L’ancienne présidente de L’Institut national de l’audiovisuel (INA), Agnès Saal, démissionnaire de son mandat sur demande ministérielle il y a un an après avoir été épinglée pour des notes de taxi hors du commun (41 000 euros sur une année en plus d’une voiture avec chauffeur),
est jugée ces jours-ci. En 2015, le parquet de Créteil avait ouvert une enquête pour détournements de fonds publics par une personne chargée d’une mission de service public. Entendue le 25 mars dernier, et reconnaissant les faits, l’ancienne présidente s’est vue proposer par le parquet une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). L’audience se tiendra le 11 avril au TGI de Créteil. Les faits traités à Créteil ne concernent que la période durant laquelle Agnès Saal était présidente de l’Ina à Bry-sur-Marne. Une autre procédure est en cours à Paris.
Agnès Saal avait été nommée à la tête de l’Ina fin avril 2014, en remplacement de Mathieu Gallet, alors nommé président de Radio France. Elle a été depuis remplacée par Laurent Vallet. Début 2016, l’ancienne présidente, qui était retournée un temps au ministère de la Culture, a été suspendue de la fonction publique.
Bonjour, je finis par croire que plus c’est gros moins on risque. Tous ces gens là, de la haute fonction publique. Qui sont payés grassement, qui ont des avantages à ne plus en finir. Y compris pour leur retraite. Aux frais de nous petits contribuables, qui tirons la langue. Ce n’est pas honteux, mais scandaleux. Que tous y compris les politicards se doivent ETRE EXEMPLAIRES. Mais hélas, s’en est pas le cas. Aucune casserole, même si minime soit elle. Ils devraient être déchu de tous droits civiques et saisi de tous biens financiers. Jusqu’au dernier centime. Mais bizarrement, ils ont tous ou une grande majorité profession de foi AVOCATS.
( Quand je pense et me souviens, qu’il y en a eu un qui payé son électricité et ses timbres.)
Surtout pas les mettre en prison, car c’est encore le contribuables qui paiera.
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