La mobilisation s’amplifie pour éviter la suppression du dernier train de fret primeur Perpignan-Rungis fin juin.
Ce mardi, c’est le président du Grand Orly Seine Bièvre qui a pris position en réclamant un moratoire, une réunion avec le préfet de région et une audition au ministère tandis que le président de la CCI Val- de-Marne, Gérard Delmas, a également apporté son soutien en insistant sur les enjeux d’approvisionnement du MIN, de maintien des emplois et de diminution de la circulation de camions sur les routes du Val-de-Marne avec la pollution qui y en découle.
Lire sur ce sujet :
Abonnez-vous pour pouvoir télécharger l'article au format PDF. Déjà abonné ? Cliquez ici.
N'envoyez que des photos que vous avez prises vous-même, ou libres de tout droit. Les photos sont publiées sous votre responsabilité.