Aujourd’hui, au 21 de la rue Dalayrac à Fontenay-sous-Bois, il y a un Relais d’assistantes maternelles (Ram). Il y a longtemps, au même endroit, se trouvait un pensionnat privé, l’Institution Barbe.
Une école qui servit de refuge aux enfants juifs durant la deuxième guerre mondiale. “Une quinzaine ont été recensés et les recherches se poursuivent“, indique Loïc Damiani, maire-adjoint de la ville en charge notamment du patrimoine historique. Ce mercredi 22 novembre, en pleine semaine des droits de l’enfant, la commune a rendu hommage à cet établissement aujourd’hui disparu en apposant une plaque commémorative devant le Ram, en présence d’une quarantaine de personnes dont trois des enfants qui vécurent sur place entre 1942 et 1943. Des anciens élèves qui ont rappelé que cet endroit avait une discipline très dure et qu’ils y mangeaient peu mais qu’au moins ils avaient “échappé au pire” a dit Serge Taradach (photo) qui y a passé un an comme externe en 1942 et est à l’origine de cette initiative. Ses parents avaient déménagé de Belleville à Fontenay en 1942 pour ne pas être arrêtés.
“Cette histoire d’enfants accueillis ici sera en bonne place dans le mémorial numérique de 39-45 que la ville créera l’an prochain“, annonce Loïc Damiani.
A lire aussi :
Oui, quand tout dehors s’inventait des émancipations et des prospérités, nous souffrions d’une faille spatio-temporelle qui nous lassait à se morfondre dans un vieux monde au mode d’éducation quasi carcéral. Entre 1968 et 1974 j’y ai laissé, au-delà de mes courtoises facéties, les espoirs, les sentiments qui eurent pu me soutenir à faire fructifier les efforts de ma vie. Toujours l’échec récompense cette immense mélancolie qui me dégoûte mais est bien partie intègre de toute mon âme, toute ma respiration. Un peu lacéré le garçon. Il n’y a pas que Mombé envers lequel je daigne céder quelque reconnaissance, l’inventaire culturel et des savoirs, ma foi c’est mon travail, on se faisait tellement chier dans ce monde là, déconnecté du monde entier qui s’ébrouait, nous, on récoltait les puces et les ressentiments, en noir et blanc, autour la couleur. Que des ‘tites couilles rances, autour la mixité, des rires mais pour nous vaincre la punition terrible pour l’innocent. Comme lapidés et honteux après avoir été violé. Faut dire qu’avec l’alsacien manchot fallait se débattre. Plus confiance en quiconque, derrière mes yeux, sans aucune larme, l’écoeurement est devenu indifférence et les parents qui me ballotèrent là, ils sont partis, je ne leur en veut même pas de n’avoir rien vu, rien compris. Comme mes contemporains, les sales bêtes ,ces dupes qui oscillent entre crédulité et mythifications, ces parents que j’aimais ne pouvaient imaginer avoir composé un enfer dont on ne revient jamais.
Bonjour , je vous remercie pour tous ces temoignages. je pense que Yann nous etions en meme temps à barbes puisque j y suis resté de 1982 jusqu en 1985 de la 6eme a la 3 eme. J avais oublié la machine à Kikat … Je me souviens bien de lavé et de son fils., les deux tapaient forts. Mon prof de math etait mombé, ma prof de francais etait gentille elle s appelait mme Vigneron et mme Boutillier faisait des cours de dessins et d espagnol. Je me souviens d un surveillant de dortoir qui aimait bienles garçons .. son prenom etait franck. J etais souvent puni et en même temps je garde paradoxalement un bon souvenir de cette institution . J ai etait placé de l age de 6 ans jusqu’a mes 18 ans dans differentes ecoles. Je suis resté en contact avec certains camarades comme Patrice Marchal qui a une soeur virginie de deux ans de moins peut etre etait elle avec toi ( yann) n hesite pas a partager tes souvenirs.
Moi j’avais le numéro 49
De 1966 à 1970
CE1 A CM2.
C’est 5 années m’ont Traumatisées à vie.
L’univers carcéral , les punitions collectives injustes , les rondes dans la cour au pas cadencé, les fessées cul nu devant tout le monde. Ce salopard de L’avé ce vieux pion manchot pédophile, la rockets des grands, la mauvaise bouffe la viande seulement si les parents ont payés un supplément.. recherchez sur Facebook j’y raconte tout + photos
punaise, enfin une réponse, alors que je penser saouler tout le monde avec mes souvenirs sa me fait super plaisir, alors écoute j’ai une mémoire incroyable mais très sélective quand il s’agit de notre internat je me souviens du moindre moment comme si c’était hier, je donnerais comme le dit l’expression des millions pour revivre une journée dans cette pension, mr mombé était très sympas, un week end, ma mère n’est pas venue me chercher donc le dortoir était vide j’était tout seul et en ce 2 à l’époque, j’ai commencer à pleurer et mme bouteiller et venue me voir et ma emmener dans ses appartement elle changer les couches de son enfants et moi bien sur en pyjama, je lui et raconter ma vie et elle ma monter plusieurs dessin, elle était très douées, tu te souviens pour noël, les murs de la cantine était remplie de père noël dessiner de ses mains, c’était magnifique, à l’époque j’avais un ami qui lui avais au moins 17 ans, mais il était corse comme moi ,son prénom était touroud, un beau gars, peut être la tu connue, désolée je te tutoie, nous avons parcourue et vécue des émotions incroyables autant bonne que les pires, tu sais je voulais écrire un livre sur ce que j’ai et avons vécue à barbe, mais je n’écris pas bien, je pourrais en parler des heures, je me souviens de toutes l’architecture, même les robinets à l’extérieure des toilettes sous le préau , denis le noir et denis le blanc était nos profs de gym, il était extraordinaire de gentillesse, hé bien désolée de l’exprimer comme sa, mais denis noir, hé bien quand je demander a taper l’éponge à craie du tableau sue le rebords de la classe, je ne revenais plus en classe et aller en salle de gym et faisais les cours de gym avec les autres classe et quand lavé arriver je me cacher sous les gros matelas de saut de gym et personne disais rien, je t’assure j’ai visité le moindre recoins de cette internat, je faisais quasiment ce que je voulait la 2 éme année, j’y ai était placer 4 ans, alors évidemment nous étions ensemble à barbe au même moment mais toi tu était grande, j’ai fait ce 1 et cm2, part contre j’avais une copine qui m’aimer beaucoup et me faisais toujours un bisou sur la bouche le soir , elle s’appelais Benedicte et était en 5 éme, j’aimerais tellement la revoir, et moi j’était une fille qui s’appeler astrid d’origine africaine, l’amour de mon enfance, tout les bisous du soir entouré des copains pour nous cacher était une merveilles avant d’aller au dortoir et m’endormir de son baiser, c’est bête a dire mais j’ai beaucoup de mal à l’arriver et apes j’ai dompter et compris le fonctionnement et vraiment me suis régaler, j’ai du faire 500 heures de piquer, consigner tout les mercredi, et fait tout les exercices du bled en compagnie du fils du lavé, d’ailleurs sa n’a pas porté ses fruit, toujours aussi nul en horographe mais l’essentiel c’est de raconté, merci pour ta réponse, j’ai l’impression que nous sommes proches, j’ai 50 ans exactement et 3 enfants marier depuis 24 ans, mais une fois que tu connais l’institution francis barbe, je parle avec des frères et sœurs, j’en ai tellement à raconter nos numéros, si tu veux nous pouvons nous appeler un jour pour parler tout simplement, comme tu veux, aller merci encore , je regarder tout les jours pour avoir une réponse, merci sa ma fait du bien
encore moi le 83, qui à entendue la fameuse phrase de Mr labé à la cantine quand tu ne terminer pas ton assiette, alors attention roulement de tambours c’était ( miam miam tout autrement fesses fesses rouge ) il me la faisait à chaque fois, surtout quand ont manger les haricot rose bizarre, je mettais un bonbon bouteille cocacola en disant hum trop mon coca en vérité c’était de la flotte avec un bonbon qui ne donnait aucun gout de coca, mdr et aprés la cantine du soir petite récré, le bisou au fond de la cour entouré des copains pour ce cacher, et retour au dortoir, j’ai fait 4 dortoir en commencent part le premier ou les fenêtres donne sur la rue dalayrac, une envie de l’ouvrir et de me tirer por renter chez moi, me traverser l’esprit, brossage de dents dans le dortoir, y’avais un poster de pinochio sur la cpices du surveillant mr mossen le tortionnaire, me laisser au piquer pendant des heures sans me dire d’aller me coucher du coup je m’endormer sur le mur de peur de prendre une trempe, qui prenais un malin plaisir à faire, et rebolote le lendemain, pliage de nos drap et couverture, aller tchao la familles
En 1949, j’avais huit ans. Mes parents, séparés, jugèrent opportun de me confier à l’Institution Barbe. Premier constat, les WC, dans la cour, n’étaient pas équipés de chasse d’eau. Le concierge passait, de temps en temps, un coup de jet d’eau. Second constat, la nourriture était infecte. C’est Madame Barbe elle-même, une petite femme maigrelette au teint jaunâtre, qui faisait la cuisine. J’ignore quel était le montant de la pension, mais je crains que M. et Mme Barbe n’aient fait de substantielles économies sur la nourriture. Troisième constat, pour aller des classes vers le réfectoire, ou en sens inverse, ou quel que soit l’endroit où nous devions nous rendre, il fallait y aller en silence, en marchant au pas et en rang par deux. Malheur à l’élève qui se serait avisé de chuchoter sur les rangs : aussitôt, une paire de gifles s’abattait sur le garçon; un des surveillants avait une spécialité : il mettait les gifles des deux mains, sur les deux oreilles en même temps. Un autre, M. Adam, se servait de la partie arrondie d’une clef pour taper sur la tête. Mais le pire de tous, c’était le surveillant général, M. Butot, que nous n’avions eu aucun mal à surnommer M. Butor. Un jour, je l’ai vu emmener un élève vers son bureau, en traînant par l’oreille. Une des enseignantes, Mlle Ammirati, elle, administrait des coups de règle sur le bout des doigts. Un autre, M. Le Goff, enferma un jour un élève dans une armoire, puis il retourna l’armoire sens dessus dessous. La seule enseignante décente et humaine, bien que sévère, était Mme Rossi, une dame âgée toute vêtue de noir. Elle était très respectée. C’est le seul bon souvenir que je garde de l’Institution Barbe, où j’ai été pensionnaire, pendant trois ans. Au dortoir, lorsque la cloche sonnait, à 7 heures, il fallait se lever en vitesse, faute de quoi le pion renversait le matelas, avec l’élève encore endormi , qui n’avait plus, alors, qu’à refaire entièrement son lit. Dans les lavabos, il n’y avait, été comme hiver, que de l’eau froide. Mais nous avions droit, bien que ce ne fût pas obligatoire, à une douche chaude … seulement une fois par semaine. Le jeudi, on nous emmenait, toujours en rang par deux, au pas et en silence, nous promener sur un grand espace vert, près du château de Vincennes. Là, on avait le droit de courir, de jouer, jusqu’au coup de sifflet qui donnait le signal du retour. Combien de fois n’ai-je pas songé à m’éclipser et à fuir … Mais à cette époque, les enfants étaient élevés dans le respect et l’obéissance. Pour en finir avec ce tableau vécu de ce qu’était l’Institution Barbe entre 1949 et 1952, la mauvaise nourriture a causé chez moi un début de rachitisme, quelques dents cariées, un voile aux poumons, bref, des soucis de santé dont j’ai eu du mal à me remettre. Rassurez-vous, chers amis, aujourd’hui, à 83 ans, j’ai bon pied bon oeil.
aussi les bonnes partie de billes autour des arbres, des trousses pleines de billes calos, billes de plomb, pendant la récré ou le foot sous le préo, mais les grand me laisser rarement jouer, ou alors ce lancer la balle entre les 2 panneaux de baskets, ou tout simplement faire le tour de la cour en marchant avec ses collègues, moi j’avais toujours un poste et je mettais de la musique, je vous assure cette pension ,pendant mes 4 années passer, je faisais ce que je voulais, defois je n’allais pas en cour et rester en salle de gym ou le cinéma était diffusé et rester à faire les cours avec d’autres classe, j’ai dompter cette internat, j’en connais le moindre recoins, nous n’avions pas le droit de boire le soir, alors je demander a aller aux toilettes tire la chasse 2 fois metter mon gobelet pleins d’eau dans ma trousse pour retourner au lit avec de l’eau, ou du pain dans la blouse pour le soir, et comme c’est moi qui aller chercher le gouter barre de chocolat et pain, les cantinière me donner un camembert entier, le gouter était dans une gamelle bleu avec un numéros accompagnée du chocolat ou patte de fruits, je me souviens aussi d’une dame très forte é la lingerie, pendant 2 ans j’ai subie leurs punitions et après c’était comme chez moi, j’ai casser la machine a kitkat pour tous les voler dans la salle en haut ou il avait le babyfoot, avec rahan au dessus du comptoir, je me suis évader et renter chez moi en rer, j’ai fait des affaires d’image a 50 centimes le paquets, sa ma couter 1 mois de bled tout les mercredis avec le fils de lavé, part contre lui me faisais peur et pourtant j’avais peur de peu de personnes, et puis les 2 dernières années vraiment j’était bien me plaisait au sein de cette institution, je pourrais en parler des heures et j’aimerais tellement rencontrer une personne et parler avec lui ou elle de cette institution, pour ma part, évidemment je venais de perdre mon pére dans un accident et ma mère ne me dit pas que je ne rentrerai pas ce soir, comme une école normal, vous êtes tous des personnes précieuse pour moi, vous avez la mémoire de cette institution dans lequel nous avons vécue nos moments ou la vie d’un enfant dans un endroit aussi dur et trés compliqué a vivre, pour ma part, je l’ai très même très bien vécue , tchao la familles barbe.5
slt moi c’était le 83, oui effectivement son fils avec son blouson en cuir et son écusson des rolling stone était un gros fumier sans pitié pour les enfants et le passé que nous avions, j’espère qu’il se porte au plus mal,
mr labé quand il secouer son trousseau de clés personne ne devait bouger dans la cour celui qui bougé , il lui faisais signe de venir et lui arracher l’oreille, mes oreille ont faillit être décoller, mais j’en pleurer tellement il le faisais fort ce gros salopard, ancien boxeur de plus, j’ai fait ce1 jusqu’au cm2, le dortoir le type s’appeler MR maussen un gros batard, et le vendredi soir, nous attendions nos parents devant la télé qui en faite était la salle de douche a coté, et la liberté jusqu’au dimanche soir ou lundi matin, defois il mettait la dernière séance en film noir et blanc dans le dortoir, c’était pas souvent, j’ai 50 ans maintenait, et sa me fait plaisir de lire vos commentaire a tous, chacun la vécu é sa manière, il y a 15 ans, j’ai eu besoin de refaire le parcour et revoir cette établissement, je me suis arreter a fontenay sous bois et remonter jusqu’a la rue dalayrac, la porte était ouverte c’est 2 grandes portes verte était ma hantise puis ,après franchement je faisais quasiment ce que je voulais, je mettais endurcie, et personne peut importe les heures de piqué et les pages de bled le mercredi, pouvais m’inteindre, quand je tapais contre le murer l’éponge pleine de craies pour le tableau, je ne revenais plus, et vadrouiller partout en faisant gaffe de ne pas me faire choper, mes premiers amours avec une fille qui s’appeler astrid, enfin je pourrais en parler des heures avec vous, je m’appelle yann, j’était un petit blondinet, un peu méme beaucoup turbulent mais sympas, mon ami de l’époque était cyril et yvan, j’ai ressentie beaucoup d’émotions quand j’y suis retourner presque 40 ans plus tard, sama fait du bien, malheureusement, j’ai essayer de monter dans le dortoir part l’entrée mes sa avait prie feu, et je me suis faufiler partout ou je le pouvais pour m’impregner de cette établissemt, ou ma mére m’avais laisser après le décés de mon pére sans me dire que c’était un internat, salut les amies, pleins de bonnes choses pour vous qui avais vécu se que j’ai vécu. il faudrait crées un forum, pour que nous puissions parler de nos éxperience.
mr lavé avec sa femme qui tenais l’entré, elle très sympathique d’ailleurs mais lui rentré dans la cour et secouer son gros trousseau de clées, était très dur, j’etait toujours consigné le mercredi après midi, avec son fils un espèce de rockeur raté qui nous frappais avec plaisir et nous mettre au piquer contre un mur, pendant des heures, le directeur était mR boutéiller et sa femme qui faisais de magnifique dessins,, les 2 profs de sports était super il s’appeler denis tout les deux, les films vidéo le mercredi les sortie a la patinoire ou la piscine, j’en garde un trés bon souvenirs meme si c’était dur parfois j’y suis rester de 83 a 87 d’ailleurs mon numéros etait le 83
Bonjour a tous, j ai ete place dans ce pensionnat apres le deces de ma mere en 1982 et j en suis sortie en 85 apres mon brevet . J ai eu lavé en surveillant principal mais aussi son fils et je vous confirme que le fils etait aussi dur que le pere. Les coups pleuvaient et beaucoup d entre nous etaient mal traités. Vos temoignages confirment ce que j ai vecu. mon numero etait le 38 . je suis reste en contact avec quelques eleves car ces annees ont aussi cimenté des amitiés. Xavier Bruera
slt moi c’était le 83, oui effectivement son fils avec son blouson en cuir et son écusson des rolling stone était un gros fumier sans pitié pour les enfants et le passé que nous avions, j’espère qu’il se porte au plus mal,
–
Une chose que je ne comprends pas :
Si l’institution Barbe a sauvé des enfants Juifs pendant la guerre, c’est très bien –
Alors pourquoi en a-t-elle torturé beaucoup d’autres dans les années qui ont suivi ???
Cela me parait assez contradictoire – Je l’ai vécu dans ma chair et dans mon psychisme :
Les gosses étaient frappés, maltraités, humiliés, punis de toutes sortes de façons –
Si un enfant fait des bêtises, est-ce que le cogner va améliorer la situation ???
Au contraire que l’enfant va ressentir de la rancoeur, de la haine, de la rancune –
Et peut être même aussi pour certains un désir de vengeance avéré et tenace –
Ca risque également de pertuber gravement la scolarité de la petite victime –
En terrorisant les mômes, les performances d’études s’en vont à la dérive –
Le niveau éducatif des gamins restent bas et végètent –
Ce pensionnat prétendait éduquer les gosses ??? – On n’éduque pas avec des coups –
C’est tout l’inverse qui se produisait – Il nous abrutissait et nous humiliait –
Le système carcéral, répressif, et imbécile de l’institution Barbe était à vomir –
J’en suis témoin, j’y étais – J’étais un pauvre élève qui a vécu 5 années dans ce merdier –
Un très mauvais souvenir – Heureusement tout a une fin, et j’en suis sorti –
Maurice Renault
–
Le surveillant Bodzon, ce manchot avec un seul bras, psychopathe et très violent quand il cognait, a failli avoir des problèmes avec la justice – En effet il a été soupçonné de pédophilie, et des parents délèves sont venus se plaindre au directeur – J’ai en mémoire qu’une fois il avait essayé de me ploter, de me caresser – Voyant que je me suis énergiquement cabré pour repousser ce genre de comportement, il n’a pas insisté – Ce milieu de pensionnat carcéral et répressif, appelé Institution Barbe, avait tous les défauts –
Dommage qu’à la place de l’Institut Barbe, la mairie n’ait pas construit une école, mais préféré faire une opération immobilière. Alors que des préfabriqués servent de classe dans des écoles assez proches.
Concernant le Ram, il n’occupe que le bas de l’immeuble, et avant était juste de l’autre coté de la rue.
J’ai été un de ces enfants, avec mes 2 frères.
Je n’ai pas souvenir que la discipline était sévère ni manger peu.
Je me souviens des promenades au bois de Vincennes tous les jeudis
Le surveillant Bodzon était un psychopathe violent qui aimait cogner – Quand il frappait il faisait très mal, et j’en avais très peur – Il n’avait qu’un bras – A l’heure actuelle, ce salaud doit sûrement être crevé …
On voit que tu n’as pas eu Monsieur Lavé comme surveillant général ou bien un Monsieur Bodzoncomme surveillant – Ce dernier était un vrai tortionnaire – Il n’avait qu’un seul bras ( il était manchot )
bonjour
toute ma vie d adulte j ai pense a ces deux nazis..je les revois dans cette cour d ecole ..
.
le surge avec ses mains sur le col de sa veste……faisant signe a l enfant visé…qui devait venir se glisser entre ses jambes pour recevoir une “fessee”
quelle horreur quand j y repense…
j espere qu il a eu une retraite maudite!!
philippe
no 56
Salut à toi
Je me rapelle de toi, et j’aiomerais te revoir …
J’ai un très mauvais souvenir de cette institution , une discipline très rigoureuse , interdit de parler à table sous peine de manger une soupe à genoux ,au lieu du repas normal….C’était entre 1957 et 1959 , entre 6 ans et 8 ans pour moi.
J’en suis revenu excessivement maigre, était je difficile ? Je me souviens que le jeudi par contre c ‘était raviolis et promenade au bois de Vincennes , suivi de film, un excellent souvenir de ce jour , le seul aspect positif, il est vrai que j’étais petit et que c’est une autre époque impensable maintenant.
Bonjour,
J’ai été interne en 1955-1958 puis externe en 1959-1960, je souviens d’un prof, Papuchon, le surgé un grand brun avec la taloche facile, la bouffe une horreur, la douche avec une noisette de savon noir sur la tête. Quelques années plus tard nous sommes revenus à la pension avec mon pote Duveaux, nous étions plus grands que le surgé.
Je vous prie de lire mon propre commentaire. Moi aussi, en 1949, âgé de 8 ans, j’ai vécu l’enfer dans la bonne pension de M. et Mme Barbe, sous le numéro 127. De mon temps, le surgé s’appelait Butot, c’était un vrai butor, la nourriture était infecte, les WC immondes, etc., etc. …
Et vius n elui avez pas cassé la gueule ???
bonjour
je viens de découvrir que mon père était à cette institution au moins en 56-57 en 6ème.
dans quelles classes étiez vous ?
merci
A l’époque l’Institution Barbe était dirigée par Marcel et Francis Barbe.
C’étaient mes grand-père et arrière-grand-père.
Ils ne se sont jamais vanté de ce qu’ils ont fait en ce temps-là, certes, mais leur modestie n’est pas une raison pour que leurs noms ne figurent pas sur la plaque. Et peut-être aussi celui de leurs épouses.
Ils ont peut-être sauvé des enfants Juifs, mais ils en ont martyrisé des centaines d’autres – Plus exactement les surveillants psychopathes qui étaient sous les ordres de vos parents –
J e comprends votre émotion en pensant a vos,ancêtres…mais il faudrait également avoir un peu de compassion
Pour tous ces petits,enfants qui on souffert
A cause de quelques ,adultes psychopathes
Qui etaient sous les ordres de vos parents je faisais partie de ces enfants……
Bonjour
J ai ete pensionnaire a 5 ans en 1961 jusqu en 1968
J ai en mémoire un surveillant général
Qui se comportait comme un SS
Je le souviens de son nom
L A V E
et pourtant j ai un souvenir emu de cette époque….
Philippe numéro 56 (et oui…on nous appelait par notre numéro.. )
Ce lavé était une ordure – Mais il est mort et il ne fera plus de mal à personne –
J’ai également été pensionnaire 1969 1971 et je me souviens bien de ce fumier de Lavé.
Bienvenu au club des anti Lavé !!!
Moi j’ai été dans cette institution de 1972 à 1977… et j’ai connu Monsieur Lavé….. oui, je l’appelle Monsieur Lavé. Certes c’était un homme de l’ancienne école, rigide, dur, mais droit. Une telle personne serait inconcevable aujourd’hui, et pourtant…. je lui dois beaucoup. Merci à cette pension et à Monsieur lavé
Fayot !!!
j’ai passé trois ans a l’Institution , ma première année en 6ème transition dans un bâtiment préfabriqué
1974 a 1976 ce fût une période d’abandon ,je me souviens que le dimanche pendant que tout les pensionnaires partaient en wk ,le surveillant générale m’ammenait a la piscine de Nogent
Bonjour
Je recherche le nom d’une institution où j’ai été surveillante en 79/80 . Savez-,vous s’il y avait aussi des filles de la maternelle jusqu’au collège à l’institution Barbe cette époque ?
Merci
Anne Marie
Ce surveillant terrible sifflait doucement et nous les èléves ont stopè sur place sans bouger, je me rappelle très, bien sa femme faisait le ménage dans l’institution. Nous étions trois frères à l’époque (DUPUY de MERY)
Mon n° 187
Où puis-je trouver des photos de l’époque 1964/ 1967
Je me souviens bien des frères Dupuy de Mery –
Puis-je avoir tes coordonnées ?
m.renault@live.fr
Je croyais qu’il n’y avait que des collabos en France. C’est ce qu’on entend tout le temps sur les plateaux TV et les films.
Bonjour..nous étions donc là à la même époque…
Philippe
J’ai connu un Hwang en effet – Puis je avoir tes coordonnées ? –
J’ai retrouvé 23 anciens pensionnaires de l’institution Barbe –
moi le 83, j’ai connue un denis qui avais une petite sœur, avec une petite malformation a la bouche, son nom était girard je crois, d’ailleurs lavé à la cantine était dur, avez vous connues les bros de fanta, et ce lavais les mains avnt le passage a la cantine dans c’est grand abreuvoir, j’ai meme un bout de ce carrelage chez moi,
J avais un frère….Denis.. plus âgé que moi..
Le gouvernement de l’époque était bien collaborationniste avec les nazis, et les forces de police et de gendarmerie qui ont passé quatre ans à arrêter les juifs et les résistants étaient bien obéissants. Beaucoup de Français ont aidé des juifs, surtout des enfants, à se cacher, mais la majorité de la population essayait de passer entre les gouttes. Ce gouvernement nous a plongé dans la honte, mais on ne peut juger à postériori une population qui vivait dans l’oppression et les privations. Ceux qui ne se sont pas soumis et ont pris des risques personnels considérables sont de véritables héros, le plus souvent anonymes.
Souvent j’ai essayé d’imaginer quel aurait été mon comportement dans ces circonstances ; si il est à peu prêt certain que je n’aurais pas été collabo, je n’ai pas de réponse pour le reste …
N'envoyez que des photos que vous avez prises vous-même, ou libres de tout droit. Les photos sont publiées sous votre responsabilité.