carte bleue” est délivrée aux demandeurs d’asile, et de manière exclusive ,approvisionner par le montant journalier qui est, en fonction de la taille de la famille, de 6,80 euros pour une personne à 37.40 euros pour 10 personnes ! Le statut de demandeur d’asile ne permet pas de travailler en France. Toutefois, un demandeur d’asile peut obtenir une autorisation « provisoire » de travail.Les demandeurs d’asile peuvent être hébergés gratuitement dans un « centre d’accueil pour demandeurs d’asile » (CADA).Les demandeurs d’asile en possession d’une autorisation provisoire de séjour (APS) ou d’un récépissé, peuvent bénéficier de la CMU de base et complémentaire et Il ne sera exigé ni titre de séjour, ni papier d’identité, ni carte vitale.
Chevilly deviendra-t-elle Saint Denis?? Le centre d’accueil mis en place par la ville de Paris , une jolie structure gonflable jaune, y est désormais entouré par une multitude de tentes et abris divers, façon Calais……. Qui règlera les factures , car tout a un coût les aides matérielles directement données aux hébergés, mais aussi les assistances diverses à caractère social (cours d’alphabétisation, loisirs, etc…) et bien sur l’entretien du site et de ses abords ?? Plus grave est le lieu d’implantation, en centre ville , avec des écoles, des jeunes, filles et garçons, de tous âges pour qui cette population nouvelle peut représenter un danger tout autant qu’un enrichissement, des commerces de proximité qui ont déjà du mal à survivre et subissent nombre d’incivilités ou pire , sans parler des riverains qui ont pris la parole dans la presse récemment pour dire leur inconfort.
Que la ville soit solidaire, est une chose, qu’elle accepte (et nous avec) de se saborder en est une autre!
“…cette population nouvelle peut représenter un danger tout autant qu’un enrichissement…”
pour le danger je suis d’accord … pour l’enrichissement merci de détailler car l’immigration subsaharienne est loin d’être nouvelle….
Donc je ne vois pas ce qu’il y a de positif à accueillir des gens qui fuitent la misère économique, qui ont un niveau d’étude et de connaissance largement inférieur au notre, qui parle mal ou pas notre langue…
l’enrichissement c’est un échange de connaissances, de méthodes d’apprentissages,… et non un apprentissage à sens unique, sur comment fonctionne nos institutions, apprendre le Français, formé à un métier…
Partant du principe qu’il y a des gens “biens”et des “salauds” dans toutes les populations du monde, et dans toutes les couches de la société, oui ces deux catégories sont présentes parmi les populations déplacées, immigrées qui débarquent sur notre sol, et oui, ces “gens bien” peuvent avoir des relations amicales avec la population locale tout comme d’autres peuvent être nocifs et destructeurs vis à vis de ceux qui leur tendent la main! Le problème c’est nous, notre société, nos dirigeants, qui pour plein de raisons sommes incapables de faire la différence, entre les deux. D’ou l’importance d’accueillir dans des conditions permettant d’évaluer au maximum les arrivants et surtout de les encadrer, ce qui n’est absolument pas fait en France .
Ce préfet veut passer en force, alors que l’aval des citoyens de Chevilly Larue n’a pas été sollicité
Il y a certaines communes du val de marne qui n’acceptent strictement rien, alors que ce sont des communes riches
Je cite Saint Maur en exemple qui refuse même le passage d’un sentier de grande randonnée activité pourtant pacifique
Hors à Chevilly larue il y a des femmes seules qui rentrent tard du travail ou qui y partent très tôt
Quid de leur sécurité, sachant bien que ce genre de centre n’est destiné à acceullir que des hommes seuls désoeuvrés ,il y a des commerces autour du site qui risquent d’avoir des problèmes
pourquoi pas dans le 16° arrondissement ou à Neuilly entre autres
a Chevilly nous avons accueilli beacoup d’étrangers qui étaient venus pour travailler et qui se comportent correctement( j’en connais )
Je suis ulcéré par cette décision
Un Chevillais de longue date, et d’adoptionqui a su se faire considèrer
En fait c’est la technique du “pied dans la porte” : on nous dit que si toutes les villes en prenaient un peu ça se passerait bien mais on se rend compte qu’en réalité, dès qu’une ville ouvre un centre, les préfets ne tardent pas à pousser pour l’ouverture d’un second centre…
Il habite où le prefet ? Qu’il heberge dans sa commune pour prouver sa grande générosité.
N'envoyez que des photos que vous avez prises vous-même, ou libres de tout droit. Les photos sont publiées sous votre responsabilité.