Consommation | | 22/09/2017
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Le MIN de Rungis vedette de la Fête de la gastronomie 2017

Le MIN de Rungis vedette de la Fête de la gastronomie 2017 © Fb

Parrain de la septième édition de la Fête de la Gastronomie, Stéphane Layani, grand patron du marché de Rungis accueillait de bonne heure ce vendredi le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, ainsi que le ministre de l’Agriculture, Stéphane Travert, pour donner le coup d’envoi symbolique de cette manifestation de trois jours dans toute la France, assurant la promotion de la gastronomie auprès du grand public.

Curieux concert de klaxons peu après la barrière de péage du MIN de Rungis. Un cortège inhabituel de visiteurs traverse lentement la route en prenant la direction du Pavillon Bio, bloquant temporairement les véhicules. Après s’être arrêté devant plusieurs foodtruck, les deux ministres ont commencé leur visite par les magasins Medelys, grossistes en épicerie fine, présents à Rungis depuis une trentaine d’année. La présence parmi les invités du chef des cuisines du Palais de L’Élysée et meilleur ouvrier de France, Guillaume Gomez, devait donner le “la” de cette Fête de la Gastronomie, consacrée à la promotion de produits alimentaires de qualité.

Les élus locaux vantent la future Cité de la Gastronomie

L’occasion aussi de faire aussi un peu de promo pour la future Cité de la Gastronomie, du côté des élus locaux. Stéphanie Daumin, présidente du syndicat d’étude, et maire PCF de Chevilly-Larue, était en effet sur place ainsi que Vincent Jeanbrun, le maire LR de l’Haÿ-les-Roses et Jean-Jacques Bridey, député LREM de la circonscription. «C’est important d’être ici, ensemble, pour encourager le gouvernement à être partie prenante de ce projet qui aura une portée nationale et internationale. Cette Cité de la Gastronomie est un élément moteur à l’échelle du Val-de-Marne et de la Métropole. Maintenant que les équipes sont constituées, nous allons affiner l’étude en déterminant les différents espaces et activités proposés au sein de la Cité pour pouvoir établir des montages économiques et financiers, de sorte qu’à l’horizon 2018, nous puissions avoir une image un peu plus détaillée et lancions les appels à projet», motive la présidente du syndicat d’étude.

 

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