Une enquête publique parcellaire en vue de déterminer les parcelles ou droits réels immobiliers à exproprier pour réaliser la ligne 14 Sud du Grand Paris Express se tient du lundi 29 janvier
au vendredi 23 février 2018 dans les communes de Chevilly-Larue, L’Haÿ-les-Roses, Orly, Rungis, Thiais et Villejuif. Il s’agit de la 3e enquête parcellaire de la 14 Sud.
Voir les éléments du dossier en ligne (pour l’heure, les documents ne sont pas encore disponibles sur Internet, mais il est déjà possible de laisser des commentaires)
Voir également l’avis d’enquête et les horaires pour aller consulter le dossier papier en mairie, ainsi que rencontrer un membre de la commission d’enquête.
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Tout à fait d’accord avec vous pour dénoncer la longueur du processus, mais dans le cas présent, ce ne sont pas les recours qui ralentissent. C’est juste le processus lui même qui est trèèèèèslong!
Par ailleurs sachez que quasiment jusqu’au jour d’ouverture de l’enquête publique, le tracé “définitif” n’était pas officiellement connu, c’est à dire en clair que les gens directement concernés soit parce que le tunnel doit passer sous leur propriété ( il y aura donc pour eux une expropriation, mise en servitude ou vente de la partie du sous sol utilisé), soit à une distance de moins de 50m, n’étaient pas clairement informés. Sachez également que pour ces 2 catégories de riverains directs, le STIF/RATP ne tient pas du tout à mettre en place des “référés préventifs” qui offrent les meilleures garanties en cas de problèmes en cours de travaux ou à postériori. Ces éléments ne sont pas vraiment de nature à tranquilliser ….. et certains se sentent un peu seuls face à la machine administrative!
Le processus de consultation à la française est trop long avec trop de recours ce qui retarde les projets alors même que la place de la voiture est remise en cause à juste titre dans les métropoles mondiales comme Tokyo, Londres et Paris.
Que ce chantier d’extension au sud de la ligne 14 démarre. J’espère que nous ne sommes pas en présence d’un nouveau Notre Dame des Landes où l’on met 50 ans à décider, à faire et é défaire ce que le prédécesseur a fait.
Pas la peine de faire la leçon à Donald T. sur le changement climatique lorsque l’on est pas exemplaire chez soi.
Vous avez raison ; s’il est normal de faire une consultation, tous ces enchaînements quasiment infinis de recours divers aboutissent à la paralysie. Il faut dix ans pour installer une éolienne, et malgré 178 recours perdus le projet d’aéroport de NDdL ne verra pas le jour.
Il n’existe pratiquement aucun projet de chantier qui ne soit bloqué, au moins au début, par un recours.
Mais dans le cas où c’est la loi qui n’est pas respectée, faire un recours est tout à fait justifié.
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