Les déplacements à bicyclette représentent aujourd’hui 2% des déplacements en Ile-de-France. Objectif pour 2025 : 7%
Le développement de la pratique du vélo, c’était l’un des axes du Plan de déplacement urbain en Ile-de-France (Pduif) 2010-2020 adopté par la région. Il prévoyait notamment de résorber les 100 principales coupures urbaines recensées sur les itinéraires piétons et vélos, d’achever les aménagements cyclables sur les 4 400 km d’itinéraires du réseau structurant régional en le complétant par des itinéraires locaux, de créer 20 000 places supplémentaires de stationnement vélos aux abords des pôles d’échanges, d’aménager au moins un quartier en zone de circulation apaisée (zone 30, zone de rencontre, aire piétonne) dans chaque ville de plus de 10 000 habitants et aussi d’aménager des zones de circulation apaisée aux abords de tous les équipements scolaires.
A mi-parcours, en 2015, 2 400 kilomètres d’aménagements cyclables avaient été réalisés depuis 2010, la majorité à l’échelle locale, et seulement 1 100 kilomètres concernaient le réseau régional cyclable structurant. Alors que le réseau totalisait environ 900 km de voirie cyclable en 2010, il s’étendait sur 1 500 km en 2013. Au-delà du réseau structurant, les collectivités ont développé des réseaux d’intérêt local. En 2013, le linéaire d’itinéraires cyclables sur l’ensemble de la région atteignait ainsi un total de 3 532 km. Les aménagements se concentrent principalement dans l’agglomération centrale et le cœur de métropole (Source IAU Île-de-France, Note Rapide, « Toujours plus d’itinéraires cyclables en Île-de-France », n°669, décembre 2014).“L’objectif fixé par le PDUIF à l’horizon 2020 apparaît ainsi trop ambitieux et il ne sera pas atteint malgré une dynamique soutenue”, constatait un rapport d’évaluation réalisé en 2015 par la région, préconisant une priorisation en mettant l’accent sur la continuité des itinéraires à l’échelle locale. Concernant le stationnement aux abords des gares, 15 % des 20 000 places avaient déjà réalisées sous l’impulsion du programme Véligo financé par le Stif mais le rapport notait que le nombre de places offertes sur le reste de l’espace public reste très limité en dehors de Paris intra-muros. Concernant les zones 30, la plupart des communes franciliennes de plus de 10 000 habitants en possèdent une ou plusieurs et l’objectif du Pduif était donc quasiment atteint même si peu d’entre elles ont généralisé la voirie à 30 km/h sur la voirie locale. Enfin, seulement 24 % des principales coupures urbaines avaient été résorbées. Télécharger la note d’évaluation spécifique à la thématique vélo, réalisée en 2015 par l’Omnil (Observatoire de la mobilité en Ile-de-France).
Depuis un colloque sur le sujet en 2016, il a été décidé d’organiser des séminaires régionaux tous les ans sur chaque thématique du Pduif, avec notamment un sur le vélo. C’est dans ce contexte que se tenait ce 21 mars le premier séminaire régional dédié au vélo à la Maison des syndicats de Créteil.
La question du vélo en ville est-elle devenue consensuelle? “Pas encore, estime Pierre Garzon, vice-président du Conseil départemental en charge des transports, également élu au Stif (Syndicat des transports en Ile de France), car plus de places pour le vélo signifie forcément moins de voitures. Il y a toutefois une accélération du nombre d’élus et de collectivités qui pensent qu’il s’agit d’une solution crédible pour répondre aux enjeux environnementaux et non pas une lubie de quelques lobbies pro-vélo. La bicyclette est très pertinente pour les déplacements de moins de 3 km, soit la moitié des déplacements franciliens. Les épisodes de pollution, qui vont se multiplier avec l’abaissement des normes, impliquent de facto moins de voitures, et la limite capacitaire des transports publics nécessitent des alternatives. D’où la nécessité de travailler sur les obstacles qui perdurent comme le maillage entre les pistes cyclables et le stationnement sécurisé. Il n’y a pas de problème technique irréductible à condition d’accepter un nouveau partage de la voirie et de s’en donner les moyens en termes d’investissement. Car le franchissement de certains obstacles comme la traversée de la Seine, d’un faisceau ferré ou d’une emprise industrielle nécessitent des investissements techniques et donc coûteux. Cela revient donc à se poser la question de l’importance que nous souhaitons accorder à ce mode de transport. Considérons-nous que le vélo est une anecdote qui fait sourire ou qu’il s’agit d’une alternative crédible? Si tel est le cas, il faut lancer le Grand Paris du vélo comme il y a eu le Grand Paris du métro et actuellement le Grand Paris des bus, en travaillant sur des ressources propres. Le transport gratuit mis en place lors des épisodes de pollution coûtait 29 millions d’euros. Pourquoi ne pas reporter cette somme pour la prévention ?” questionne l’élu qui invite également à réfléchir à un fléchage fiscal propre.
Concernant le Val-de-Marne, qui compte 22 des points noirs identifiés par la région lors de l’élaboration du Pduif en 2010, en raison des nombreux franchissements de Seine, Marne, voies ferrées voire d’installations industrielles, l’effacement des gros obstacles s’effectue en parallèle des grands travaux de voirie et réfection d’ouvrages, qu’il s’agisse des régénérations de départementales (RD5, RD19…) ou des rénovations de pont comme Mandela à Ivry ou celui de Choisy, où est prévu un encorbellement pour installer une passerelle circulation douce, tout comme celui de Nogent. Au total, le département compte à ce jour quelques 250 kilomètres de pistes cyclables.
Concernant le stationnement autour des gares, l’objectif est de 2 000 places abritées nouvelles d’ici fin 2018. “Les places de stationnement sécurisées autour des gares rencontrent un grand succès et il est nécessaire d’en prévoir tout de suite suffisamment, insiste Pierre Garzon. Sur la ligne 14 Sud par exemple, nous estimons qu’il en faut au moins entre 100 et 200 par station. Nous travaillons également sur le stationnement à domicile. Dans le parc de Valophis Habitat par exemple, nous avons installé plusieurs boxes à vélo en sacrifiant quelques places de parking automobile pour que les locataires puissent garer leur vélo en toute sécurité plutôt que le porter sur leur épaule jusque chez eux.”
Pour l’élu, un objectif “ambitieux mais réalisable” serait de miser sur une proportion de 7% des déplacements franciliens en vélo d’ici à 2025.
Pour nos détracteurs et surtout pour amener les habitants à toujours plus de pratique du vélo, à les diriger sans idéologie primaire vers cette pratique, nous participons encore aux appels à projets de Paris et sa région, toujours pour la même logistique, créer une flotte, c’est notre but:
http://www.paris.fr/actualites/economie-circulaire-cap-sur-le-reemploi-et-la-reutilisation-3454#qui-peut-deposer-un-dossier_2
Démontrer que c’est par le local et par de vrais collectifs d’habitants en place que les choses évoluent. C’est avec plaisir que nous recevrons encore vos remarques!!! Parlez de nous, on adore.
Une poignée d’agitateurs, des révolutionnaires ou de baratineurs prétendent représenter tout le peuple. Ils se gonflent, se remuent, alertent les voisins, cherchent des appuis, soulèvent des scandales, promettent le bonheur et la liberté. Cependant que le peuple les regarde avec étonnement, méfiance et incompréhension…Donc le peuple, c’est eux. Ce n’est pas le peuple qui se soulève, ce n’est pas le peuple qui veut ceci ou cela, ce sont des chefs de file qui prétendent le représenter et disent que leurs idées sont celles du peuple.
Jacques Ellul “Exégèse des nouveaux lieux communs” 1966
Qui est-ce qui pose les poteaux trop près des rails ? A moins que ce ne soit le mécanicien du train qui s’amuse à les frôler ?
Merci pour ce bon moment de poilade, pour ma part, j’arrête de nourrir le troll, parce qu’il me fait plutôt penser à ce sketch de Kevin Razy : https://www.youtube.com/watch?v=rVQ-Ep3A5MY&feature=youtu.be
“äneries vélocipédiques”, m’en direz vous tant…Egos perturbés, ça c’est bon!
Un étudiant en médecine ou en sociologie aura matière pour une belle étude de cas en lisant cette page.
A se demander si Luc Antoni n’a pas croisé certains individus qui lui auront inspiré “Les poteaux” .
Même un étudiant en psy, aurait matière pour une belle étude, sur les réactions à notre post: “Je vais vous dire pourquoi je n ‘ai pas peur du train, je suis qqun qui prend souvent l’avion” . “Les fous qui n’en ont pas l’apparence, il en faut”…Humour qui se veut profond, mais, malgré tout, dans la même lignée légère qui passe régulièrement sur Rires et Chansons. Ca ne vaut pas du Métayer…
Ce serait bien et respectueux pour ce site que vous nous fichiez la paix avec vos âneries vélocipédiques et sans aucun intérêt autre que vos égos perturbés.
Laissons Heureux Cyclage, Cyclofficine et consoeurs s’enfonçaient allègrement à coups de subventions, par les prêches de ces adeptes. Il faudra bien un jour rendre des comptes (On s’y attèle!) et surtout, dés maintenant, démontrer que les magouilles de ces structures existent. Pour le terrain, rien à redire, ils n’y sont quasiment pas…
Encore une fois, j’invite les lecteurs du Val de Marne à se rapprocher des ateliers coopératifs référencés par l’Heureux Cyclage, que ce soit la Cyclofficine d’Ivry, le tout nouvel atelier de Saint Maur, ou celui de Fontenay sous Bois pour se faire leur propre opinion et voir si la formule leur convient pour entretenir leur vélo. Le sujet de l’article étant le grand Paris du vélo, le soutien des cyclistes à ces ateliers est un facteur important de développement de la pratique quotidienne.
La Cyclofficine de Paris, après plusieurs années d’activité, est parvenue à 60 % d’auto-financement et en est plutôt fière, l’idée n’étant pas d’être complètement dépendants de ces sommes allouées par les institutions et qui fluctuent grandement selon les alternances politiques. En ce moment, elle aide un atelier semblable, dans le 11ème arrondissement, à se constituer un stock de pièces. C’est l’inverse de la compétition et de la concurrence, c’est la volonté d’essaimer une bonne idée et de coopérer entre associations similaires.
Laissons TPUV creuser un peu plus le trou où il s’est mis lui-même. C’est une manière assez peu habile de détourner l’attention sur les subventions dont on a bénéficié, que de les dénoncer chez les autres, et surtout, encore une fois, d’invectiver les associations (en citant le nom des personnes !) qui vous sont proches, de les traiter comme des concurrents, des traitres.
“Auteur: Anne-Lise
Commentaire:
vous vous rapprochez dangereusement de la plainte pour diffamation, ne venez pas pleurer sur vos futurs frais d’avocats…”
Nous nous ferons un plaisir de répondre à une plainte, les écrits placés sur cette interface et ceux véridiques enregistrés depuis qq temps, démontreront votre imposture et vos mensonges. Ne venez pas pleurer sur vos futurs désagréments…Aprés avoir balancé, il faut savoir assumer!
http://tous-pour-un-velo.blog4ever.com/newsletter/945085
“L’association TPUV a perçu, depuis la date de sa création en 2010, en tout et pour tout, 25 000 euros de subventions publiques (15 000 euros de la région IDF, 6500 euros du Syctom, 3500 euros de la ville des Lilas)” … et fait donc partie du lobby qu’elle dénonce, non ?
Bien des associations aimeraient avoir bénéficié de tels budgets ! (je ne parle même pas des simples subventions)
Et comme le soulignait un intervenant, où est passé l’argent de la réserve parlementaire du ministère de la ville ? (car même si ce n’est pas TPUV le bénéficiaire direct, La petite ReCycleRie leur est associée).
Car c’est bien joli de faire des amalgames mais il faut aller au bout du procédé et l’appliquer de chaque côté de la “frontière”.
Si quelqu’un soulignait une réelle information sur cet article, ça se saurait. Le seul intervenant constructif est pour le moment TPUV. Alimentez, alimentez, c’est intéressant de pouvoir par la suite, référencer et citer les sympathisants idéologues, antisémites, peut être un peu aussi?
Et ils voulaient obtenir 50.000€ de la ville de Paris pour leur gros camion…
Merci à la ville de Paris, on les a eus…
* sur le site de la ville, votre projet est rejeté.
https://idee.paris.fr/ateliers-mobiles-de-reparations-de-velos-et-ateliers-fixes-pour-suivi-et-adhesions-lannee
* si vous les avez eus, vous les taisez dans votre merveilleux papier “stop au bashing” lors du récapitulatif de vos subventions.
Cherchez l’erreur !
Ce qui est minable, c’est plutôt l’acharnement à répondre à côté du problème. On incrimine des lobbies qui justement, ne servent à rien, puisque le pourcentage de pratiquants n’augmentent pas, on indique que les fortes subventions obtenues depuis au moins 2010 (pour celles de Paris), n’alimentent qu’un entre-soi, c’est un fait. On se sert de notre expérience pour indiquer que ces lobbies ne vous intègrent que si vous avez la même étiquette politique. On affirme que ces lobbies prennent les habitants en otage lors de rares animations Vélo, pour par la suite, utiliser leurs “voix”, parader en débats et, construire leurs petites carrières. Si il faut être minable pour contre-carrer le crétin d’en face, on le fera (Voir dernièrement le petite groupuscule camouflé (!), pris en photo, devant le ministère pour obtenir les subventions qu’ils n’avaient pas obtenues!). Il est vrai que pour des personnes (Essentiellement celles des villes!) qui ne font du vélo que le dimanche ou pour de temps en temps aller au boulot, qui ne sont en aucun cas des professionnels du domaine (Mais sous couvert de non-concurrence, tentent d’offrir tous les services autour du vélo, Réparations, Créations de montures soudées, Location, Vélo-école, etc), c’est un drôle d’acharnement obscure, il y a derrière autre chose qui s’apparente plus à de l’activisme pur et dur pour certains et de la politique pour d’autres (Il suffit de voir les cursus de chacun des qq protagonistes pour cibler les raisons). Je réitère, Une petite société incapable de reconnaître les mérites authentiques des fausses valeurs et des impostures. Nous vivons, hélas, une époque saturée des secondes…
Minable de chez minable ces invectives pour un acte aussi insignifiant que de faire quelques minutes de vélo le dimanche … On a les combats que l’on peut, et pour devenir aussi perturbé, il faut vraisemblablement des raisons obscures !
Je constate que tous les messages de TPUV menaçant physiquement ses contradicteurs ont été supprimés par la modération et je l’en remercie. C’est navrant que quelqu’un qui se réclame de la défense du vélo se comporte de la sorte et n’aie plus d’autres arguments que des tentatives d’intimidation assez ridicules.
J’invite toutes les personnes qui auraient à présent des doutes sur le fonctionnement des ateliers-vélos associatifs et coopératifs à aller se rendre compte par eux-même si comme il vous le martèle, ce sont des lobbies juste bons à encaisser des subventions.
Je répète qu’en revanche, adopter un fonctionnement associatif suppose une certaine éthique, le respect d’une charte au minimum, si on propose des services ou des objets tarifés, que ce soit à prix coutant, le moins cher possible et sans recherche de plus-value, et surtout, surtout, la volonté de se rapprocher d’autres associations, d’établir de bonnes relations avec les plus proches de soi que ce soit géographiquement ou par la proximité des buts recherchés.
Jugez vous même si TPUV se rapproche ne serait-ce qu’un minimum de ces principes élémentaires.
Des réponses au tac au tac, des infos communiquées avec les coordonnées pour que les propos mensongers te soient rappelés, pas d’intimidation. La modération élimine le superflu, c’est bien, Cyclofficine, Heureux cyclage et consoeurs, c’est du fake. Les doutes, ils sont là et seront alimentés à chaque fois qu’il y aura une publication relative à ces ateliers et impostures.
Le rapprochement avec les autres associations est encore un leurre puisque les structures de cyclofficines ou Heureux cyclage choisissent celles qui ont la même étiquette, pas d’éthique à leur niveau. Cet acharnement à répondre aux arguments TPUV permet aux moins “pollués” de se diriger vers les réelles structures, les réelles réflexions.
Certaines associations sont des masques derrières lesquels des groupuscules développent des stratégies de séduction.
Elles en veulent à votre liberté de penser et tente d’imposer des idées rétrogrades non adaptées. les posts TPUV ont au moins le courage de le démontrer par de multiples cas réels (J’en apprends de belles!). Les lyncheur lynchés, les Tartuffes démasqués, les donneurs de leçons morales, enfin mis en avant dans ce domaine.
Comment vont réagir les manipulés de ces lobbies dits “pro-vélo” ? Vont-ils, enfin -mieux vaut tard que jamais…- ouvrir les yeux, et comprendre que le soi disant “lien social et partage” annoncé n’est rien d’autre que l’arnaque du siècle, et qu’ils ont été ces idiots utiles?….”
Quant à l’argumentaire voulue visant les associations de cyclistes, nous ne faisons pas de promo, nos actions sur le terrain suffisent. On n’est pas du vélotaf ou du machin chose à la cyclofficine ou vélorution (Même délire de personnes qui s’ennuient…), mais de réels cyclistes. On crée d’ailleurs les structures à cet effet, ateliers participatifs, magasins de vélos, gîte d’étape. On crée et on fait ce que l’on veut. Lorsque vous en aurez fait autant, vous viendrez nous voir ou, comme nous, vous vous la jouerez un peu moins moralisateurs (Stériles, puisque aucune avancée n’est remarquée!)…Le vélo ce n’est pas de la politique, ancre toi bien ça dans la tête lorsque tu t’ennuies dans ta bibliothèque!
Tout cela ressemble à une activité commerciale sous couvert d’un statut associatif….
“Le peuple est toujours cocu, mais c’est celui qui trime,”
C’est joli d’écrire cela quand on revendique 50 ateliers à l’année.
Quid des 300 autres journées de l’année ?
> S’il est bénévole, ça se comprend mais alors il a un job à côté et vivant en ville c’est lui-même un “bourge” (bourge … bourgeois … “qui habite le bourg, la ville”).
> S’il est “pro” comme il se plaît à se revendiquer, se cacher derrière le statut d’association en s’abreuvant de subventions (qu’il abjecte tant !) relève d’une logique que chacun appréciera en son fort intérieur.
Nous ne sommes pas moralisateurs, juste observateurs des traces de ce fake à l’égo boursouflé et qui ne comprend pas en quoi il a déraillé.
Par contre bien sûr, “Môssieur” a toute latitude pour juger autrui, que dis-je condamner sans rien en savoir, ou faisant croire le contraire à coup d’affirmations hasardeuses qui tombent à des lieues de la vérité.
Et comme il est pour le prolo (“ter” n’est pas tertiaire Cher Lecteur, domaine réservé à ces gens qu’il exècre), il a le droit de nous menacer (de quoi ? franchement on en saura rien de plus que ses activités) : ça fait gonfleur d’hélice plus que de chambre à air (Maman ! j’ai peur!).
En fait, fâché de n’avoir pu soutirer 50 000 euros à Paris pour son camion atelier en 2015 (*), il nourrit une haine envers tous ceux qui ne lui ont pas décerné la moindre reconnaissance (tu parles ! quand tu craches d’office sur qui tu croises sans même rien en savoir …). Alors … imaginez lorsqu’il apprend que Le 1er février 2017, Pierre Rabhi reçoit des mains d’Anne Hidalgo la médaille Grand Vermeil de la ville de Paris.
Haaaa …. c’est donc “ça” qui lui cause un ulcère, le fait cauchemarder !
Hé bé !
“Les combats sont perdus, mais il faut savoir les mener” ça me fait penser au Bataillon Charlemagne 😉
(*) https://idee.paris.fr/ateliers-mobiles-de-reparations-de-velos-et-ateliers-fixes-pour-suivi-et-adhesions-lannee
“si ça passait, c’était beau !”
Allez continue à nous faire rire … et n’oublie pas de vivre, ça ne dure pas longtemps.
“Les combats sont perdus, mais il faut savoir les mener…”, c’est pas du Charlemagne mais du Onfray, à chacun ses références…
En tout cas, vos réactions vous situent et étaient attendues pour qu’elles soient placées au plus large et qu’on sache enfin vous distinguer:
http://tous-pour-un-velo.blog4ever.com/newsletter/945085
Vous avez le Lobby, on a le ter-ter…
vous vous rapprochez dangereusement de la plainte pour diffamation, ne venez pas pleurer sur vos futurs frais d’avocats…
Pour ta gouverne, si tu sais encore un peu lire, JCVD tête de pioche:
http://afis-ardeche.blogspot.fr/2012/09/humanisme-notre-visite-chez-des.html#more%20%3Chttp://afis-ardeche.blogspot.fr/2012/09/humanisme-notre-visite-chez-des.html
Les mêmes techniques utilisées par ces dits “pro-vélo”, Les 3 pelés qui s’égosillent sur cet article…Une petite société incapable de reconnaître les mérites authentiques des fausses valeurs et des impostures. Nous vivons, hélas, une époque saturée des secondes.
Et bien, le monde de la pédale ne fait vraiment envie : que de jalousies, d’aigreurs et j’en passe.
En plus, j’apprends que ces associations, censées être à but non lucratif se font un maximum d’argent sur des réparations de vélos. Elles deviennent donc passibles de l’impôt et de la TVA (étant artisans voire commerçants), non?
Pour répondre intelligemment, les associations amis de Anne Lise et les structures incriminées, ont été pendant des années financées par nos impôts, pour ensuite devenir des Scop ou des Sarl. Alors, la, insurgez vous vraiment!!! (De surcroît, Anne Lise de la Cyclofficine ne vous indique pas que c’est le but de la structure qu’elle défend bec et ongles, nombreux articles de presse le notifient…).
Venez nous faire la morale avec vos mensonges ou fausses indignations par la suite!!! Voilà le fake, des gens qui parlent de vélo mais qui n’ont qu’un entre soi pour projet commun. Pour revenir au thème, la pratique du vélo ne risque pas d’augmenter avec ce genre de personnes…
« Les combats sont perdus, mais il faut savoir les mener…Il y a autre chose que Paris (Strasbourg, Lyon) en France. Paris n’est pas un arrondissement qui fait la loi, un groupuscule criard qui s’impose, même dans notre domaine.
Paris est une concentration de Rastignac. Lorsqu’on ne rentre pas dans les cases, on peut dire qu’on n’a pas besoin de ces lobbys jacobins, on peut en faire l’économie. C’est ce que nous faisons.
Le peuple est toujours cocu, mais c’est celui qui trime, qui ne connait pas les arrangements, qui a une dignité, un bon sens. Avec ce génie populaire, Il a une inventivité qu’il n’y a pas ailleurs. Il n’a donc pas besoin de « sous maîtres » qui s’occupent du domaine visé.
Il ne faut pas être courtisan (Voir les dits acteurs incriminés draguer les politiques et les petits journalistes style « Le pouvoir de la pédale ») et jouer la démocratie participative, les cahiers de doléances sont toujours les mêmes…
Notre obsession est celle du réel. Quand on nourrit le ressentiment, une éviction, on doit s’attendre à un retour brutal. S’en plaindre, c’est perpétuer ce principe jacobin arrogant.
On peut faire une proposition à Paris et ailleurs, finie la transcendance, finis les « monarques, l’immanence s’impose lorsque les impostures règnent (Voir dans un domaine différent mais assez lié avec les protagonistes cités, l’affaire Rabhi et sa décoration). Une proposition franchement girondine, une réelle dynamique en excluant cette « caste » de chaque domaine (Hobby pour les uns, devenir pour les autres).
C’est pour le réel. »
Et à part du copié-collé de commentaires et manier invectives et insultes à longueur de texte, expliquez-nous un peu en quoi votre haine des associations cyclistes fait du bien au vélo, à son image, aux cyclistes… parce que là, c’est loin d’être clair.
L’adhésion à l’Heureux Cyclage suppose le respect d’une charte https://www.heureux-cyclage.org/la-charte.html, TPUV n’a pas pu y entrer pour les raisons que j’ai évoquées : se comporte plutôt comme un artisan/commerçant en retapant des vélos vendus assez cher. Les ateliers vélos qui se transforment en coopératives en sortent pour les mêmes raisons et le comprennent très bien.
Les associations cyclistes n’ont rien à reprocher aux artisans qui réparent bien ni aux vendeurs du secteur commercial, on est encore bien loin d’être en situation concurrentielle avec les ateliers vélo d’auto-réparation, et il en est de même en matière de vélo-école, d’ailleurs. Vous en avez créé une juste pour nuire à la voisine ? ça en dit long sur votre ignorance de l’ampleur du problème, sans même parler de la laideur de la motivation.
La laideur est essentiellement dans l’imposture que tu représentes et les mensonges que tu tentes de propager (Gros lol), tu fais un transfert. N’utilise pas les termes Associations cyclistes aussi légèrement, nous en sommes une et tu n’es pas notre porte parole, bien au contraire. Les artisans sont nos amis et il est évident que lorsque Cyclofficines et consoeurs tarifent chaque service, ils sont en concurrence directe. Nous l’indiquons de manière efficace à tous les les réparateurs et vendeurs du secteur commercial (Ce sont d’ailleurs nos fournisseurs principaux de déchets Vélos).
Merci la modération, on passe le mot sur Saint maur…
Pourquoi on ne répond plus depuis longtemps aux propos fielleux de Cyclofficines et consoeurs (Ils indiquent plus de 100 ateliers en France, on y croit! Faut bien gonfler les chiffres pour devenir lobby) , en tout cas sur le forum Velotaf où il (?) est venu également déverser sa haine des associations de réels cyclistes qu’il qualifie de « marchand de vélos » .
Ce que fait réellement celui qui écrit au nom de Cyclofficine :
Il a créé une association pour bénéficier de jolis locaux gratuits à Ivry, Paris 20 et Pantin dernièrement (Bon,ils viennent encore chez nous parce que là bas, c’est un peu la misère!), et à présent, il restaure des vieux vélos qu’il revend relativement cher (D’ailleurs tous les services de Cyclofficines sont tarifées; il faut bien payées les fêtes d’entre-soi! Les voisins, habitants du 20ème attesteront). Pour se donner une apparence associative, de temps en temps, il anime un atelier de rue dans les quartiers de Pantin ou de Romainville (A coups de subventions de Contrat de ville, sinon impossible!lol), à l’aide d’un gros triporteur roulant au Lithium (Bouhhhh!), qu’il s’efforce de remplir au maximum de vélos usagés qu’il retapera et revendra ensuite.
Personne ne lui a reproché son petit bizness, les vélos qu’il restaure ont fière allure, ça a juste coincé quand il a essayé de récupéré TPUV pour le lobby l’Heureux-Cyclage et la coordination naissante des ateliers en Ile de France, depuis, il crache sa rancoeur aussi souvent que possible.
Il en veut particulièrement aux indépendants que ne sont pas les Cyclofficines, qui sont proches géographiquement (Territoire à subventions et gentrification, oblige…), et ne pratiquent pas du tout les mêmes tarifs (Tout est tarifé malgré les locaux gratuits prêtés par les villes!), autant pour entrer dans l’association que pour acquérir un vélo, et plus grave à ses yeux, sont souvent appelées par les communes de l’est parisien pour animer des ateliers de quartier (De Pantin à Montreuil, les ateliers sont assurés par TPUV et pour Saint maur, un suivi des 600 adhérents des premières années, eh oui!). Évidemment, comme on n’arrive pas avec un triporteur au Lithium mais avec un camion adapté, on ne lui fait pas beaucoup de tort dans son activité de récupération de biclous, mais quand même, il a l’impression qu’on « chasse sur ses terres »…
Je ne me réjouis pas que Saint Maur des Fossés voit prochainement l’ouverture d’un atelier vélo un tant soit peu coopératif, le CycloRecyclé. (à partir du mois de juin, en attente de subvention et de professionnels…) http://www.lecyclorecycle.fr/ puisqu’ils font partie du même réseau fake incriminé, qui essaie de porter la voix grâce à nos impôts, tout en nous dedaignant…
Enfin !
Au bout de 5 jours, on sait à qui l’on a affaire …
Le justicier qui lave plus blanc que blanc a tombé le masque.
Tu m’excuseras, mais je ne perdrai pas de temps à te visiter.
Car quand tu écris (le 3 avril 2017 à 15 h 51 ) “Marrant de remarquer que tu glanes tes informations, mais toujours avec autant de chiffrages aussi cons les uns que les autres”, ma foi ! ces “chiffrages à la con” viennent de ta production (blog, site web).
Finalement, tu devrais nous remercier : sur une île déserte, tu serais obligé de te f… sur ta propre face !
Là, au moins, tu as la sensation d’exister.
Fais de beaux rêves mon chou !
Nous aimons ton humour à la Coluche, ce doit être ta référence et surtout ton époque.
Ca, c’est du même niveau et de ton âge, c’est cadeau:
http://www.guymontagne.fr/la-groupie-du-comique-c2x19507115
C’est toi JC?
J.C.B pour les intimes…
Pourquoi on ne répond plus depuis longtemps aux propos fielleux de TPUV , en tout cas sur le forum Velotaf où il est venu également déverser sa haine des associations de cyclistes qu’il qualifie de “lobbies” .
Ce que fait réellement celui qui écrit au nom de TPUV :
Il a créé une association pour bénéficier d’un joli local gratuit aux Lilas, et à présent, il restaure des vieux vélos qu’il revend relativement cher. Pour se donner une apparence associative, de temps en temps, il anime un atelier de rue dans les quartiers de Bagnolet ou des Lilas, à l’aide d’un gros camion roulant au diésel, qu’il s’efforce de remplir au maximum de vélos usagés qu’il retapera et revendra ensuite.
Personne ne lui a reproché son petit bizness, les vélos qu’il restaure ont fière allure, ça a juste coincé quand il a essayé de rejoindre l’Heureux-Cyclage et la coordination naissante des ateliers en Ile de France, depuis, il crache sa rancoeur aussi souvent que possible.
Il en veut particulièrement aux Cyclofficines, qui sont proches géographiquement, et ne pratiquent pas du tout les mêmes tarifs, autant pour entrer dans l’association que pour acquérir un vélo, et plus grave à ses yeux, sont souvent appelées par les communes de l’est parisien pour animer des ateliers de quartier. Évidemment, comme on n’arrive pas avec un camion mais avec un triporteur à assistance électrique, on ne lui fait pas beaucoup de tort dans son activité de récupération de biclous, mais quand même, il a l’impression qu’on “chasse sur ses terres”…
Je me réjouis que Saint Maur des Fossés voit prochainement l’ouverture d’un un atelier vélo réellement coopératif, le CycloRecyclé. (à partir du mois de juin) http://www.lecyclorecycle.fr/
Merci du lien sur St Maur : cet été j’irai y acheter un vélo d’occasion. 🙂
Que les moralisateurs soient dégradés, nous réjouit. De notre côté, notre fierté et notre expérience passent au dessus de cela. Que les protagonistes («de salon », le fameux entre-soi) se dévoilent, c’est assez jouissif…Pour être sincères, c’était un peu le but du jeu !
Allez, va faire un petit tour de bicyclette pour te détendre…
Ces commentaires sont dégradants pour leurs auteurs … Poster des commentaires sur Internet peut rendre fou .
Allégorie des lobbies dit “pro-vélo” et de leurs petits sbires à gilet jaune:
http://www.rainyisland.org/joules/Joules_Home_Page.html
Toujours pas convaincu que tu sois représentatif de TPUV …
On ne sait toujours rien de ton activité malgré nos multiples questions. Heureusement que tu prônes le partage!
Mais tu es un pur, qui ne va pas se salir à nous parler (tu perdrais ton “avantage”).
En tous cas, si tu en es vraiment et TPUV existant depuis 2010, je ne crois pas que Les Lilas soient 100% vélo (300 clients pour 22 000 hbts voire plus avec les environs). Donc quand tu viens nous faire la morale que l’on ne fout rien … Je m’incline devant autant de réussite et d’entêtement.
Salut l’entre-toi !
Voilà, aprés une modération bien ciblée, “LaisseTomberMadeleine” clôt le débat, du stérile pour du stérile…Bon vent, les moralisateurs! Le jour ou les choses changeront, vous ne serez plus de la partie, grand bien à tous, pas besoin d’acteur lobbyiste aussi déconnecté…
C’est passionnant toutes ces polémiques pour des pistes cyclables que personne n’utilise car elles ne correspondent à aucun besoin : les trajets domicile – travail ne sont plus depuis longtemps des trajets de proximité, et sauf de rares exceptions les super marché ont détruit les commerces de proximité.
Le vélo c’est pour jouer le dimanche.
Bonjour Raymond94
“des pistes cyclables (PC) que personne n’utilise”
ben, en semaine, si ! elles servent !
Aux heures de sortie des bureaux, certains points connaissent même parfois des engorgements (ex : le feu vert pour la traversée du Bd Henri IV est trop court et ne permet pas à tous les vélos qui attendent de passer d’un coup).
On a souvent tendance à croire qu’elles ne servent pas car les vélos y ont un trafic fluide qui ne les fait pas s’éterniser sur place contrairement aux voitures qui tôt ou tard vont stopper et “marquer” le paysage par leur volume.
IL demeure des chanceux qui travaillent dans leur propre ville.
Certains qui prennent le vélo pour leurs courses dans le quartier d’à côté plutôt que filer à 10km dans l’hyper bruyant et anonyme.
Et puis une poignée qui a compris que rouler à 25 de moyenne permettait de dépasser des voitures ne faisant pas plus de 17 de moyenne, concurrencer les TEC (Transport En Commun) -ralentis aux heures de pointe- et le temps passé à les rejoindre et à en sortir.
Sur mes 50 km/jour, je fais env. la moitié en PC, la moitié dans le trafic auto.
Ne pas oublier nombre d’emplois dits de proximité qui passent une bonne partie de la journée à faire plein de petits trajets (soins à domicile, médecins en visite à domicile, services à la personne, etc…).
LA dépose des enfants à l’école ou l’accompagnement à leurs activités sportives;
Les particuliers se rendant à un RDV ou faisant une démarche (malgré la dématérialisation, il suffit de voir les salles d’attente dans les mairies (*), les perceptions …)
Les loisirs (cinéma et autres activités de loisirs -pique-nique au bord de la Marne, etc…)
Bien des trajets se font encore en local … et pas que le dimanche.
(*) pour notre ami TPUV : en mairie, il y a des services de carte d’identité, cantine scolaire, cadastre, des réunions publiques, le don du sang, des expos dans le hall et j’en passe …
Le vélo “pour jouer le dimanche” aussi.
Et puis les vélovacances, en randonnée. C’est toujours sympa arrivant dans une ville d’y trouver des espaces préservés et pensés pour le vélo qui permettent de se repérer sans la pression autoùobile.
Lorsqu’on habite à moins de 6-7km de son lieu de travail (assez fréquent autour de moi, surtout en proche banlieue), on peut tout de même imaginer pouvoir les faire à vélo sauf fortes pluies (je parle pour une personne bien portante). Encore faut-il que le trajet ne soit pas trop dangereux (et donc qu’il y ait des pistes cyclables).
” sauf fortes pluies ”
Que font piétons et automobilistes lorsqu’il pleut ?
Ils s’adaptent !
Les premiers enfilent un vêtement de pluie ou déploient leur parapluie.
Les 2nds allument leur phares et activent les essuies-glace.
Les cyclistes font de même, chacun suivant ses goûts et besoins : de la cape intégrale au simple pochon imperméable, voire l’été une simple casquette pour préserver les yeux (lunettes) des gouttes [redécouvrez le plaisir d’une pluie chaude !].
Maintenant, une forte pluie ne dure jamais bien longtemps et si qq fois dans l’année vous attendez un quart d’heure à ce qu’elle passe, vous aurez quand même gagné au bout des 12 mois bien du temps en regard des automobilistes coincés quotidiennement dans les bouchons des heures de pointe.
En cas de pluie vous remarquerez que les routes et transports en commun sont plus encombrés : les piétons et cyclistes se mettent à l’abri. Logique.
Et pendant ce temps, nos chers édiles de Nogent-sur-Marne et Fontenay-sous-Bois suppriment peu à peu la piste cyclable bi-directionnelle qui longe le bois de Vincennes (avenue de la Belle Gabrielle et de la Dame Blanche) pour la remplacer par…..des places de stationnement alors qu’il n’y a aucune pression en la matière! Un pur scandale! Et le pire c’est qu’ils ne proposent même pas de contre-sens cyclable en remplacement alors que nous sommes en zone 30….
Testée hier soir en effet. J’aurais du faire une photo tellement c’est une ineptie : l’emplacement ne permet de faire passer un vélo ET une voiture en même temps.
bel exemple d’aménagement raté, encore une fois.
Rien n ‘est jamais perdu dans l’absolu. Nous sommes toujours à Saint maur, d’une autre façon.
Notre post indiquait le stérile des lobbies “pro-vélo” (Les seuls qui postent pour exister et imposer par cette voie leur confusion crasse, les mêmes procédés que ces groupuscules activistes qui représentent à tout casser 20 personnes sur Paris et à peine une centaine sur la France*) , les professionnels du vélo font eux leur job (Ils n’ont aucun lien avec ces lobbies)…
En gros, ces vieux bourges (A gilet jaune) ou ces jeunes bobos (Au cargo à 3000 euros) du domaine incriminé, interfèrent avec les réels acteurs et n’incitent pas les habitants à améliorer la situation ni les décisions. Ca peut faire mal à lire mais c’est une réalité. Le nier participera à rester à 2 ou 3% même pour 2025, même à coups de manifestes ou de slogans puériles, genre celui du dernier post (L’entre-soi dénoncé sous couvert de social! On les connaît bien et leurs réactions n’étonnent plus qu’eux mêmes)…
Quand vont ils comprendre qu’ils ne représentent qu’eux-même, et, de surcroît, grâce à une partie des impôts des habitants. Qu’ils “nient” dans leurs actions mais qu’ils “utilisent” dans leurs revendications d’enfants de 15 ans.
Pas besoin de répondre à ce post, “partagez” plutôt vos bourses. Lorsqu’on prône du social sur des statuts, on n’a pas le porte monnaie à droite et le coeur à gauche. On se chargera de régulièrement faire remarquer les incohérences de vos propos et de vos positions. On peut s’y prêter et on n’est pas critiquable, on est sur le ter-ter…
Pour les lecteurs intéressés par ce domaine comme d’autres (Domaines qui prônent le vivre ensemble, le partage de connaissances, etc): Ne vous laissez pas manipuler par ces petites mouvances qui comblent leurs heures perdues ou qui ciblent leurs propres intérêts, et qui, avec le temps, arrivent à créer la confusion, voir même à être gratifiés de carrières ou de décorations**. Dirigez vous vers de saines associations, de réels professionnels ou créer vous même vos structures. Du populaire pour les populaires!
Bien cordialement.
Le collectif TPUV (Saint maur des fossés, Les Lilas, Bagnolet, Romainville, Le pré saint gervais, Plestin les grèves)
*Bien évidemment, à coups de nouvelles autres subventions, nos impôts, des dizaines d’embauches précaires, pour un temps (sic), qui leur permet d’assoir leur petite représentativité et de diminuer pour un temps à nouveau, le chiffre du chômage…
**Le dévoiement des ordres et récompenses est le signe le plus sûr d’un régime en perdition et, au-delà, d’une société incapable de reconnaître les mérites authentiques des fausses valeurs et des impostures. Nous vivons, hélas, une époque saturée des secondes (Voir dernièrement un maître à penser (Gourou) de ces dits lobbies (Maître Rabhi))…
Le collectif TPUV (Saint maur des fossés, Les Lilas, Bagnolet, Romainville, Le pré saint gervais, Plestin les grèves)
“Ministère de la jeunesse et des sports / Réserve parlementaire”
Du grand art, assurément !
😀
TPUV est inconnue à Saint-Maur. Ni vue à la journée des associations, ni vue aux différentes manifestations organisées dans la ville.
Si vous œuvrez comme vous le dites pour le vélo, indiquez les différentes actions que vous avez menées à Saint-Maur ou ailleurs sinon tous vos déclarations ne seront pas crédibles.
Seriez-vous une énième émanation du lobby automobile dont le seul objectif est de dénigrer le vélo ? Dans ce cas là je comprends votre fébrilité quand vous abordez le vélo comme moyen de transport.
“Ministère de la jeunesse et des sports / Réserve parlementaire / Département / Région Ile de France / Crédit mutuel / et j’en passe…” Et toujours la même liberté d’expression et toujours cette envie d’oeuvrer pour le ter-ter, plus que pour le fake (Toi et tes acolytes, par exemple, tutoiement parce que tu le mérites) Bye Bye Laisse”tomber” Madeleine
Quelle agressivité. On croirait à des attaques personnelles. En tout cas, ce genre de propos est contre-productif.
Ce qui est contre-productif, c’est ce que les lobbies pro-vélo mettent en place. Depuis plusieurs années, par petits groupuscules, pour en arriver aux mêmes conclusions…Nous voulons juste que de réels professionnels s’investissent.
Il est évident, de ce fait, que c’est personnel, pas besoin de le préciser…
Pour notre part, nous pensons que les investissements hors infrastructures, ceux attribuées régulièrement aux lobbies dits “pro-vélo” (plutôt d’entre-soi) ne portent pas leurs fruits, les actions sont éphémères, jamais dirigées vers les quartiers populaires, mais plutôt vers de l’activisme stérile…De l’entre soi pour petits riches aux vélos de plus en plus imposants…
De surcroît, avant de s’interroger sur les infrastructures à mettre en place en région Ile de France, il faudrait en amont des structures permettant aux habitants de s’octroyer une monture adaptée, de connaître les montures choisies, de connaître la mécanique de celles ci . Des structures gérées par les villes, par des professionnels et non par les lobbies dits “pro-vélo”. C’est un fait, cela fait plus de 10 ans sur Paris et sa région que les lobbies bénéficient de larges subventions (Avec il est vrai, une pleurniche chaque fin d’année, pour les obtenir…), un “tiroir caisse” qui n’a jamais mené à une progression significative de la pratique du vélo.
Notre collectif a oeuvré sur Saint maur des fossé sans jamais bénéficié d’aides de ces lobbies, et donc par ricochet, des aides des différentes instances. Ces lobbies “squattent” les débats et réunions publiques sur le sujet, mais concrètement aucune avancée significative sur le terrain. Avec plus d’intérêt pour une rabhisation de la société, ils oeuvrent principalement pour une “anthropophobie bienveillante” et non pour la démocratisation de la pratique au plus large. C’est un fléau pour une réelle réflexion sur le sujet.
Collectif TPUV
“Notre collectif a oeuvré sur Saint maur des fossé” s … à quoi ?
” sans jamais bénéficié d’aides de ces lobbies” : il ne serait pas le seul …
“Ces lobbies « squattent » les débats et réunions publiques sur le sujet”
> si vous parlez des réunions élus / habitants, 80% des questions tournent autour de la voitures, 15% sur le cadre de vie.
> Quant au comité vélo départemental, ben oui ! on y parle vélo (étonnant non ?). Si vous n’y êtes pas, c’est peut-être que vous n’avez pas pignon sur rue ?
TPUV : Une recherche sur le web ne retourne “que” La petite ReCycleRie située dans les Côtes-d’Armor; vous êtes bien discrets pour des gens actifs sur Saint maur des fossés.
On aimerait bien vous voir organiser et gérer les 3 bourses aux vélos annuelles, la Convergence Francilienne (démo échelle 1 que Paris est accessible à tout cycliste [10e édition ce 4 juin]), les conférences en collège, tout cela avec un budget ZERO. Pour la vélo école [à Créteil faute d’avoir pu obtenir un local à St Maur mais plusieurs des bénévoles en venaient], il y a eu financement public mais vu la population qui en a profité (et le fait encore), je doute que l’on puisse dire que la majorité ne vient pas des quartiers populaires.
Alors faire des phrases rondes et creuses, c’est une chose. Agir sur le terrain en est une autre.
Et comme il reste ENORMEMENT de choses à faire, nous aurons plaisir à vous voir à nos côtés car ces actions qui n’amènent ” concrètement aucune avancée significative sur le terrain” ont su mettre un nombre sans cesse croissant de cyclistes dans les rues, de tous âges, toutes conditions et pour tous types de trajets. Et cela en dépit des oppositions de tous ordres (voir, par ex., les débats sur la future passerelle au-dessus de l’A86 à Fontenay-sous-Bois)
Il y a 20 ans, j’ai emménagé à St MAur et ai eu le plaisir d’y voir des cyclistes du quotidien, souvent bien âgés.
Les années passant, ils ont disparu, sans relève 🙁
Les asso de parents d’élève, ces ” lobbies dits « pro-vélo »” et d’autres bonnes volontés ont peu à peu ramené les vélos dans les rues.
Il y a 5 ans, c’était sport vu le “pousse-toi de là” des automobilistes; désormais, rares sont les automobilistes qui n’ont pas compris que passer en force ne servait qu’à se faire toquer à la vitre au feu suivant pour démontrer l’inanité de leur comportement.
Et peu à peu, les vélos regagnent l’espace qui leur a été confisqué.
On n’ira pas à mettre un flingue sur la tempe des gens pour qu’il s se mettent au vélo. Seul l’exemple va ronger peu à peu les scepticismes.
Pays-Bas : 33% des déplacements en vélo ? oui ! mais après 30 ans de conversions à raison d’un pour cent l’an.
J’ai fréquenté à Paris les ateliers vélos associatifs (donc subventionnés) : cyclofficine, vélorution…, je n’ai pas ce sentiment : ils sont situés dans des quartiers populaires (20e, 19e, Pantin…), où des amateurs achètent à bas prix ou rénovent eux-mêmes des vélos récupérés (décharge, police municipale) pour les utiliser au quotidien.
Point de cargo ou de vélo hors de prix ici. Il s’agit d’apprendre à utiliser et réparer soi-même son vélo, de lutter contre le gaspillage en recyclant les vieux vélos et pièces. Ces associations organisent également des actions de sensibilisation dans les quartiers avec des ateliers de rue et pour moi sont essentielles au développement de la pratique du vélo.
Toutes les actions sont bonnes à prendre, et plus il y aura d’asso qui militeront pour le vélo plus il y aura de cyclistes et plus les autorités devront s’adapter et investir dans les infrastructures adaptées. Si les collectivités consultaient un peu plus les associations, leur réseau cyclable serait à mon avis bien plus adapté et efficace.
Vous avez bien du les fréquenter pour un tel sentiment “argumenté” mais c’est un point de vue faussé. Nous l’expliquons à plusieurs reprises sur cet article. Il est évident que les visiteurs de ces structures financées par les instances qu’elles critiquent par ailleurs, n’ont pas de “cargo ou de vélo hors de prix”. Vous niez ce que nous écrivons, nous n’allons pas nous égosiller à contre argumenter votre récitation…En tout état de cause, elles existent depuis pas mal d’années sans avoir fait évoluer quoi que ce soit dans le domaine du vélo, de son recyclage et des voies à adapter. Les collectivités les consultent régulièrement puisqu’en parallèle, elles les financent chaque année, à 80%, n’écrivez pas n’importe quoi. Sans les collectivités, elles n’existeraient pas.
Nous laissons à TPUV la responsabilité de ses propos : anathèmes et erreurs factuelles.
Pas besoin de spécifier la responsabilité de nos propos, nous l’assumons parfaitement sans anathèmes et erreurs factuelles et sans message de ce style!
Du reste, tout n’est pas perdu à St-Maur, désormais :
– ouverture d’1 atelier vélo en juin 2017 :
http://www.lecyclorecycle.fr/
– un magasin y vend des vélos hollandais d’occasion :
– la vente de vélos électriques se développe, à Maisons-Alfort :
http://loisicycle.fr/
comme dans le magasin Giant de St-Maur
Dont acte pour le double sens 🙂
Pourquoi le vélo ne perce t-il pas ?
2 Cas concrets :
https://partagetarue94.wordpress.com/2015/11/24/avenue-du-marechal-de-lattre-de-tassigny-une-piste-noire-sur-la-rd6a-a-charenton-et-saint-maurice/amp/
Hold-up piste cyclable suite
Et devant moult écoles chaque matin, au mépris de la loi
A quand en effet ? 😀
On se rappellera que le Val de marne visait 5% des déplacements à vélo dès… 2020. Ça laisse songeur.
Dans des villes aussi denses, le vélo a pourtant des arguments à faire valoir. Il est rapide, relativement sûr, très bon pour la santé, agréable. Seul ou couplé à un transport en commun.
Alors pourquoi ça ne prend pas + que ça ?
1 Parce qu’on continue en Val de Marne a engloutir des 100aines de millions dans des voies rapides : 240 millions pour la N19 à Boissy et toujours aussi peu pour les aménagements piétons, cyclables et pour handicapés
2. Bref le tout voiture continue malgré son échec en zone dense et en lutte contre la sédentarité, et son côté profondément inégalitaire
3 Carence dans la lutte contre le vol des vélos, à domicile (immeubles) par Art. 12 des PLU pas assez ambitieux
4 La permissivité des élus en matière de stationnement illicite absence de consignes entrainent les scandales que vous connaissez . 2 exemples : les écoles chaque matin, et la piste cyclable métro Créteil l echat rue Eiffel.
Quand on méprise à ce point les piétons et cyclistes, et les lois qui les protègent, voire leur bien matériel: vélo, faut pas s’étonner qu’on incite pas ceux qui peuvent à changer de moyen de transport.
Exemple de ce qu’on peut faire avec 1 peu de volonté politique, en encadrant le stationnement et la circulation anarchique des voitures :
https://youtu.be/n-AbPav5E5M
Le double sens cyclable obligatoire dans les zones 30 est prévu par le code de la route (Art. R110-2 : […] -zone 30 : section ou ensemble de sections de voies constituant une zone affectée à la circulation de tous les usagers. Dans cette zone, la vitesse des véhicules est limitée à 30 km/ h. Toutes les chaussées sont à double sens pour les cyclistes, sauf dispositions différentes prises par l’autorité investie du pouvoir de police. Les entrées et sorties de cette zone sont annoncées par une signalisation et l’ensemble de la zone est aménagé de façon cohérente avec la limitation de vitesse applicable.)
Donc les assurances reconnaissent …
Raymond94 n’a quand même pas tord : ça reste de la com’ po à moindre coût et pendant ce temps-là les vrais infrastructures ne sont pas mises en place.
Par ailleurs, je ne sais pas ce qu’il en est à Saint-Maur, mais la plupart des contre-sens cyclables ne sont marqués qu’en extrémité de rue. Quoi qu’en disent les pros-CS, en cas de virage, ça peut surprendre…
Et puis, il faut aussi compter sur les excités du volant.
Bref, le contre-sens, c’est loin de toujours être une bonne mesure.
A Sr Maur, le maire fait coller des logos ‘vélo’ sur les chaussées, y compris en contre sens de la circulation, et il en est fier !!! Ce ne sont pas des pistes cyclables, il n’y a ni panneau ni séparation ni protection juridique des circulations. Ce n’est que pure démagogie, et je ne pense pas que cela soit reconnu par les assurances pour ce qui concerne les contre sens …
Le contre-sens fonctionne très bien. Il est généralisé à Paris depuis plusieurs années dans toutes les rues à sens unique.
La piste cyclable n’est séparée n’est pas toujours la solution : elles sont souvent bloquées, inaccessibles… Mieux vaut réduire la vitesse (généralisation du 30km/h) et le nombre de voitures pour sécuriser les cyclistes.
La règle est simple et les études le montrent : plus il y a de vélos, moins il y a d’accidents ! ^^
Non Paris, mais Bordeaux, Sceaux etc, liste innombrable. Tous les jours pour aller travailler, ça fonctionne bien malgré le comportement de certains automobilistes.
Ça fonctionne d’autant mieux que des automobilistes ne sont pas garés dessus. 135 € d’amende quand la Loi est appliquée.
Sceaux en + c’est céder le passage cycliste au feu, c’est top. Et pas que vers la droite : voilà une voirie équitable, qui laisse sa place à chacun et lutte contre nuisances sonores.
(Non seulement Paris…)
@ Ratmondtmond : Le double sens cyclable est 1 aménagement sûr, pour différentes raisons :
1) on le trouve essentiellement en rue à 30 km/h maxi, et 20 km/h maxi
2) il permet une vision réciproque, à ce titre il diminue le risque d’1 accident fréquent en ville pour les cyclistes : l’ouverture de portière garée
Pour ces raisons et d’autres : coût raisonnable, possibilité de mise en place dans la quasi totalité des rues, apaisement des vitesses de tous a fortiori en voie étroite, fin des cyclistes pédalant sur les trottoirs, etc… cet aménagement existe à Strasbourg dès 1983, et est généralisé à la quasi-totalité des rues des Pays- Bas dès avant.
Ce pourquoi le législateur français a considéré que cet aménagement est obligatoire depuis été 2015 en voies à 30 ou 20 maxi, et reste possible dans des rues à 50, sous certaines conditions. Aucun problème avec le double sens cyclable donc, cf. Sceaux avec 1 seul sens interdit aussi aux vélos :
https://youtu.be/2NIG37PF3OQ
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