Pas question de supprimer les tribunes de l’opposition durant la période électorale, c’est ce qu’a tranché le Tribunal administratif de Melun en faveur des présidents de groupe d’opposition du Conseil municipal d’Alfortville,
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Le maire d’Alfortville (mi-2017) qui a censuré (illégalement, dit le tribunal) les tribunes de l’opposition municipale, se présentait aux législatives de juin 2017.
Dans une telle affaire, il est anormal que ce soit la commune, donc les contribuables, qui paient le montant de la condamnation. La “protection juridique” pour un élu injustement attaqué, d’accord. Mais quand le tribunal donne tort à la mairie, ce devrait être au maire d’assumer les conséquences financières. A Alfortville ou ailleurs.
Et surtout, pour les faux procès en diffamation que de plus en plus d’élus dégainent, pour faire taire leurs opposants. Avec les règles actuelles, même quand l’élu(e) perd le procès, c’est au frais des contribuables !
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