Arrivé du Portugal à 17 ans à la gare d’Austerlitz, fin 1961, Armand Lopes a d’abord bossé sur le chantier du périph. Un demi-siècle plus tard, c’est à la tête de son entreprise qu’il a négocié une partie du colossal chantier du Grand Paris Express, grâce à un jeu d’équipe soudée entre entrepreneurs du Val-de-Marne.
La suite de cet article est réservée aux abonnés !
Si vous êtes abonné cliquez ici pour vous connecter.
Si vous êtes déjà abonné et connecté à votre compte, pensez à recharger la page avec Ctrl+F5 ou à vider le cache de votre navigateur pour accéder à l’intégralité de l’article (ou cliquez ici).
La plupart de nos articles sont accessibles gratuitement afin de pouvoir être lus par tous.
Cependant l’information a un coût, et nous réservons donc certains articles ou parties d’articles à nos abonnés payants. Vous pouvez souscrire un abonnement individuel en quelques clics ici.
Il vous donnera immédiatement accès à tous nos articles et contenus réservés aux abonnés, et à tous nos autres articles sans limitation.
Monsieur Lopès est président de l’US Créteil Lusitanos et non de St Maur Lusitanos.
L'espace commentaire de cet article est clos.