Alors que plus de 85 000 demandes d’asile ont été enregistrées en 2016 en France contre 80 000 en 2015 et moins de 70 000 en 2014, avec notamment une hausse des demandes de Soudanais, d’Afghans, mais aussi d’Albanais, l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), dont le siège est situé à) Fontenay-sous-Bois, doit suivre le rythme et a mis les bouchées doubles.
Objectif : réduire les délais de traitement des dossiers de 5 à 3 mois. C’est du reste pour signer un contrat d’objectifs en ce sens avec le directeur de l’office, Pascal Brice, que le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, a commencé sa matinée du 12 janvier à l’Ofpra. Le ministre a salué les réformes de modernisation de l’office, engagées depuis 2012-2013, et son intégration de la réforme du droit d’asile de juillet 2015. Entre 2012 et 2016, les effectifs de l’Ofpra sont passés de 450 à 800 agents, a souligné le ministre, indiquant également que dans ce même intervalle de temps, le nombre de places en Cada (Centres d’accueil des demandeurs d’asile) était passé de de 20 000 à 40 000. Le taux global d’acceptation, lui, est de 37% a précisé Bruno Le Roux, en progression de plusieurs points par rapport à 2015. Et l’an dernier, les trois quart des demandes acceptées l’ont été en première instance, et non à la suite d’un recours auprès de la CNDA (Cour nationale du droit d’asile).
et pendant ce temps nous subissons des visites dans nos jardins et résidences…. !!
L’article donne des informations sur le nombre de demandes d’asile, ainsi que sur le taux global d’acceptation (37%). Il manque le nombre, ou la proportion, des 73% ‘globalement’ refusés qui sont toujours en France longtemps après. Car des sources autres que le ministre le situent à 90%…
Ceci n’enlève rien au travail des agents de l’OFPRA, qui font un travail sérieux. Mais aux 5 (ou 3) mois de traitement des dossiers par OFPRA, il convient d’ajouter le délai (à préciser) des recours en justice , largement plus. Et ensuite le nombre de personnes qui ne sont pas expulsées, et préciser pourquoi.
A défaut du ministre ou du préfet, la député L. Abeille (que l’on voit sur la photo) a sans doute la réponse.
85 000 demandes (donc de demandeurs) par ans !!! c’est la population de Villejuif+l’hay …
J’aimerais connaitre les dépenses direct et indirect liées à ces demandes … a court / moyen et long terme… en revanche j’ai connais déjà qui va payer…
Il faut simplement garder en tête que ces populations viennent à terme grossir l’électorat des maires et conseillers généraux (communistes, écologistes) qui sont souvent obsédés par conserver leur place, peu importe ce qu’il en coûte au pays (en termes financiers et identitaires). L’exemple du maire de Sevran en est une parfaite illustration, il laisse les lois de la République être bafouées sur le territoire de sa commune pour pouvoir être réélu. Ceux qui peuvent vraiment financer ce genre de politique coûteuse (impôts locaux) ne restent pas dans ces zones ; les réfugiés logés en France ne payent pas d’impôts directs, aussi malheureux et infortunés soient-ils.
La notion de frontière de pays est là pour préserver un mode de vie ; vous les faites sauter en élisant des européistes à la solde des banques, il faut alors accepter que votre mode de vie change.
C’est magique, toutes ces bonnes têtes d’édiles qui vivent dans les beaux quartiers (avec la police qui garde leur seuil de porte et leurs chauffeurs qui garent leurs voitures), pendant que l’autre France subit les effets de leurs signatures hypocrites. C’est vraiment catastrophique.
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