180 000 tonnes de déchets. Voilà la production du territoire Paris Est Marne et Bois en 2017. Pour promouvoir la réduction de ce tonnage, le territoire a lancé un défi “Familles zéro déchets” en partenariat avec deux communes, Nogent-sur-Marne et Vincennes.
Le principe : chaque foyer participant sera suivi pendant plus de 6 mois et participera à divers ateliers pour fabriquer ses propres produits ménagers, son compostage et faire ses courses. Les familles devront en parallèle évaluer régulièrement leur quantité de déchets pour suivre l’évolution du programme.
Pour cette première édition, 110 foyers se sont inscrits à Nogent-sur-Marne et 60 à Vincennes. Les soirées de lancement du défi se tient ce lundi 5 novembre à Nogent (19h30 salle Charles de Gaulle) et ce jeudi 8 novembre à Vincennes (19h salle Robert Louis).
Les commentaires précédents sont frappés au sceau du bon sens. A Vincennes, on lance ce “défi”, ce qui est une bonne idée, mais en parallèle, chaque soir les déchets des commerçants sont collectés sans consigne de tri dans une collecte particulière dénommée “déchets industriels et commerciaux.” Les “déchets” accumulés sur les chaussée témoignent d’un gaspillage, d’une indifférence complète au tri, et surtout à la réduction des déchets, cartons, emballages plastique, on trouve de tout dans ces déchets, qui sont en quantité très abondante. Pourquoi les commerçants ne sont-ils pas associés à ces nécessaires pratiques?
Raymond94 se fache mais il n’a pas totalement tort… Que nos Enarques et nos dirigeants nous montrent comment faire pour rien consommer sans polluer, comment faire pour se déplacer ou voyager sans utiliser ni voiture ni l’avion, comment faire pour se chauffer à bas goût lorsque nous avons une habitation pas bien isolée… et tout cela à bas côut lorsque nous gagnons tout juste le Smic !
La vie est certainement plus facile à ceux/celles qui décident des lois, décrets ou taxes à l’assemblée nat. ou au parlement Européen. Tous ces gens, l’intelligentia bien pensante, élus aujourd’hui avec à peine 20% des inscrits des listes et qui veulent décider pour nous mais eux ne savent pas comment le peuple fait pour pouvoir finir le mois sans être trop à découvert niveau bancaire… ils voyagent gratos le plus souvent, mangent à l’oeil et ils ont des chauffeurs ou le taxi pour les conduire où ils désirent et bien entendu de belles indemnités très loin des 1400/1500 euros brut du smic.
J’en ai par dessus la tête d’être sans arrêt culpabilisé pour des déchets que je ne peux pas éviter : ce n’est pas moi mais les industriels et les circuits de distribution qui nous imposent ces déchets.
Un exemple, lorsque j’étais enfant, les bouteilles étaient en verre et consignées, maintenant elles sont en plastique jetable. On pourrait multiplier les exemples à l’infini. J’achète tous mes produits frais dans un marché, mais parfois les commerçants utilisent toujours des sacs en plastique : qu’y puis-je ?
Ce ne sont pas les usagers qu’il faut pénaliser, mais créer des lois et des normes ‘zéro déchets’ ! Mais qui osera s’opposer aux lobbies ? Personne ; et nous dira que “c’est l”Europe qui nous impose cela”.
Et on peut associer le scandale du diesel : on a incité les gens à acheter des voitures diesel, on a laissé faire des tests bidons, et maintenant il faudrait en trois ou quatre ans mettre ces voitures à la casse et les remplacer par des véhicules propres qui coutent 25 000 € !!!
J’ai une Twingo qui a 20 ans, 200 000 km, aucune panne, tous les contrôles techniques du premier coup et l’embrayage d’origine. Il y a encore la vignette verte collée sur le pare brise. Si vous pensez que je vais la mettre à la casse pour la remplacer alors qu’elle fonctionne parfaitement, vous me prenez pour un C..
Aujourd’hui, toutes les voitures fonctionnent pendant 250 000 km si elles sont normalement entretenues et utilisées, et une routière diesel, c’est de l’ordre de 400 000 km !!! A la casse nous disent les technocrates, en ajoutant “zéro déchets” !
On pourrait interdire de construire tel ou tel type de véhicule : au bout de 15 à 20 ans il n’y en aurait plus, de façon naturelle, et sans pénaliser les acheteurs qui ne peuvent anticiper les futures décisions technocratiques.
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