Airparif, l’observatoire de la pollution atmosphérique de l’agglomération parisienne, a rendu son premier bilan de l’impact de la piétonnnisation des voies sur berge mise en place à Paris depuis l’été 2016.
A Paris, le rapport indique une amélioration sur les quais bas (jusqu’a -25%) e une dégradation sur les quais hauts de l’Est parisien, jusqu’à +15% au niveau du quai Henri IV et de Bercy.
En dehors de Paris, le rapport observe également une dégradation à l’Est, avec une augmentation de 1 à 5% des niveaux de dioxyde d’azote sur quelques axes routiers comme l’A4 et l’A86 (ainsi que sur l’A13 à l’Ouest), mais indique que tout ne peut être imputé à la piétonnnisation des voies sur berge, notamment au-delà de Villiers-Sur-Marne sur l’A4.
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La grossière erreur d’Anne Hidalgo, la reine des bobos, a été de ne pas avoir attendu que les travaux du Grand Paris Express soient terminé, soit encore moins d’une dizaine d’années en principe. En faisant ainsi, elle met de nombreux banlieusards dans l’embarras, et montre son mépris pour la région Ile de France. C’est pour cela qu’il faut mettre fin au pouvoir sans concertation de chaque roitelet des villes de l’Ile de France, une région où l’interdépendance de chaque commune avec ses voisines est totale.
Alors, oui, 1 piéton, vélo ou vélo électrique rejettent moins de saletés qu’une bagnole.
Et on sait quoi faire :
Certes, une voie piétonne / cyclable est moins polluée qu’une 3 voies.
A part ça ? Quoi de neuf, docteur ?
Airparif dépend de la Mairie de Paris qui lui laisse dire que ce qu’elle veut bien.
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