Demande d’explications du ministre de l’Intérieur, manifestation, pétition, mise en exergue sur Cnews… A Cachan, le clash sur l’armement létal de la police municipale lors du conseil du 30 septembre a pris des allures d’affaire d’Etat, au grand dam de la commune qui aimerait bien calmer le jeu. Rappel du contexte.
La suite de cet article est réservée aux abonnés !
Si vous êtes abonné cliquez ici pour vous connecter.
Si vous êtes déjà abonné et connecté à votre compte, pensez à recharger la page avec Ctrl+F5 ou à vider le cache de votre navigateur pour accéder à l’intégralité de l’article (ou cliquez ici).
La plupart de nos articles sont accessibles gratuitement afin de pouvoir être lus par tous.
Cependant l’information a un coût, et nous réservons donc certains articles ou parties d’articles à nos abonnés payants. Vous pouvez souscrire un abonnement individuel en quelques clics ici.
Il vous donnera immédiatement accès à tous nos articles et contenus réservés aux abonnés, et à tous nos autres articles sans limitation.
La maire a réagi longtemps (en fin de conseil) après la provocation, suite à une nouvelle interpellation d’un groupe d’opposition. Bien poussif, comme réactivité.
Mais l’élu LFI faisait-il une provocation, ou disait-il ce qu’il pense ? Indice : il ne s’excuse même pas.
Je croyais que le rôle d’un conseiller municipal était de veiller au bien-être de l’ensemble de la population et de collaborer avec ses agents territoriaux.
Je ne savais pas que la Police Municipale garante de la sécurité et de la tranquillité publique devait aussi lutter contre les agressions venant de l’intérieur de son institution.
Je croyais que le rôle du premier conseiller municipal était de maîtriser les débats et de recadrer ses troupes en cas de dérapage.
Bon courage à la Police Municipale de Cachan isolée au milieu de sa propre famille.
N'envoyez que des photos que vous avez prises vous-même, ou libres de tout droit. Les photos sont publiées sous votre responsabilité.