Suite à un appel à projets de l’Etat dans le cadre du deuxième programme d’investissements d’avenir (Pia2), les deux universités de l’Est parisien (Upec et Upem) et une vingtaine de partenaires allant de l’école Vétérinaire de Maisons-Alfort à l’IGN en passant par Thales, l’Anses, l’Inserm, la CCI, l’AP-HP…avaient déposé un dossier pour développer ensemble leur expertise sur le thème de l’homme et la ville.
Un projet de formation-recherche-expertise reposait sur deux thématiques : les interactions santé humaine et animale et environnement, en particulier l’environnement urbain, et les transformations urbaines et environnementales de demain et leur croisement, en s’appuyant sur le numérique et les sciences humaines et sociales. Parmi les 8 projets présélectionnés sur 20, ce projet, baptisé Future n’a finalement pas été retenu dans la dernière phase de sélection, seuls quatre projets ayant été labellisés.
Passée la déception, la Communauté universitaire Paris Est devrait pouvoir se projeter à nouveau puisque son dossier sera d’office présélectionné pour la prochaine vague de programmes d’investissements d’avenir (Pia 3) qui démarre en 2016. A la clef de la reconnaissance de ce projet, qui concourait dans la catégorie I-Site (Initiatives-Science – Innovation –Territoires – Economie) : un label d’excellence, un renforcement des synergies entre les acteurs académiques (universités, écoles, organismes de recherche) d’un même territoire et des moyens financiers. Le Pia est doté de plusieurs milliards € (20 milliards € pour le prochain, Pia 3). L’allocation de ces fonds est bien-sûr répartie entre plusieurs appels à projets. En savoir plus sur les programmes d’investissement d’avenir.
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