Le bras de fer continue à propos de la Bourse du travail de Villejuif sur deux fronts juridiques différents. La municipalité veut faire payer les syndicats un peu plus de 30 000 euros en s’appuyant sur le tribunal administratif et le Conseil d’Etat. Les élus d’opposition veulent faire condamner le maire au pénal pour fausses allégations.
La suite de cet article est réservée aux abonnés !
Si vous êtes abonné cliquez ici pour vous connecter.
Si vous êtes déjà abonné et connecté à votre compte, pensez à recharger la page avec Ctrl+F5 ou à vider le cache de votre navigateur pour accéder à l’intégralité de l’article (ou cliquez ici).
La plupart de nos articles sont accessibles gratuitement afin de pouvoir être lus par tous.
Cependant l’information a un coût, et nous réservons donc certains articles ou parties d’articles à nos abonnés payants. Vous pouvez souscrire un abonnement individuel en quelques clics ici.
Il vous donnera immédiatement accès à tous nos articles et contenus réservés aux abonnés, et à tous nos autres articles sans limitation.
Incroyable.
Le texte de l’ordonnance du Tribunal administratif est publié intégralement dans notre article (http://www.laveniravillejuif.fr/spip.php?article845) et se termine bien par les quelques mots habituels en dessous de la signature du juge , “la République mande et ordonne le préfet du Val-de-Marne en ce qui le concerne et à tous huissiers à ce requis en ce qui concerne les voies de droit commun contre les parties privées de pourvoir à l’exécution de ce jugement”. Or ce que dit ce jugement , c’est justement que le tribunal “rejette” (deux fois en toutes lettres , dans le considérant 5 et dans l’article 3) la demande du maire de Villejuif de recourir à la force publique pour faire évacuer la Bourse du travail.
Le mensonge du maire est démonté dans la lettre des “21” à la Procureure de la République, désormais publiée dans le même article de notre site.
Il est lamentable qu’un maire continue à mentir ainsi à sa population et à un Préfet (qui n’est pas dupe) pour entretenir un climat de guerre civile.
Quant à la menace de récupérer l’astreinte financière, il s’agit en effet d’une sérieuse menace, mais qui pourrait bien être remise en cause quand la justice administrative traitera l’affaire au fond, ou quand les justice pénale s’occupera des faux et usage de faux du maire.
Décidément Le Maire Le Bohellec n’a vraiment rien compris,il passe son temps à mettre de l’huile sur le feu plutôt que d’apaiser dans le dialogue.Idem lors des conseils municipaux.C’est le signe d’un renfermement sur soi meme,d’une forme de paranoia qui pénalise les Villejuifois.
C’est aussi le début de la fin qui s’annonce,2 ans à tenir….
N'envoyez que des photos que vous avez prises vous-même, ou libres de tout droit. Les photos sont publiées sous votre responsabilité.