D’ordinaire, les élus des Conseils de territoire se gardent bien de mettre le nez dans les décisions d’urbanisme des villes membres. Exception a été faite ce lundi 26 juin a Conseil de territoire Paris Est Marne et Bois.
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L’ordre du jour du Conseil du Territoire T10 du 26 juin 2017 n’est toujours pas connu du public. Les dernières informations visibles sur la page WEB http://parisestmarnebois.fr/ concernent le conseil du 2 Mai 2017. La légalité d’un tel conseil peut certainement être mise en cause.
La révision du PLU de Champigny qui semble-t-il étai à l’ordre du jour n’est pas non plus connue du public. Le seul texte connu est celui d’une enquête publique assortie du rapport du Commissaire enquêteur demandant des modifications. Le texte “révisé” a été avalisé deux fois en Conseil Municipal de Champigny (le 29 mars 2017 et le 17 Mai 2017) en vue de son vote par le Conseil de Territoire.
L’indignation de M. Cocq, ainsi que celle du Maire par intérim de Champigny (voir http://www.champigny94.fr/actualites/communique-du-maire-1) serait un peu plus crédible si le texte provisoire de la révision du PLU était rendu public. On saurait enfin de quoi il s’agit.
Nos élus sont dans leur bulle, s’invectivant dans des querelles byzantines.
Vu les enjeux, c’est déplorable !
Je pense que l’etp est un échelon de trop dans le millefeuille administratif néanmoins nous devons d’accepter. Alors pourquoi n’aurait-il pas le droit de se prononcer ? Le PLU de champigny vote par le conseil municipal a fait l’objet de 92 % d’avis défavorables qu’à cela ne tienne ka majorité communiste est passée outre….conclusion 10% de moins de zone pavillonnaire et des immeubles de 7 étages. Monsieur Cocq respectez la droite autant que je respecte FI nous ne sommes pas des “magouilleurs” c’ est faux et insultant, vous etes trop souvent dans la provoc. Discutons du fond , analysez l’enquête publique. L’oppostion avec 48% des voix n’a que 20% des sièges ! Ecoutez-nous et pas l’invectives.
Enfin on rentre en fonctionnement intercommunal
La circulation a augmentée de 2% en 2016 sur le territoire du Val de Marne.
En densifiant, on accélère ce phénomène (et la pollution)
Quand la circulation sera complètement bloquée ….
Et si c’était l’inverse ?
En ne densifiant pas, on laissera la Région continuer à s’étaler.
Toujours plus éloignés du centre, des emplois, des ressources et des transports collectifs, les habitants devront de plus en plus recourir à la voiture.
Au contraire, en densifiant intelligemment, on ouvre la possibilité de rapprocher les habitants de ce dont ils ont besoin collectivement et individuellement. Et, à condition que les transports publics fonctionnent bien, de diminuer le trafic, et la pollution.
Le fonctionnement du territoire en matière d’urbanisme est vraiment étonnant.
Le territoire est théoriquement souverain en matière d’urbanisme. C’est même une de ses principales prérogatives. Donc parler de déni démocratique alors que le conseil de territoire prend, pour une fois, une décision ne me parait pas approprié à première vue.
Cependant, le territoire ayant adopté, si je ne me trompe pas, le principe de subsidiarité (C’est à dire la non-ingérence) en matière d’urbanisme, il est surprenant de voir qu’il ne s’applique pas à la commune de Champigny qui serait la seule donc à ne pas être souveraine.
En tant qu’habitants de Vincennes touché directement par la politique d’urbanisme de notre ville (modification du PLU adoptée par le territoire en Mars 2016), nous ne pouvons que constater que tout ceci manque de clarté.
www.vincennes-danger-expro.org
Les grandes manœuvres des sénatoriales commencent: il fallait bien que Cambon et Benisti donnent des gages d’anticommuniste à leur base ….sur le dos des campinois ! Après la débâcle des législatives, il faut bien retrouver un point de chute !
Presque tout le monde parle de mixité sociale, mais avec des sens bien différents. Sur ce Territoire “Paris Est Marne et Bois”,
Le vrai risque est (était ?) que les communes de la droite et du centre continuent de restreindre les logements sociaux chez elles, en laissant les deux maires communistes/FI (Champigny et Fontenay) se gaver de logements sociaux dans l’espoir de garder leur base électorale. Avec une ségrégation croissante des populations, à l’échelle du territoire.
Pour l’éviter, mettre un plafond à la propension naturelle du maire de Champigny est un premier pas. Il reste à l’équilibrer en montrant ailleurs (qu’à Champigny et Fontenay) une plus grande volonté de respecter le seuil légal de logements sociaux.
Le maire de Saint-Mandé a toujours affirmé ne pas avoir de terrain libre pour du logement social.
On apprend dans le journal que l’Etat lui rétrocède les vieux immeubles de l’IGN, qui vont être démolis pour construire… des immeubles de bureaux !
Monsieur
Vous faites une grave erreur de démocratie…
Balayés il y a quinze jours dans les urnes, les partis du vieux monde continuent à privilégier les magouilles et tripatouillages dans l’entre-soi de leurs assemblées (indirectes !) à la souveraineté populaire dont les communes et les conseils municipaux sont pourtant la seule représentation qui vaille.
En savoir plus sur https://94.citoyens.com/2017/couac-sur-le-plu-de-champigny-au-conseil-de-territoire,27-06-2017.html#ttKST6VBtwzy492i.99
Vous faites partie d’un vieux partie et vous avez subi une cuisante défaite.
Le conseil municipal donne un avis le territoire valide. Chacun a sa place.
N’êtes vous pas d’accord au moins sur les R+7 ?
A bon entendeur Salhue
le communiqué complet pour mieux comprendre l’hérésie démocratique en cours :
Coup de force anti-démocratique au territoire Paris Est Marne et Bois
En refusant, au prix d’une vulgaire manoeuvre politicienne, d’adopter ce soir le PLU de Champigny comme c’est pourtant son rôle, la majorité de droite du territoire a changé la nature de l’EPT.
Depuis sa création, celui-ci a choisi de respecter l’élaboration des PLU effectuée dans chaque ville en les adoptant tels quels. Lorsqu’il s’est agi d’adopter pareillement le PLU de Champigny, qui a pourtant fait l’objet d’un vote favorable en conseil municipal, la droite a changé les règles du jeu.
Le mépris affiché par la droite à l’encontre du logement public a des relents de politique de classe.
L’exécutif a rompu sciemment le pacte d’engagement qui voulait que les communes restent maîtresses des décisions structurantes qui les concernent. La souveraineté communale et avec elle celle des habitant-es des différentes communes a été foulée aux pieds par des élu-e-s qui privilégient leurs intérêts partisans à la volonté exprimée par les gens dans chacune des villes.
Après une interruption de séance, la délibération a été retirée et les élus FI, PCF, EELV de Champigny et FI et EELV de Fontenay ont alors quitté la séance devant ce déni démocratique.
Balayés il y a quinze jours dans les urnes, les partis du vieux monde continuent à privilégier les magouilles et tripatouillages dans l’entre-soi de leurs assemblées (indirectes !) à la souveraineté populaire dont les communes et les conseils municipaux sont pourtant la seule représentation qui vaille.
François Cocq
www.francoiscocq.fr
Delphine Fenasse
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