Au lycée Langevin Wallon de Champigny-sur-Marne, la coupe est pleine. Après l’agression d’une enseignante au gaz lacrymogène en plein cours en novembre dernier, qui avait provoqué une grosse crise de ras-le-bol avec droit de retrait, deux nouveaux gazages ont eu lieu vendredi dernier, à une heure d’intervalle.
A 15 heures puis à 16 heures ce vendredi, de nouveaux jets de gaz lacrymogène sont intervenus dans les couloirs du lycée, provoquant l’évacuation de l’établissement par sa proviseure. Ce lundi, la direction a maintenu l’établissement fermé après la découverte qu’un élève exclus définitivement du lycée, s’était introduit dans l’établissement le vendredi. Ce mardi et ce mercredi matin, c’est l’équipe enseignante qui a pris le relais, alors qu’une explication n’avait été apportée concernant cette intrusion et les circonstances des gazages de vendredi. “N’importe qui peut entrer dans l’établissement avec n’importe quoi dans les mains! Nous avons réclamé des mesures en novembre mais rien ne s’est passé, on nous balade! En plus, la collègue qui s’était faite asperger de gaz lacrymogène en novembre avait justement repris ce vendredi” s’agace Jean-Matthias Fleury, enseignant et secrétaire du Snes- Fsu. La majorité de l’équipe enseignante, qui a reconduit le retrait ce mercredi matin, demande un entretien d’urgence avec le rectorat.
il s’en fou, ce qui l’intéresse se sont les élections, il croit récupérer des voix avec des actions comme celle là ! mais laisse une ville mal gérée
et il en penses quoi Fautré au lieu de distribuer nos impots aux grévistes
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