Interpellée par les garde-frontières britanniques au port de Calais samedi dernier, une étudiante de l’Upec en stage à la préfecture du Val-de-Marne vient d’être condamnée à un an de prison ferme pour avoir tenté de faire passer des migrants au Grand-Bretagne moyennant finance.
Que lui est-il passé par la tête ? Une jeune femme de 22 ans, en Master de communication politique et publique à l’Université Paris Est Créteil et stagiaire à la communication interministérielle à la préfecture du Val-de-Marne, vient d’être condamnée pour trafic de migrants avec une des amies, relate le journal Nord Littoral.
Les deux jeunes femmes n’en étaient pas à leur coup d’essai. A l’audience, elles ont témoigné d’un premier passage réussi en Angleterre deux semaines auparavant. Celui-ci n’avait toutefois pas été assez lucratif en raison d’un partage des gains qu’elles considéraient comme inéquitable. C’est lors de leur deuxième convoi, mieux négocié, qu’elles ont été interpellées près du port de Calais par des garde-frontières anglais, avec deux réfugiés afghans dans le coffre de leur berline. Selon le quotidien nordiste, qui a assisté à leur procès, les deux étudiantes ont avoué les faits et expliqué s’être fait berner par leurs commanditaires.
Au terme de leur procès, les deux jeunes femmes ont écopé d’un an de prison, sans mandat de dépôt. Après avoir rencontré un juge d’application des peines, les deux jeunes femmes pourraient bénéficier d’un aménagement de leur sanction leur évitant l’incarcération. En revanche, la perspective d’une carrière dans la fonction publique semble désormais compromise en raison de l’inscription de la condamnation au casier judiciaire. La préfecture du Val-de-Marne, où elle avait pourtant laissé une bonne impression, devrait mettre un terme à son stage.
Fini la fonction publique à cause d’une inscription au casier … il reste toujours la possibilité d’être élues (dans cette fonction toutes les condamnations sont autorisées …)
On pourrait même écrire que les condamnations sont un préalable nécessaire pour les responsables nationaux. Pas un(e) n’y échappe.
Merci de bien vouloir relire le média Nord Littoral. Et non pas la VdN. C’est bien stipulé, la stagiaire et une amie. Donc 1+1=2.
Veuillez bien lire mes propos. Je n’ai jamais fait allusion, qu’elle ( la stagiaire) ait revendu des documents administratifs. Ou avoir eu le temps de vendre de vrais documents sous le manteau. Et là, c’est le porteur qui utilise des faux.
Voir mon deuxième chapitre et vous verrez plus clair. Alors sincèrement, si une personne en stage, commence à tripoter dans la magouille. Quel avenir…
Il me semble que vous vous êtes emballé un peu trop vite.
Très cordialement.
Je me demande si les commentateurs ci-dessus ont bien lu l’article de la VdN : une seule des jeunes femmes est stagiaire à la préfecture et encore au service de la communication. C’est peu probable qu’elle ait eu les moyens ou la possibilité de vendre des faux papiers.
Bonjour, que de gentillesse, que de gentillesse. Pas de cadeaux à ces deux donzelles avide d’argent.
Cinq années ferme, amende au maxima, déchues droits civiques dix ans. Retrait du permis de conduire à vie, être rayer de la fonction publique à vie. Déjà, que l’on nous brise avec des Cahusac et consorts, qui eux sont des pros du mensonge, du détournement. Condamnés à des peines ” de complaisances”, cela me fait dresser les poils sur les bras. Mais bon en France plus c’est gros, moins on paie.
Ces deux nanas auraient très bien pu d’où elles étaient employées, revendre des Permis de conduire, Cartes d’Identité, Cartes de Séjour, Cartes grises, ect, ect. Belle image de la Fonction Publique. Vrai que toutes et tous sont pas à mettre dans le même panier. Vrai également, qu’il faut des brebis galeuses, pour faire tomber certains réseaux.
Allez demander à l’homme aux trois passeports, qui est au Japon actuellement, ce que Justice veut dire au Pays du Soleil Levant. Que nos dirigeants ne font pas de transactions pour le rapatrier. il est bien où il est. Déchu de son parachute doré, la vingtaine de millions, qPu’il crève.
Alors avis aux futures Fonctionnaires, voila se que je prédirai à ceux et celles, qui franchiraient la ligne blanche.
Très cordialement.
Un an de prison (avec possibilité d’aménagement) pour des passeuses : ce n’est pas cher payé
Exploiter la misère moyennant finance mériterait des sanctions plus fermes (récidive)
La préfecture devait mettre terme à leur stage : un minimum
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