Comment financer le forfait Navigo à tarif unique ? L’hypothèse d’un éventuel appel aux recettes fiscales des départements hérisse d’avance le président PCF du Conseil départemental du Val-de-Marne, Christian Favier.
Jeudi 7 janvier, Valérie Pécresse, nouvelle présidente LR de la région Ile-de-France, a rencontré le Premier ministre Manuel Valls à propos du financement du pass Navigo à tarif unique, dont une partie du financement n’est pas encore bouclé. “En l’état, il manque encore 300 millions d’euros par an pour financer cette mesure adoptée par la précédente majorité régionale. Malgré les efforts d’économies drastiques qu’elle s’est engagée à faire pour trouver des financement, la région Île-de-France ne saurait absorber à elle seule le coût total de la mesure”, indique ainsi la région. La nouvelle présidente propose de trouver 200 millions € en renforçant la lutte contre la fraude et en supprimant le tarif Solidarité accordé aux bénéficiaires de la CMU (Couverture maladie universelle) en situation irrégulière. C’est pour combler les 100 millions d’euros restants que la discussion se poursuit entre la région et l’Etat. Une discussion déjà entamée par l’exécutif régional précédent, rappelle Pierre Serne, ancien vice-président EELV en charge des transports, désormais dans l’opposition. “Nous avions évalué qu’il manquait 250 millions d’euros sur le budget du Stif (Syndicat des transports d’Ile de France) et la région avait déjà voté le financement de cette partie. Au niveau du budget de la région, nous pensions à la fois le financer par un redéploiement et discutions aussi avec l’Etat pour l’année 2016. Différentes pistes étaient envisagées, notamment une participation de la Société du Grand Paris, détaille l’élu. Il y a aussi un surplus de recettes au sein du Stif en raison d’une augmentation du nombre de pass Navigo suite au passage au tarif unique, mais les chiffres n’ont pas encore été communiqués. Connaître ces chiffres permettrait aussi d’y voir plus clair. En 2017, le redéploiement de la CVAE devait combler le budget.”
A partir de 2017, le schéma financier va en effet évoluer. Dans le cadre du projet de loi de finances 2016 (PLF 2016), le parlement a en effet voté définitivement mi-décembre le transfert vers la région de 50% de la CVAE (une partie de la fiscalité des entreprises) contre 25% actuellement, tandis que les départements n’en percevront plus que 23,5%, contre 48,5% actuellement. En contrepartie, est prévue une attribution de compensation (égale à la différence entre le montant perdu par le département et le coût réel des charges transférées) dont le montant sera fixé par délibérations du conseil départemental et du conseil régional. (article 89 de la loi de finances). Au niveau national, ce transfert, qui avait été annoncé par Marylise Lebranchu lors du congrès de l’ARF (Assemblée des régions de France) en juin 2015, a été justifié par le transfert des compétences de transport scolaire.
Sauf qu’en Ile de France, le transport scolaire est d’ores et déjà pris en charge par le STIF, et que l’opération devrait donc être neutre, en principe… C’est dans ce contexte que le président du Conseil départemental a réagi dans un communiqué, pour défendre sa recette de la CVAE, en 2016 et après.
“Il faut bien entendu dégager de nouveaux financements pour les transports publics en Ile-de-France, j’ai eu l’occasion de le souligner à de nombreuses reprises. Mais il est hors de question que cela consiste en une ponction sur les finances des collectivités, via des transferts de CVAE comme cela est évoqué dans la presse, par exemple des départements à la région, qui ne seraient justifiés par aucun transfert de charges. Les départements franciliens sont touchés, comme les autres collectivités, de plein fouet par les baisses de dotations de l’Etat et sont en grande difficulté financière du fait notamment de la progression très forte de leurs dépenses sociales et solidaires. Une nouvelle ponction massive sur leurs ressources serait totalement inacceptable, s’alarme le président du Conseil départemental du Val-de-Marne. Pour le financement des transports publics, j’ai de longue date avancé des propositions, en particulier l’augmentation du versement transport dans les zones géographiques les plus dotées en emploi, dans la perspective d’un rééquilibrage de l’emploi vers l’est de l’Ile-de-France et vers la grande couronne, ainsi que la mise à contribution des parkings des grandes entreprises de bureaux et des centres commerciaux, soit un mode de financement particulièrement vertueux du point de vue de l’environnement. Je relève que le gouvernement Fillon auquel appartenait Valérie Pécresse avait entendu ces propositions et avait mis en œuvre des financements pour les transports publics franciliens dans le cadre du projet de loi de finances 2010. Les gouvernements Ayrault et Valls ont également apporté des financements aux transports publics franciliens en ayant recours à ces outils fiscaux en 2012 et 2014. Il est nécessaire de franchir une nouvelle étape en 2016 pour assurer le financement du système de transport francilien. C’est tout à fait possible en ayant recours à des modes de financement permettant le rééquilibrage de l’activité en Ile-de-France et vertueux pour l’environnement. Il serait inacceptable que soient privilégiées des solutions s’attaquant de façon délibérée aux départements et à leurs politiques sociales“, poursuit le sénateur communiste dans un communiqué.
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Bonjour,
Trop de gratuité, il est normal que lorsque l’on a à se déplacer on paie, surtout que les gens ne marchent plus, ils prennent ou leur voiture ou le bus pour un oui pour un no, c’est très bon de marcher. Pour ma part, je dois prendre les transports même pas 2 fois par mois. Je marche et garde la forme, et vais rarement chez le médecin. Alors,
Il est normal que la marche soit moins bien considérée.
1 – les trottoirs sont en piteux états
2 – il faut slalomer entre les voitures stationnées sur les trottoirs, les scooters, les bornes La Poste, les poteaux électriques, les potelets, les panneaux publicitaires, poubelles, dépôts sauvages d’ordures, sans oublier les feuilles en automne (car les villes ont réduit les passages des cantonniers avec la crise).
Essayez de marcher en tenant la main de quelqu’un, vous êtes soit obligé de vous lâchez la main souvent à cause de ces obstacles, ou alors d’en faire passer l’un avant l’autre.
3 – Certaines villes sont des villes dortoirs, avec peu de commerces, donc la voiture est obligatoire pour le pain.
4 – la dangerosité des passages piétons, les accidents corporels avec les piétons sont en hausse, les accidents de la route sont en hausse tout court.
Je connais beaucoup de parents qui se rendent à la maternelle en voiture, ou au primaire, car ils ont trop peur que leurs enfants aient à traverser des axes dangereux, ou même des passages piétons protégés par des feux routiers sont régulièrement grillés et le théâtre d’accident tragique (Champigny, RD3, Avenue De Gaulle)
5 -disparition des passages piétons, la grande mode est de mettre des passages piétons sans bandes blanches, comme à Paris dans le 1er arrondissement où l’on teste des petits pois blanc peint au sol à la place, mais allez faire comprendre à un automobiliste que ceci est un passage piéton (il y a bien des panneaux, au format A2, mais seuls les piétons peuvent les lire)
6 – on ne nous voit pas. peu de villes éclairent les passages piétons la nuit, or en hiver, il fait nuit tôt, de plus, les aménagements de la sécurité routière aux abords des passages piétons (ne plus permettre aux véhicules de stationner à proximité d’un passage piéton pour ne plus cacher les piétons des automobilistes) peinent à être mis en place car ça supprime une place de stationnement.
7 – en cas d’accidents, on nettoie la route, mais jamais les trottoirs, je le constate à Champigny, si une voiture termine sa course sur un trottoir, seul la route sera nettoyée (de l’huile et des bris de verre), mais pas le trottoir.
8 – En hiver, les propriétaires ne salent pas devant chez eux comme les y oblige la loi.
9 – Piétons, vous êtes engagés sur un passage piéton, certains automobilistes accélèrent pour vous empêcher de traverser, ou rechignent à freiner, et vous klaxonnent car vous les avez forcer à ralentir !
10 – Les automobilistes pensent qu’ils ont la priorité.
Moi aussi je marche souvent, mais j’ai peur de traverser la RD3 quand je vois les vitesses folles de certains automobilistes.
Sur la RD3 à Champigny, sur 4 voies à traverser, j’en avais traverser 1.5, et je me suis fait klaxonner car l’automobiliste jugeait qu’il était prioritaire, il n’a pas cherché à ralentir d’ailleurs, c’est passé de justesse.
Comme il y a des radars feu rouge, il devrait y avoir des radars passage piéton, aux endroits les plus dangereux
à défaut, des équipes mobiles pour prouver l’infraction des chauffards
http://www.securite-routiere.gouv.fr/connaitre-les-regles/les-radars/les-types-de-radars/radar-feu-rouge
J’ai proposé au Gouvernement la création d’une police de la route, uniquement dédiée aux services de la Route, dégageant ainsi la Nationale de cette tâche, comme en Angleterre, Suède, Japon, USA, Allemagne, Russie, …
Ca créerait des emplois, sans oublier les infrastructures (voitures, bureaux), ça ferait tourner la croissance, mais non.
A Champiugny lors des brocantes du tremblay, on laisse les gens se garer sur une sortie d’autoroute, sur la route, et sur un séparateur de voies, sans aucune sanction ! Ha si, on sanctionne nos impôts car des travaux sont en cours pour empêcher les automobilistes de stationner à certains endroits. 300 000€ de coût je crois (ou 200k€), super, merci !
Et j’ajouterais :
11 – dans les études de déplacement et de transport, le piéton est toujours oublié
Regardez tous les dessins des architectes, le piéton est toujours représenté les mains vides, alors que souvent un piéton porte un sac, ou tient la main d’un enfant, sans oublier qu’il peut pousser une poussette.
La prise en compte du piéton dans sa globalité a été décrit dans une note franco-suédoise, “le piéton suédois”, qui montre que dans les pays du Nord de l’Europe, le piéton est pris en compte dans sa globalité, mais aussi comme un moyen de transport.
La solution est évidente et tant pis si elle déplaît au CG94, la SGP a les moyens de payer en retardant l’ouverture de sa ligne rouge sud à l’horizon 2025 {les Jeux Olympiques étant très hypothétiques [à moins que le gouvernement n’arrose les décisionnaires comme cela fut pratiqué en 1998 pour le ballon rond (…) !] et l’exposition universelle pour le moment virtuelle, retarder le chantier est tout bénéfice dans la mesure où de toute façon, le projet a été grossièrement surestimé quant à ses avantages et malhonnêtement sous-estimé concernant ses inconvénients …} les économies faites permettront la réalisation de projets locaux beaucoup moins couteux comme les TCSP (Transports en Commun en Sites Propres) sur la voirie sans oublier l’ouverture aux voyageurs de la GdeCeinture .
Exemple : 1 tram des Gares de Paris-Orléans&Lyon à celle de Vaires-Torcy se paye moins cher que le prolongement de M…1 du Fort de Vincennes au Val de Fontenay ; Le Val de Marne ne manque sinon de chemins de fer existants à rénover avant de rêver à y creuser de nouvelles voies ferrées !
On ne va pas retarder le GPE, la date officielle de mise en service (de 2 lignes) est prévue pour le 09 avril 2024, soit 2 mois avant les JO (si on les a).
Mais le GPE a su trouver de l’argent, en Chine, et oui, la Chine investit un milliard dans le GPE.
Bien sûr, on découvrira plus tard les clauses et conséquences de cet investissement.
Mais comme vous, je milite pour la réouverture de la Grande Ceinture, il serait aisée de rouvrir un trafic des SAULES RER C à la Varenne RER A, le tout en reliant plusieurs RER entre eux, et en se servant de gares existantes et/ou désaffectées.
Le 93, va mettre en place un “tram” sur sa grande ceinture, c’est la tangentielle nord.
La problème est que M Favier a aussi reporté d’autres projets en sites propres, comme le Est-TVM qu’il a décalé à 2020 et plus.
Personne ne veut améliorer l’existant.
La preuve, regardez, le T1 est à bout de souffle, surtout les trams, et pourtant aucun nouveau matériel n’est prévu avant 2025 ! ! !
Pareil pour le RER B, au mieux, un nouveau matériel roulant arrivera en 2030.
Le T5 (Garges – St Denis) était déjà à sa pleine capacité 1 mois après son ouverture, en même temps, le STIF avait décidé de supprimé plein de lignes de bus qui partageaient un bout de parcours avec le T5, donc tout le monde se jette sur le tram.
Les transports sont mal conçus, on fait au moins cher, et on pousse à bout les infrastructures et matériels roulants. Sur la A, les postes d’aiguillages RATP datent des années 70, et sont conçus pour 40 ans, mais ça y est, on a atteint et dépassé l’âge de leur durée de vie, pourtant aucune grosse opé n’est prévue avant 2020.
Super.
Si on compare au Japon, où certes les transports sont 100% plus cher (un pass illimité reviendrait à 200€ chez eux, à Tokyo), mais sils ont moins de panne car tous les 15 ans, ils changent tout, dès que le matériel (signal, escalator, ascenseur, …) atteint sa durée de vie, voire avant, ils le changent.
Ainsi ils ont peu de panne, comme nous avec une voiture neuve, où on doit juste faire une vidange les 4 premières années, et pas de CT. Là c’est pareil, tout est neuf, donc ça tourne impeccablement bien, et juste avant la date limite, zou on change, ça fait tourner l’économie Japonaise ainsi.
La Chine est au bord du Krach ; Ses instances nous ont donc fourni 1 financement de papier ! Mais {Chut …} le gouvernement se persuadant à longueur d’année que le retour de la croissance est imminent et n’ayant de cesse de pronostiquer la fin du chômage ???????? Christian Favier a fait comme ses copains du 92 (voici pourquoi je parle d’UMPCF) savoir que tout projet repose sur la réalisation préalable du GPE sans comprendre que la gestion avisée est d’investir à rendement croissant et non l’inverse mais comme toute la classe politicienne, il s’emprisonne dans 1 schème* fascisante post-MUSSOLINIenne qui est de maintenir la part de marché des transports automobiles, aux dépens de la restauration de celle du chemin de fer …Preuve en est, s’il en fallait : Il préfère lotir la gare désaffectée plutôt que de chercher à la faire remettre en activité !
*Rappelons que le Manifeste du Futurisme fut publié en février 1909 dans le Figaro par le cofondateur du parti fasciste et que son principe n’est toujour pas remis en cause (…) !
Et alors?
LE GPE est financé avec quel argent?
Pour le moment le GPE n’est doté que de 6mds, pour un projet qui va en coûter 20, donc autant dire, qu’aux prochaines présidentielles, le projet peut tomber à l’eau.
Il est vrai que seuls les Maires se sont prononcés sur le tracé, et certains maires se sont battus pour avoir des gares, mais il faut quand même bien désenclaver les banlieues, pas normal de mettre une heure pour aller à Créteil en habitant Champigny en prenant 2 bus, ou 2 bus et un RER.
Mais oui, dans les années 2000, le STIF voyait grand, 100 lignes de bus en site propres, au final 15 ans après on en a que 15….
Je suis d’accord avec Vous, que les Experts ferroviaires sont contre le Grand Paris et souhaitent une plus grosse rénovation du réseau actuel. Mais ça fera moins tourner la “croissance”
Ce sera bien la meilleure chose qui se puisse produire, l’abandon du “métrautomatique” car c’est du hors-sol avec aucun respect des usagers, exclus des consultations au profit des maires qui se fichent des problèmes puisqu’étant cumulards ils ne se préoccupent que de leur réélections d’autant qu’ils se transportent avec véhicule individuel et chauffeur ! Mais comme je ne m’oppose que parce que les officiels refusent d’entendre le langage de La Raison, je trouve que les solutions ne se puivent trouver qu’en surface, le souterrain se faisant une fois que les moyens à l’air libre ont été épuisés ce qui ne fut jamais le cas du métro parisien, colossale arnaque …
Il faut regarder le nombre de dizaines ou centaines de milliers de personnes à transporter, la distance du travail au logement. Les RERs et métros ont leur place dans le réseau, là où le nombre de voyageurs est le plus important.
Dans les années 60-70 votre grand-père aurait dit que la ligne RER A serait inutile. Aujourd’hui elle est saturée. Les tramway aussi, et bien plus vite, car calculés trop justes.
Dans les années 60, mon grand-père maternel a en effet contesté outre la modicité des sommes consacrées au réseau ferré nationale {l’Île de France en étant 1 part} le passage du RER A par Nation car il pensait qu’il pouvait être direct de Bel-Air (la petite ceinture ayant été réouverte pour l’occasion !) à Gare de Lyon ; Il défendait par ailleurs le maintien du terminus de la Bastille (avec électrification !) tout comme il souhaitait que les trains de St Germain en Laye puissent aussi continuer à desservir la gare de PARIS-St Lazare MAIS il est clair que tandis que la RAPT défendait son bout de gras (=le monopole parisien), le gouvernement NAtional-SocialistE français {NASE [ou NAZI en Version Originale puisqu’il s’agissait du programme d’Hitler, copié après 1945 par les dèmocraties !]soit tout état privilégiant l’essor de l’automobile et favorisant la construction des autoroutes aux dépens des voies ferrées} de l’époque se préoccupait de circulation routière avec le bouclage du périf que de transport urbain : La démolition-reconstruction des gares du RER A tout comme le trou des Halles n’étaient d’ailleurs pas nécessaire mais comme ON le voit aujourd’hui où la SGP se satisfait plus de créer de nouvelles “gares” que d’assurer la meilleure interconnection souhaitable, les pouvoirs publics ne se montraient d’une grande rigueur que pour mégoter sur l’entretien de l’existant : Combien de relations ferrées furent-elles supprimées en place d’être modernisées ? Le gouvernement actuel [CG inclus] se trouve dans le même déni en refusant avec entêtement la remise à jour des priorités !!!!!!!! Espérons que la région saura sortir du cercle vicieux constitué par la priorité insensée donnée aux lignes de métro sur le réseau de tram ce qui obère l’économie générale par ces calculs vicieux …
Il y a trop de gratuité… le salarié paie la moitié de la zone , et l’employeur rembourse la moitié
Pas de Pass Navigo aux personnes qui ne travaillent pas.
Le Pass Navigo finance une minorité du prix des transports. Les impôts de tous, retraités imposables (et qui paient leur PassNavigo) compris, y contribuent aussi. Mais je vous rejoins, il y a trop de gratuité avec tant de panne et de trains bondés la priorité est la rénovation du réseau.
Sur une idée lumineuse de la gauche, de la gauche, le Naviguo à tarif unique a été mis en place à quelques mois d’une échéance électorale (Régionales),sans vraiment le budgéter.
Déjà lorsque la gauche était encore majoritaire à la Région, la question de son financement était soulevée et les craintes, alors que des travaux et rénovation du réseau, des rames s’imposent…
Aujourd’hui, Mr Favier fat mine de s’inquiéter ? Alors que ce sont “ses” collègues PC, PS, EELV qui ont mis en place cette ineptie et financièrement intenable.
Donc, qu’il assume et accepte désormais ce qui va se passer…
Même si cet homme fait partie des gauches¤ ;
C’était une proposition de JeanFrançoisCopé lors de sa candidature de 2004 …
¤Il n’y a plus de Droite Politique en France depuis belle lurette puisque plus personne ne paraît revendiquer la Monarchie Franche .
Bonjour,
Pour ma part, depuis que je suis retraité, ne bénéficiant plus des 50% de prise en charge du pass par l’employeur, j’achète des carnets… mais je fais attention à mes déplacements. Je ne pense pas que le STIF y gagne.
Par ailleurs, je voudrais dire à Tesse, dont je pense qu’elle réagit sous le coup de l’humeur, ce qui m’arrive aussi, que vivre sans payer les transports, la CMU, l’électricité, ne laisse que le RSA, ce qui ne permet pas de vivre “grassement”. En ce qui concerne l’impôt sur le revenu, je fais partie des 50% de citoyens qui le paient; les autres 50 % ne sont pas tous au RSA, ou bien ça va encore plus mal que je le croyais.
Bonjour,
Pour ma part, il devrait y avoir plus de contrôle car les gratuités ras le bol, nous payons pour ceux qui vivent grassement même s’ils ont le RAS ils ne payent pas les transports, cmu gratis, apl, edf, et de plus pas d’impôts eetc…. au final : prés de 1200 € par mois alors, mieux vaut ne pas travailler. Vrai, je dis vrai
Ne travaille pas alors…
Au Budget primitif 2014, le département 94 avait inscrit 183 millions d’euros de recettes pour CVAE. Autant dire que passer la part départementale de la CVAE de 48,5% à 23,5%, cela représente près de 90 millions d’euros. Sur un budget de plus de 1 500 millions d’euros.
https://94.citoyens.com/files/2014/01/Budget-Conseil-Général-Val-de-Marne-2014.pdf
Faire appel aux impôts pour financer le Pass NAVIGO serait une démonstration d’incompétence dans la gestion de la région. A suivre !
La question est surtout de savoir comment l ancienne majorité de la région envisageait de financer le pass Navigo. Si le PS et EELV n’avaient pas prévu le financement c’est grave!
C’était prévu qu’il y a un trou, mais le STIF de Huchon avait décidé d’attendre 2016 pour voir si la vente supplémentaire de nouveaux pass à ce prix allait combler le trou, et donc en 2016, faire le point sur le manque à gagner.
Mais oui, ça a été décidé à la va vite.
D’ailleurs le site mobilettre .com dans son édition du 12/01 consacre un sujet sur ce problème.
En même temps, Huchon n’a mis le pass navigo à 7tien du PC et de EELV en vue des Régionales.
Mais avec ce pass, le déficit par rapport aux anciens tarifs est de 500 millions par an.
La Région (Huchon) avait promis des réductions de charges, mais il manque toujours 300 000millions.
Soit on augmente de ce pass, chose faite en 2024, il coûtera 115€, soit on taxe quelqu’un.
On pourrait taxer les Elus qui ne prennent pas les transports, ou leur retirer la gratuité des transports.
Ou taxer le diesel et l’essence
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