Le feuilleton judiciaire Bygmalion-Ideepôle à Saint-Maur-des-Fossés est encore loin d’être terminé. Condamné ce lundi par les juges du tribunal de grande instance de Créteil à un an de prison avec sursis, 8000 euros d’amende et 3 ans d’inéligibilité, Henri Plagnol, l’ancien député-maire, a immédiatement fait appel de la décision.
Deux mois après le procès, les magistrats de la 9e chambre du TGI de Créteil ont rendu leur jugement en suivant les réquisitions du Parquet. Henri Plagnol écope d’une peine d’un an d’emprisonnement avec sursis, 8000 euros d’amende et 3 ans d’inégilibilité. Son ancienne directrice de cabinet, Stéphanie Chupin est également frappée d’une mesure d’inéligibilité d’un an, d’un an de prison avec sursis et de 4000 euros d’amende. Les deux autres collaboratrices d’Henri Plagnol ont été condamnées à des peines plus douces, et l’employé d’Idéepôle, filiale de Bygmalion a été relaxé. En revanche, son ancien patron et cofondateur de Bygmalion, Bastien Millot, a été condamné à 15 mois de prison dont 9 avec sursis, 15 000 euros d’amende et l’interdiction de diriger une entreprise pendant 5 ans.
Les cinq personnes condamnées vont également devoir dédommager solidairement le préjudice matériel de la mairie de Saint-Maur-des-Fossés fixé à 229 830 euros, et participer aux frais d’avocats de la municipalité, soit 1000 euros par personnes condamnées.
Pour rappel, il est reproché au maire de Saint-Maur et à ses proches collaborateurs d’avoir passé des commandes surfacturées de communication à l’agence Idéepôle, filiale de Bygmalion, entre 2009 et 2012. A peine le jugement rendu par les magistrats, l’avocate d’Henri Plagnol, a immédiatement fait part de son intention de faire appel.
Les plateaux de la balance ont été exclus du regard de ce jugement, exclusivement conduit par le plus sombre de ce qu’il est dans le parricide, du monde politique. On n’en avait pas vu autant depuis l’assassinat de César par Brutus !
A aucun moment l’argent des emprunts irresponsables de son prédécesseur, rendu aux Saint-Mauriens, grâce à la négociation conduite par Henri Plagnol, n’a été comparé en justice, au montant sur lequel s’appuie l’accusation… !!!
Le contenu « moral » de cette affaire n’est pris en compte nulle part. Si la justice était rendue dans l’équité réelle de ce qui devrait être humain à conduire et voir les choses, nul doute que c’est l’accusateur et non l’accusé qui devrait avoir à porter le poids et la vindicte de la honte….
Il y a certains ex Maire (PS), qui eux font pire et on relance systématiquement le procès et lui réponds qu’il n’y ai pour rien alors qu’il a laissé une ville endettée et des cadavres dans les placards et dossiers. Manque pas de Toupet, faire en sorte de faire celui qui ne comprends pas. Non la Démocratie ce n’est pas cela. Quels que soit sa famille on paie pour les bêtises que l’on a fait.
Apparemment les juges sont les seuls a savoir a saint maur que ce grand garçon n’a comme seul tort que d’avoir fait confiance à son entourage très branché avec certains hommes politiques. Tout est dans sa plaidoirie de la défense. Dur d’être honnête dans le monde politique , les coquins courent toujours et certains paient.
Les coquins paient sur injonction, oui, quand ils sont pris en défaut par le tribunal. Celui-ci réclame à Plagnol et ses sbires, 230 000€ alors que le montant de nos impôts dillapidés dans Bygmalion est de 330 000 €.
Et encore, un reportage passé au journal de France 2 il y a 4 ans parlait de 400 000€ !
Les dindons de la farce sont – encore – les contribuables saint-mauriens.
Et “Usurpation calomnieuse” et trompeuse de diminutif de “RiRi le dégourdi”
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