“Y a que des mecs! Quand je passe devant, ça me hérisse!” commente Nadine devant les mâles visages qui décorent les murs de la galerie marchande des Larris, une cité de Fontenay-sous-Bois.
Avant même de passer devant, cette habitante du quartier, qui participe ce samedi matin à la marche exploratoire pour la tranquillité et la liberté des femmes dans les espaces publics, a évoqué ces fresques lors de la rencontre préparatoire autour d’un café. Sa réaction illustre le difficile compromis à trouver dans l’espace public car le street-art qui s’exprime ici constitue aussi une expression culturelle. Comment concilier cette forme d’art et un cadre de vie qui mette à l’aise tout le monde ? Pas si simple.
Un peu plus loin toutefois, l’association Home a apposé des affiches représentant Simone Veil, qui fit voter la légalisation de l’avortement lorsqu’elle était ministre, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars, pour dire “Merci”.
Située au cœur des Larris, la galerie marchande peine de toutes façons à afficher un air riant, avec la moitié de ses commerces aux rideaux fermés. Seule la supérette Diagonal stimule les allées et venues. “C’est bien pratique cette supérette et j’ai des réductions avec ma carte Diagonal“, pose Nadine, préoccupée par la suppression à venir de cette galerie périclitante. Comme dans pas mal de cités, cet ensemble de petits commerces de proximité n’a pas résisté à l’émergence des gros centres commerciaux tout proches, en l’occurrence le centre Auchan de Val-de-Fontenay. Et le second programme de renouvellement urbain (PNRU) du quartier prévoit de le remplacer par des commerces en pied d’immeuble dans le même périmètre.
En ce samedi matin, alors que la pluie a cessé, la dalle vide qui entoure le café fermé fait pourtant regretter l’existence d’une terrasse où l’on aurait pu se poser quelques minutes. Mais au moment où l’on se fait cette réflexion, un jeune homme sort d’un passage un peu sombre pour nous interpeller : “Vous faites quoi là ? Vous faites quoi? Vous n’êtes pas du quartier!”, harangue-t-il d’une voix impérieuse. “Si je ne veux pas que vous soyez là, vous n’êtes pas là, compris ?”, reprend-il alors que le groupe a déjà passé son chemin, avant de repartir en planque. Pas de quoi émouvoir les habitantes. “C’est parce nous sommes en groupe mais nous ne sommes jamais ennuyées lorsque l’on va faire ses courses”, note une marcheuse.
“Il ne nous aurait pas interpellé de cette manière si nous avions été un groupe d’hommes”, réagit la sociologue Dominique Poggi. C’est elle qui a formalisé le principe des marches exploratoires de femmes avec son association A places égales. Leur objectif : noter tous les éléments qui font que l’on se sent bien, que l’on a sa place, que l’on a envie de circuler, de s’attarder. Eclairage, signalétique, propreté, décors, plantes, mobilier urbain, praticité du parcours… tout est passé au crible à l’occasion de plusieurs marches au sein d’un même périmètre, dans des conditions différentes. Ce samedi matin, il s’agit de la troisième et dernière marche aux Larris, après une effectuée en semaine et une de nuit. Aux côtés de la sociologue, deux professionnelles de la ville, l’une au service urbanisme, l’autre à la mission égalité hommes-femmes, font également le parcours. “Le lien entre les habitants et les collectivités est très important, cela permet de croiser les savoirs et les analyses”, insiste la sociologue.
Sur le carnet de la marcheuse, tout est noté, documenté, photographié. Ici, on relève les ordures posées systématiquement à côté et non dans les container dont le calibre ne correspond pas à la taille des sacs poubelle remplis à bloc, quand ce n’est pas carrément des sacs de gravas complets abandonnés à proximité ou pas des containers.
Là, on note une erreur de signalétique comme ce plan stylisé du quartier pour se repérer en un clin d’oeil, positionné dans le mauvais sens et faussant le chemin au lieu de l’indiquer. En dessous, le QR code renvoie vers une page Erreur 404.
Devant le chemin piétonnier qui traverse la dalle des Larris, la mention “passage piétonnier public” n’est plus visible car les couleurs sont passées et on ne voit plus que la mention propriété privée qui dissuade de s’y engager. Certains problèmes seront vite réglés, d’autres nécessitent une action de fond. Se promener permet de voir ce qui ne va pas mais aussi ce qui plait, comme ce coin réservé à l’association Abeille Machine, face à l’école Langevin, tout égayé de fresques peintes par les enfants. L’association contribue à la nature en ville avec des ruches au-dessus de certains toits.
Les marcheuses sont aussi forces de proposition. Ici par exemple, un chemin qui sert de raccourci a été tracé de manière spontanée par les habitants au milieu des pelouses qui entourent les immeubles. Suggestion : en faire un vrai chemin avec des graviers pour le rendre moins glissant et boueux.
Devant le collège Jean Macé, une mini pinède donne envie de s’attarder. “On pourrait y mettre des bancs?“, suggère une habitante. Une autres acquiesce tout en s’inquiétant de possibles rassemblements autour des bancs.
Sur la dalle principale, déjà agrémentée de larges jardinières dans des ronds de béton coloré, Annie propose des aménagements pour les petits, une marelle peinte au sol par exemple. Le groupe reprend aussi la proposition d’une autre habitante d’une précédente marche de peindre un cheminement avec des pas de couleurs différentes en fonction des directions.
En contrebas, certaines ont proposé un jardin partagé devant les bouches d’aération du parking souterrain. “Bof, pas terrible les légumes devant les pots d’échappement. Et puis c’est joli tel quel ce petit morceau de forêt!”, estime une autre riveraine. Les propositions fusent pour animer la dalle que tout le monde s’accorde déjà à trouver propre.
“Je ne pensais pas que j’aurais trouvé tant de choses à dire”, pointe Nadine, de retour à l’espace intergénérationnel de la rue Jean Macé, en fin de matinée. “C’est très enrichissant mais ce qui est dommage est que l’on reste entre soi. Nous sommes toutes des militantes. J’aimerais que davantage d’habitantes du quartier sortent“, regrette Annie. De fait, Annie, retraitée, est active au sein de l’association Femmes solidaires. Nadine, également retraitée, s’est pour sa part engagée au sein de l’association Larris au coeur. Une troisième marcheuse du quartier est venue en tant qu’étudiante en urbanisme, avec un regard professionnel, et la dernière, Nazec, travaille à Larris au coeur et est par ailleurs impliquée au sein du Conseil citoyen. “Il y a beaucoup d’autocensure de la part des femmes. Elles sont sous l’emprise de leur domicile. Et pour les femmes migrantes, c’est encore plus compliqué car elles ont également une dépendance pour les papiers”, constate cette dernière. Ce samedi, le temps n’a rien arrangé avec la pluie battante et 5-6 femmes qui s’étaient inscrites se sont désistées au dernier moment.
“Les marches exploratoires font partie d’un processus qui s’inscrit dans la durée”, rappelle la sociologue, Dominique Poggi. Avant la marche, il y a eu beaucoup de sensibilisation au sein des associations, rappelle Clémentine Bretagnolle, chargée de mission Droit des femmes à la mairie. Quand bien même elles ne sont pas venues cette fois-ci, le message a commencé à passer. Et puis, il y a eu d’autres étapes avant la marche, d’analyse, de cartographie, auxquelles d’autres femmes ont participé. Du côté des militantes, pas question en effet de se résigner. “Nous allons continuer à mobiliser, organiser des pique-niques en bas des immeubles“, enjoint Nazec. Prochaine étape concernant la marche exploratoire : la marche des restitution, avec les élus.
Bonjour Monsieur Douxx,
Ce commentaire était adressé à Monsieur Tabanou…..Monsieur Tabanou, puis-je avoir une subvention conséquente pour ouvrir une sandwicherie afin de nourrir ces employés en Drogues illicites divers. Cela me permettrait de me faire un petit salaire sur leurs revenus non-imposables et ajouter un chao dans un autre.
Merci de votre réponse….
Bonjour,
J’ai reçu le dernier livret de la ville de Fontenay-sous-Bois et pas un mot au sujet du quartier des Larris..Pas un sou, un kopeck pour les Larris..La Mairie arrose les autres quartiers Bourgeois et rien pour les pauvres des Larris…Ils continueront à vivre dans la crasse et la drogue…Tout le monde s’en fout !
Je l’écrivais plus haut : les Larris sont un quartier qui attirera toujours des immigrés et des gens de condition modeste, qui arrivent ici par nécessité (encouragement au communautarisme, loyers bas, proximité des transports, aides municipales…). Gréver un budget municipal avec des travaux dans un quartier qui “roule tout seul” à grands coups de permissivité, de laxisme et de clientélisme, c’est clairement une des dernières préoccupations de nos édiles.
L’engagement citoyen de la population de ce quartier est faible, et ils votent peu ; jamais ils ne se retourneront contre ceux qui leur proposent des aides et des conditions correctes pour vivre leur religion, faire prospérer leur trafic, etc. Et quand ils peuvent voter, c’est pour faire perdurer un parti qui a besoin de nouveaux clients (le nouveau prolétariat immigré essentiellement, sans qui ce PCF disparaîtrait à court terme)
Exemple : j’écrivais il y a peu à une responsable de la Ville (payée par nos impôts) pour lui signifier que des balançoires ont eu leurs chaînes volées dans le quartier, et que ça fait 6 mois. Elle n’a su me répondre que ce nétait pas elle qui se chargeait de ces questions, sans chercher à me réorienter, tout juste préoccupée par ne pas trop en faire, ni même m’indiquer qui contacter. Oui, une fonctionnaire de la Ville.
Vous êtes, Marielle, l’exemple même de ceux qui sont oubliés car représentant un électorat qui leur fera payer leur politique à la première occasion.
Ma seule rhétorique est de souligner que vous avancez masqué et que cela soit un droit ou pas me préoccupe peu tant je m’attache au principe moral. Votre propos revèle un fourre-tout qui comme le miel attire le chaland. Entremêler ou poser au même niveau des questions de civilités comme les barbecues sauvages qui font en l’espèce des rappels à la loi et les questions de menus dans les cantines scolaires est un raccourci à l’usage dans toutes les boutiques de prêt-à-porter du populisme. Les guillemets utilisés marquent effectivement ce que vous avez pu écrire sur ce site et j’en ai usé à propos.
Concernant vos accusations de laxisme sur les trafics de drogue je voudrais vous éclairer sur les dispositifs de lutte. Il faut savoir que la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Midelca) est au sommet de la pyramide politique en matière de stupéfiant et que cette mission gouvernementale est directement placée sous l’autorité du premier ministre.
La mission de la Midelca est principalement de coordonner l’ensemble des acteurs en matière de lutte antidrogue et cela qu’il s’agisse de prévention, de lutte contre la toxicomanie ou de lutte contre les trafics. Bien entendu d’autres administrations sont impliquées. Et si vous vous attachez comme aux Larris ou ailleurs il vous faut en matière de lutte contre les réseaux de trafic de stupéfiants vous tourner vers le ministère de l’intérieur et-v prendre en compte le travail de l’Ocrtis dirige les différentes administrations (police, gendarmerie et douane) chargées de combattre les business illégaux sur le terrain.
L’Ocrtis centralise ainsi les renseignements sur les filières de trafic et procède également à des enquêtes sur l’ensemble du territoire.
La brigade des stupéfiants, avec les douanes sont le bras armés de l’Ocrtis et sur le terrain, les brigades des stupéfiants sont les acteurs de la lutte contre les trafics. Sur le terrain il revient donc à la Police Nationale d’intervenir et non à notre police Municipale. Et je vous rappellerai que les effectifs de notre commissariat sont en baisse constante et que l’Etat ne respecte aucun de ses engagements. Nos “mesures régaliennes d’autorité” en la matière sont restreintes.
Et pour en terminer sur ce chapitre de “”l’autorité régalienne ” du maire que vous évoquez avec légèreté je vous fait copie ci contre d’une page du Ministère de l’Intérieur expliquant avec clarté le rôle et les compétences du maire:
Le maire bénéficie d’une « double casquette » : il est à la fois agent de l’État et agent de la commune en tant que collectivité territoriale.
Le maire est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales.
En tant qu’agent de l’État, sous l’autorité du préfet, le maire remplit des fonctions administratives dont notamment :
• la publication des lois et règlements ;
• l’organisation des élections ;
• la légalisation des signatures.
Sous l’autorité du procureur de la République, il exerce des fonctions dans le domaine judiciaire : il est officier d’état civil et officier de police judiciaire.
En tant qu’agent exécutif de la commune :
• Le maire est chargé de l’exécution des décisions du conseil municipal et agit sous contrôle de ce dernier. Il représente la commune en justice, passe les marchés, signe des contrats, prépare le budget, gère le patrimoine communal.
• Il exerce des compétences déléguées par le conseil municipal et doit alors lui rendre compte de ses actes. Les délégations portent sur des domaines très divers (affectation des propriétés communales, réalisation des emprunts, création de classes dans les écoles, action en justice…) et sont révocables à tout moment. La loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales autorise le maire à subdéléguer, à un adjoint ou un conseiller municipal, les attributions qui lui ont été confiées par délégation.
• Le maire est titulaire de pouvoirs propres. En matière de police administrative, il est chargé de maintenir l’ordre public, défini dans le Code général des collectivités territoriales comme le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques. Il s’agit également de polices spéciales (baignade, circulation…).
Le maire est aussi le chef de l’administration communale. Il est le supérieur hiérarchique des agents de la commune et dispose d’un pouvoir d’organisation des services.”
“
A aucun moment je dis que les défavorisés sont “délaissés” (c’est vous qui utilisiez des guillemets pour faire croire à une citation de ma prose). Je dis que les “pauvres” (et là, je vous cite) sont dans la cité dépeinte par l’article, cette majorité d’électeurs silencieux que votre équipe municipale ne veut pas froisser, en ne l’inquiétant pas avec des mesures régaliennes d’autorité. Vous laissez faire pour vous garantir un maximum de chances de revenir au tour suivant : cela passe par du porc une seule fois par mois (parfois deux) à la cantine gérée par la Ville et vous même, au stationnement anarchique dans la ZUP, en passant par les barbecues sauvages et les trafics qui prospèrent. Et bravo pour le Passe Solidaire ; mais de grâce ne me fustigez pas parce que je suis « suffisamment aisé ». Je fabrique des richesses que la Ville et l’Etat redistribuent via mes impôts et ceux des entreprises qui payent leurs taxes à Fontenay et ailleurs dans le pays, et sans ces richesses la France ne serait pas aussi attirante pour beaucoup qui s’installent à FsB.
L’anonymat reste une vertu garantie par notre société et ce forum. Amener la tragique actualité dans votre argumentaire et me mettre en face est synonyme à mon sens d’un effet de style peu maîtrisé, qui révèle encore le niveau rhétorique d’un décideur politique. La confiance dans mes propos n’engage que ceux qui veulent bien réfléchir dessus et rien d’autre. Tout comme la confiance qu’un électeur peut avoir en un politicien, cela n’engage que celui qui l’écoute. Les liens de causalité que vous établissez dans vos propos sont pénibles.
Ce passage est absolument ignoble et surtout sans fondement car il tend à démontrer que notre politique municipale est assujettie à une forme de soumission à une loi des puissants… Caricatural à souhait: ” Dans les beaux quartiers de FsB : les “riches”, leaders d’opinion, qu’il faut contenter pour qu’ils ne fassent pas trop de vagues et assurent une présence fiscale profitable à la Ville, et des cadres garants d’une image attractive pour échapper à une ghettoïsation type villes du 93. Ce sont ces mêmes “électeurs privilégiés” qui demandent des comptes, qui font des pétitions et se mobilisent quand ça déraille trop, voire ternissent l’image de la Ville (des présentateurs télé et journalistes habitent près du Bois). Ce sont eux qui peuvent potentiellement amener du poil à gratter et perturber le ronronnement de la Mairie. Donc on leur montre directement qu’il y a une préoccupation de leur cadre de vie (via la police municipale par exemple).” Une municipalité qui délaisse “ses pauvres ” alors qu’elle met tout en œuvre non pas tout pour les favoriser mais tout pour les accompagner comme par exemple notre PassSolidaire reconduit chaque année… Nous mettons des dispositifs sociaux que Douxx semble ignorer mais c’est tout à fait normal car il doit être suffisamment aisé pour ne pas devoir en bénéficier.
En outre et je le rappelle comment faire confiance aux propos diffusés anonymement… Leur faire confiance c’est comme accorder de crédit aux terroristes qui frappent aveuglement bien dissimulés dans leur anonymat. C’est l’arme des lâches et des facilités outrancières que s’accordent ceux-ci.
Mes réponses peuvent ne pas vous satisfaire, peuvent être contredites car je me présente comme responsable devant vous, assume également un mandat que des élections peuvent révoquer mais elles ont le mérite d’être affichées sous mon identité donc assumées contrairement aux logorrhées distribuées par Douxx à l’encontre de notre politique municipale. La démocratie réside dans cette faculté à s’entretenir en assumant ses propos de façon claire et non dissimulée.
Tabanou, je comprends que vous soyez perturbé par le fait de ne pas savoir qui je suis, mais l’anonymat reste une vertu républicaine, contrairement – peut-être – à d’autres systèmes plus inquisiteurs que vous appréciez ? Je comprends aussi qu’avoir pour une fois en face de vous quelqu’un qui argumente avec des idées claires vous dérange aussi. Amener les terroristes dans votre argumentaire et me mettre en face est d’une bassesse attendrissante digne d’un débat de Conseil municipal où la politique politicienne occupe autant de place que les idées nouvelles. Vous pourriez vous appeler Z ou Y, je vous répondrais de la même façon.
A aucun moment je dis que les défavorisés sont “délaissés” (c’est vous qui utilisiez des guillemets pour faire croire à une citation de ma prose). Je dis que les “pauvres” (et là, je vous cite) sont cette majorité d’électeurs silencieux que votre équipe municipale ne veut pas froisser en ne l’inquiétant pas avec des mesures régaliennes d’autorité. Vous laissez faire (et j’insiste) pour être sûrs de revenir au tour suivant. Et bravo pour le Passe Solidaire ; mais de grâce ne me fustigez pas parce que je suis “suffisamment aisé”, c’est vous qui deviendriez caricatural à souhait, à vouloir opposer riches et “pauvres”. Oui, je fabrique des richesses que vous redistribuez via mes impôts et ceux des entreprises qui payent leurs taxes à Fontenay, et sans ces richesses la France ne serait pas aussi attirante pour vos électeurs.
Peut-être que les quartiers plus riches de Fontenay-sous-Bois monopolisent la plus part du capital….Gauche ou Droite, les Maires veillent toujours à ses électeurs privilégiés…..Donc, vous devez en profiter aussi…Il est vrai que nous ne voyons jamais la police municipale mais la police nationale fait des rondes…..Bref, ce n’est pas parce que je paye des impots que je demande des comptes. Autrement, je vous en demanderai Doux.
@Marielle : la logique gauche – droite transcende cela. Dans les beaux quartiers de FsB : les “riches”, leaders d’opinion, qu’il faut contenter pour qu’ils ne fassent pas trop de vagues et assurent une présence fiscale profitable à la Ville, et des cadres garants d’une image attractive pour échapper à une ghettoïsation type villes du 93. Ce sont ces mêmes “électeurs privilégiés” qui demandent des comptes, qui font des pétitions et se mobilisent quand ça déraille trop, voire ternissent l’image de la Ville (des présentateurs télé et journalistes habitent près du Bois). Ce sont eux qui peuvent potentiellement amener du poil à gratter et perturber le ronronnement de la Mairie. Donc on leur montre directement qu’il y a une préoccupation de leur cadre de vie (via la police municipale par exemple).
Dans la ZUP : c’est le gros de l’électorat de l’équipe municipale, qu’il faut choyer (et donc ne pas ennuyer avec les problèmes de Police ; à qui il convient de proposer des menus de restauration scolaire adaptés n’entrant pas en confrontation avec des prescriptions religieuses, favoriser le communautarisme sous des dehors grossiers d’humanisme, pas de perturbation des trafics et barbecues sauvages…). C’est une population peu intéressée par la gestion d’une ville (sauf exceptions), car constituée d’employés et de travailleurs plus précaires et d’un niveau d’éducation relativement basique (quand on a de l’argent, on ne vit pas dans une ZUP peu flatteuse en termes d’environnement – vous l’admettiez tantôt). Des habitants qui payent pas ou peu d’impôts et ne sont généralement en France que par attractivité socio-économique. Ce sont des gens qui votent en général selon une idéologie préfabriquée qui favorisera leurs intérêts (le local du Parti communiste de Fontenay est attenant à la mosquée, pour vous aider à comprendre).
A votre phrase “ce n’est pas parce que je paye des impôts que je demande des comptes”, je répondrai que c’est l’illustration parfaite du pourquoi le bon peuple n’a que ce qu’il mérite : des politiciens suffisants, peu compétents et clientélistes. Quant à me demander des comptes, je n’ai pas à vous en rendre, étant un simple citoyen sans mandat. J’espère vous avoir un peu éclairée dans ce monde de pensée prémâchée pour vous à la télévision.
Marielle, demandez-vous pourquoi vos impôts (locaux) financent entre autres une police municipale qui est totalement absente de votre quartier, et vous aurez un début de réponse à vos interrogations et griefs envers la municipalité de Fontenay.
Pas d’inquiétude comme le dit l’anonyme constitutionnel opposé au visible bien réel de celui qui assume, ne se voile pas. Me prendre pour le pion qui surveille et veille est la bonne preuve que cet anonyme me connait fort mal malgré ma visibilité affichée: Pour l’instruire il n’a qu’a s’en référer à mes expressions publiques – mon blog ou FB – sur la laïcité pour comprendre que la différenciation communautariste n’est pas un principe républicain.
Ceci dit et quant aux Larris attendez la réunion publique de la fin du mois à l’Hôtel de Ville où seront évoqué le quotidien et la construction de notre ville pour demain où bien entendu le quartier des Larris aura sa place, tout comme d’ailleurs celui de la Redoute et autres sachant qu’une gestion urbaine de la ville englobe la totalité de son territoire et ne le fractionne pas au détriment d’intérêts autres que celui dit public. Les Larris sont un quartier en soi et appartiennent à un tout et l’ensemble se place dans notre détermination à entreprendre des projets qui répondent aux aspirations de toutes et tous.
J’espère qu’un jour vous comprendrez, Tabanou, que la laïcité est la faille dans laquelle s’engouffre le prosélytisme islamique. Cette même laïcité vous donne l’impression d’une posture et d’une objectivité républicaines mâtinées de sentiment moral supérieur (car de gauche) ; elle n’est hélas que la promotion nouvelle de la déconstruction identitaire du pays (ouh ! un gros mot). La laïcité ne fonctionne pas avec l’islam – qui est un système religieux, politique et social qui ne sait pas (ou très difficilement), par essence et constitution originelles, accepter d’autres formes de fonctionnement que le sien propre. La laïcité est un terme dévoyé aujourd’hui, issu de l’époque où le religieux chrétien s’opposait maladroitement au pouvoir de l’Etat. Mais vous devez avoir fait le tour de la question sur votre fameux blog, Tabanou 🙂
Il est de bon ton de dépenser des millions pour réparer des banlieues qui sombrent dans le communautarisme. M. Hollande évoquait dans ses entretiens une partition future du territoire selon cette tendance. Le contribuable est donc invité à payer pour financer des territoires où des femmes, telles que Marielle, sont mises en difficulté par l’échec des politiques de la Ville.
Oui, il est bon de dépensé quelques Millions pour rénover ce quartier. J’ai aussi le droit de vivre dans un environnement sécurisé, agréable et faisant partie intégrante de Fontenay-sous-Bois comme vous…
Je vous rassure, ce quartier n’est pas tel que vous le décrivez. Il est plaisant mais il aurait besoin d’être pris en considération par la Mairie..La plus grande majorité de la population travaille, les enfants jouent ou font du sport en toute tranquilité. Vivre dans un Habitat à Loyer Modéré ne veut pas dire automatiquement délinquance, R.S.A et tous les clichés associés…Personnellement, je travaille dans le domaine de la Recherche et je vis dans un H.L.M car ce domaine ne rénumère pas suffisamment ces employés…Chercher l’erreur.
Je vous remercie de votre réponse et j’espère que les besoins du quartier sera réellement pris en compte tels que la Culture, un besoin de certains services administratifs et une petite épicerie ou supermarché…..Des endroits accessibles à tous et pour tous….Pour le moment, la salle intergénérationelle n’est accessible que pour les jeunes et les personnes agées jusqu’à une certaine heure (je ne vois pas ce que le mot “intergenerationelle” veut dire dans ce cas) et les activités ne reflètent plus le XXIème siècle..Une boulangerie de piètre qualité..Le bar avec leur barbecues illégaux est un vrai nid de personnes peu fréquentables et peu accueillants pour la population du quartier…et il fût un temps où les restaurants ne remplissait pas la charte de la ville de Fonteny-sous-Bois avec leurs menus à 3 sous….Au quartier Les Larris, il y a un pouvoir d’achat et malheureusement, je préfère consommer ailleurs que dans ce quartier et aux alentours…Je suis d’accord avec vous pour une réhabilitation d’ensemble pour la ville mais n’oubliez pas que le Grand Paris arrive à grand pas, les Jeux Olympiques de 2024 et la cohésion de la population pour la Liberté, l’Egalité et la Fraternité…
Les jeunes désoeuvrés qui trainent dans le quartier commerciale des Larris vendent de la drogues…Voilà…Le système de poubelles ne fonctionne pas suite à l’incivilité des résidents, la saleté des poubelles collectives (en été, les odeurs nauséabondes remontent des cuves, les mouches qui envahissent les ouvertures et elles ne sont pas nettoyées régulièrement), le manque d’investissement des élus locaux (où en est la rénovation de ce quartier qui vieillit)…Où est Le Grand Paris des Larris ???? Je ne fréquente pas le bar car il n’a rien d’attrayant pour y consommer…Et que fait Monsieur Le Maire pour les barbecues organisés sans autorisation et règles d’hygiène….Beaucoup de personnes travaillent aux Larris mais il est plus facile de coller cette image de Quartier de “Pauvres, Ksos” pour ne rien faire et laisser ce quartier à l’abandon !
Pourquoi dépenser de l’argent dans un quartier où l’électorat est acquis et où les bobos ne vont pas (faire de vagues) ?
A Fontenay, le local du PCF est dans l’ombre du minaret de la mosquée. Rien ne sert de gréver les finances de la Ville ! Quand ça marche (lire : quand ça paye électoralement), la règle c’est : on ne touche pas au réservoir à voies. M. Voguet l’avait compris, son poulain M. Gautrais l’a appris. Ainsi on laisse se développer la petite criminalité et les petites incivilités pour ne froisser personne.
Les Larris commence à gronder car les promesses ne sont pas honorées et la sociologie du quartier commence à changer…..Effectivement, ils votent toujours PCF-Vert mais cet alliance politique se morcelle de plus en plus et commence à se droitiser dans leurs propos et dans les urnes (un pourcentage qui augmente petit à petit) .
Pas d’inquiétude. Des gens comme M. Tabanou veillent à une alimentation équilibrée dans les cantines de la Ville pour que la population musulmane reste reconnaissante dans les urnes. L’urbanisme est hélas secondaire car il relève d’une temporalité très différente du temps politique.
(voir plus haut, lorsque l’édile ne répond pas à la question sur les quantités relatives aux marchés passés par lui)
Côté Urbanisme, j’espère que le Grand Paris fera changer les têtes avec la grande rénovation et l’augmentation des moyens de transport.
“Vous faites quoi là ? Vous faites quoi? Vous n’êtes pas du quartier! », harangue-t-il d’une voix impérieuse. « Si je ne veux pas que vous soyez là, vous n’êtes pas là, compris ? »
Qu’il fait bon vivre dans les villes gérées depuis des décennies par les communistes ! Et après, ce sont eux qui nous rabâchent de façon pavlovienne l’expression “vivre ensemble” !!!
Savoir que le fait que des femmes se déplacent en groupe suscite de telles réactions est à vomir. Où est le “vivre ensemble” dans un tel cas d’espèce ?!!!
Ici, ce ne sont ni plus ni moins que des petits voyous qui pourrissent la vie des femmes et s’octroient le droit de décider qui est autorisé à s’ “aventurer” (car c’est le terme qui convient) dans une partie de la ville. Quelle régression sous le silence complice de nombreux politiques à gauche (heureusement pas tous !) qui ne veulent pas s’aliéner une partie de la population ou qui aveuglés par leur dogmatisme ne voient en ces voyous que de gentils jeunes ostracisés injustement !
Il y auraut beaucoup à dire sur les circulations dans le secteur et particulièrement la barrière constituée par le centre commercial mais manifestement tout cela est resté à l’état preliminaire
Il y a dans la Ville des Conseils de quartier, animés par des bureaux composés d’habitant(e)s volontaires. Faire un tour du quartier, pour noter tout ce qui ne va pas, cela existe donc déjà.
Alors, doublons ? En quoi les Marches exploratoires se distinguent ? Parce qu’elle ne sont pas mixtes.
Mais encore ?
La majorité des propositions indiquées pour améliorer le quartier Les Larris auraient pu avoir lieu dans le cadre des Conseils de quartier (tour du quartier). Mises au début de l’article, les réactions sur la fresque sont à distinguer, mais pour le reste pourquoi une parole de femmes sans hommes ? Ce n’est pas expliqué (ou rappelé) ; on suppose pour mieux libérer la parole, mais pour le moment les marches sont entre militantes qui n’hésitent pas à s’exprimer je pense.
Et si le progrès final, c’était la possibilité de marches mixtes
réponse à Douxx et sur la fantasmagories que ” mon patron ” me chargerait de consignes! Quand à ma collaboration elle n’est pas un assujettissement comme celle de Laval à Pétain. En terme de politique sociale, culturelle, de solidarité, de logement et quelques autres points seule cette équipe répondait à mon engagement. Alors plus qu’une collaboration c’est un compromis. Quant à ma laïcité, ayant été co-fondateur d e l’Association fontenaysienen Fontenay-Laïcité il vous sera difficile de trouver dans chacune de mes positions ou réaction publiques un laisser-aller, un abandon et même une adjectivisation du terme. Par ailleurs il n’y juste une semaine je mettais le doigt avec inquiétude sur la journée porte ouverte d’une mosquée turque proche d’Erdogan et appelai publiquement à toute prudence et surtout affirmai que je ne pouvais m’y rendre pour cette raison laïque et pour la raison essentielle également du massacre organisé à Afrine des Kurdes par Erdogan avec la complicité silencieuse de l’Occident! On ne peux être plus clair. Et c’est à mon oste de responsabilité politique que je peux le puls rendre ce service d’utilité publique de la veille laïque et je sais combien un grand nombre de fontenaysien m’a fait part de sa satisfaction.
Merci pour votre engagement et n’hésitez pas, M. Tabanou, à nous parler des volumes différenciés de ce marché de viandes bœuf / porc pour les cantines dont vous vous targuez, on verra là les compromis que vous faites dans votre approche de la laïcité à Fontenay. Bon courage !
Une commission d’appel d’offre répond à des exigences multiples et surtout diversifiées. Je peux vous assurer que la répartition entre porc – que je ne dénonce pas – agneau, bœuf, veau et poisson ( avec en sus la place réservée au bio ) correspond à une moyenne équilibrée que l’on peut retrouver dans le panier de consommation à l’échelon national. Notre commission n’obéit nullement aux contraintes exigées pour ses fidèles par la mosquée de Paris ou par -vous l’oubliez – par le Grand Rabin de France! Il est facile pour vous de croire le contraire et satisfaisant pour vos œillères de diffuser des informations erronées et grand bien vous en fasse d’ailleurs si cela correspond à votre dogme thérapeutique d’opposant auquel j’aurais toujours un jugement républicain à opposer.
Pour clore le sujet, en suivant ce lien vous trouverez la liste des menus journaliers de février à avril dans nos cantines scolaires:
http://www.fontenay-sous-bois.fr/enfance-jeunesse/enfance/restauration-scolaire/index.html
Des chiffres ! Donnez-nous les chiffres porc / bœuf de ce marché ! Ayez au moins ce courage-là, et vous viendrez nous parler ensuite de justice sociale et de maitrise des coûts !
Je ne suis pas du tout un opposant, j’ai cessé de vouloir me plonger activement dans la politique de Fontenay depuis que les communistes et leur descendance non-élue font des scores de république bananière, portés par leurs “fidèles” (vous goûterez le jeu de mot) qui font la loi sur les murs de la ZUP.
Je vous vois juste en train de défendre une action pleine de compromis où vous servez des repas de substitution à ceux qui ne mangent pas de viande égorgée selon le Rite, en vous drapant des atours de la République pour asseoir un discours de politique politicienne qui répond savamment à côté des questions posées, et je trouve ça… touchant.
Kenavo et prospérez bien dans le compromis.
Exact mais il y a toujours des individus pour cibler et cela avec outrance. Cela ne signifie en rien qu’il nous faille ne pas être vigilant!
@Sabrina
Il ne s’agit justement pas d’un territoire abandonné de la république, sinon il n’y aurait pas de marche exploratoire. Les photos ne sont pas joyeuses mais le temps pluvieux n’aide pas non plus, car la cité offre aussi de jolis coins paysagers sous le soleil. Caricaturer la situation n’aide pas à répondre aux problèmes complexes.
Je vous assure qu’à partir du printemps jusqu’à l’automne, le quartier parait plus agréable et joli….Malheureusement, le béton et la peinture vieille de plusieurs années n’aident pas.
@Douxx
Comme vous pouvez le voir sur cet article, la jeune femme dessinée devant le café, avec sa longue chevelure blonde, n’est pas voilée. De toutes façons, là n’était pas le sujet de l’article. Vous importez un débat qui n’a aucun rapport avec la question de la déambulation des femmes dans l’espace public.
Intimidations machistes, laides fresques soit disant artistiques, ordures, commerces délaissés, c’est un excellent reportage sur les territoires abandonnés de la république. L’ambiance glauque qui règne dans ce quartier le placera sur en tête de liste lors de la partition du territoire, pour le plus grand plaisir des caids de cité qui y feront régner la terreur. Ces femme sont très courageuses…
C’est très représentatif d’une culture sur-représentée à Fontenay. Pousser des cris d’orfraie aujourd’hui c’est remettre en question les doubles menus dans les cantines scolaires de Fontenay et tout le clientélisme électoral de l’équipe municipale envers une population – dont le lieu de culte jouxte le local du PCF.
Cette forme d’art est très symptomatique de ce qui se trame en Ile-de-France et que les politiques veulent masquer pour prospérer. Donner les murs des cités à des jeunes rejetés par l’ascenseur social c’est acheter à bon compte la paix sociale en fermant les yeux sur le rejet des femmes et autres dérives religieuses.
Je suis un élu de Fontenay et avec mon groupe nous demeurons attentif à tout dérapage sur ce champ sociétal et l’avons déjà exprimé publiquement à plusieurs reprises. Il est des emprises ou des facilités communautaristes auxquelles on ne peut nous associer et aux ficelles du “vivre ensemble” nous opposons la réalité de la défense expresse de la laïcité, des valeurs de la République qui malheureusement se fait de plus en plus absente avec le retrait de certains services publics, l’abandon de politiques éducatrices, les questions du logement, etc… Il ne faut pas acheter mais former, éduquer, ne pas avoir la peur au ventre de louer notre système républicain qui ne différencie pas les individus, ne catégorise pas et il faut savoir prendre les responsabilités de notre histoire où le combat social historiquement a été mené non pas pour exclure mais inclure et surtout dans le refus d’œuvrer pour le bien d’un particularisme identitaire quelqu’il soit dont on sait qu’il est toujours obscurantiste avec cette finalité toujours exacerbée de retirer à l’homme le choix de sa propre destinée!
Monsieur Tabanou,
Puisque vous répondez , je prends le soin de vous répondre aussi :
Si vous demandez aux jeunes des Larris de dessiner librement des femmes, vous savez très bien qu’elles seront voilées, et ça vous e**erde.
Il est clair à mes yeux que vous avez la “peur au ventre” (pour vous citer encore) de dégager par les urnes si vous ne prenez pas soin de vos électeurs religieux. Vous (votre équipe) n’incluez rien du tout, vous créez hypocritement des particularismes et faites la promotion masquée du communautarisme qui est LE danger qui guette la République et son modèle inclusif malade. Les dessins sur les murs et autres tolérances d’incivilités que la Ville supporte sont la conséquence directe du laisser-faire cultivé par les communistes.
Autre exemple : les menus “végétariens” (pour contourner l’écueil de la viande qui n’est pas halal que vous servez dans les cantines), vous en dites quoi dans votre équipe d’élus ? Quand on sollicite le Maire – ou du moins le barrage filtrant de ses secrétaires endoctrinées, il répond que ce sont des menus établis avec des diététiciens (hahaha). A Fontenay le porc (viande la moins chère) c’est seulement une fois par mois, alors que dans les villes voisines du 94 c’est toutes les semaines. Où est le “système républicain qui ne différencie pas les individus” dont vous parlez, dans tout ça ?
Mais chut, on risquerait de vous entendre depuis un lieu de culte qu’on ne doit pas citer ! Et empressez-vous d’employer le mot “extrême-droite” pour aiguiller le débat là où vous pourrez susciter de l’adhésion 🙂
Prenez tous les soins que vous voulez pour me répondre Monsieur ? “Douxx” anonymat qui vous oblitère du courage du monde réel où vous seriez identifiés. Je n’ai pas peur et ne suis pas dans un amalgame qui transformerait vos propos vers ceux d’un Rassemblement National!
Le seul soin que vous n’avez pas pris est celui de me lire ou de lire mes propos depuis des années sur mon blog :www. michel.tabanou.net ou mon profil FB. Je n’y vois pas la caricature que vous dressez à mon encontre qui semble être bien lus pour vous un paravent pour votre autisme de vouloir, dans je ne sais quelle haine, amalgamer tout le monde dans cette majorité municipale.
Je noter quelques approximations doctrinaires de bas étage comme comme celui de la viande hallal alors que j’ai participé il y a un mois à la Commission d’Appel d’offre de denrées alimentaires pour notre cuisine municipale et d’avoir validé entre autres lots l’achat de viande de porc! A moins d’avoir signé un document erroné m’exposant à un faux en écriture publique je comprends mal vos incantations – mais celles-ci sont assurément soit à la merci d’une erreur et méconnaissance de s réalités soit et c’est plus grave à la médisance. On avancera jamais sur ces débats avec de tels arguments.
Quans à es électeurs religieux j’en connais peu qui apporteraient leurs suffrages à l’athée convaincu et déclaré publiquement que je suis – allez encore sur mon blog ou profil FB pour le découvrir!!!
La fiabilité de vos propos ne vous rendent pas digne d’être un contradicteur honorable et aux œillères compulsives je préfère le dialogue responsable entre deux individus conscients de problèmes et désireux d’une part d ene pas les sous-estimés puis de trouver le terrain d’entente républicaine pour les régler avec fermeté.
@Monsieur Tabanou,
Où en est la rénovation du centre commercial Les Larris tant promis ??
Quand au communitarisme, elle vient des deux camps…Nouvellement résidente au quartier Les Larris, un commerçant de l’époque me rappelait de ne pas oublier de faire le Ramadan (cela m’a choqué) et je lui ai demandé si son commerce était ouvert durant cette période pour me restaurer….Donc, à vous de faire le neccessaire afin que nous vivons dans une quartier, une ville, une région, une France libre et laïque…Oui, il y a une pression sous-jacente envers les femmes…Au début, certains Musulmans du quartier m’ont interrogés de mamière insidieuse pour connaitre mes origines et convictions religieuses…..Il ne faut pas se voiler la visage et rencontrer les bonnes personnes. Dans l’attente de votre réponse…..
@Tabanou : je prends acte de vos remarques et vous présente mes excuses si vous vous êtes senti offensé. Votre rejet du religieux dans la sphère publique vous honore et à aucun moment je n’insinue – vous m’aurez mal lu, que la Ville sert du halal.
Quant aux suffrages, vous êtes sur une liste en tant qu’adjoint, avec une tête de liste, et ce ne sont pas vos idées sur ces questions qui sont mises en avant – hélas. Vous COLLABOREZ ; je sous-entends par le sens de l’Histoire. Si vos idées laïques étaient primordiales, vous auriez soit démissionné soit seriez passé dans une opposition, car à suivre ce Maire et son système politique qui font du clientélisme musulman, vous vous couchez hélas, votre blog et votre prose n’y feront rien.
Finissons par une donnée précise – c’est ce que vous aimez (que je pense que vous ne fournirez pas car trop déstabilisante) : la quantité de viande de bœuf commandée dans ce marché et la quantité de viande de porc commandée par la Ville, toujours dans ce même marché. Chiche ? On tombe à combien M. Tabanou ? Votre patron a-t-il donné ses consignes “laïques” ? Vous êtes-vous tu pour garder votre place ? Ou avez-vous arraché une victoire à la Pyrrhus pour pouvoir servir du porc une fois par mois ?
Et sur l’anonymat : c’est mon choix et c’est un droit constitutionnel qu’heureusement vous ne pourrez pas supprimer, même à Fontenay. Votre exposition d’élu vous oblige dans un sens. Moi, je ne le suis pas.
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@C Dubois : vous avez raison, c’est une digression géante, j’espère qu’elle ne vous a pas été trop pénible. Mais ce type de débat ne filtre plus dans les médias… alors quand on tient une occasion… On devrait se concentrer sur la critique de cette forme d’art complètement mortifère qui nivelle tristement le goût de nos concitoyens vers le bas et défigure l’espace public… Les goûts et les couleurs…!
Je vous laisse un lien sur mon blog en date de 2012 et qui eclaire sur ce sujet des marches exploratoires des femmes dans le cadre de l’urbanisme.
http://www.michel-tabanou.net/article-assurer-la-participation-active-des-femmes-au-processus-d-amenagement-securitaire-de-l-espace-102825308.html
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