Les travailleurs sans papiers de La Queue-en-Brie cessent l’occupation de la société STLG. L’employeur et les grévistes épaulés par le collectif migrant de la CGT du Val-de-Marne ont obtenu en contrepartie les documents nécessaire à la reconnaissance des 9 trieurs en tant que salariés.
“Auparavant, ils travaillaient sous des noms d’alias. Ils ne pouvaient pas bénéficier des droits reconnus aux salariés en leur propre nom. L’obtention de ces documents employeur sont une étape nécessaire pour l’obtention d’une carte de séjour avec mention salarié qui doit être délivrée par l’État”, explique Philippe Jaloustre, animateur du collectif migrant CGT 94.
Malgré la fin de l’occupation du local, la grève se poursuit pour obtenir la régularisation de 160 travailleurs sans papiers dans plusieurs sociétés franciliennes.
C est du n importe quoi comment un syndicat peut soutenir cela ???
Ils se doivent de défendre les droits des salariés légaux
Comment faire baisser le taux de chômage si ils se mettent à demander la régularisation des travailleurs illégaux?
Bravo les syndicats !!!
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