Suite à la rixe du 8 mars dernier à Champigny-sur-Marne, élus et société civile se sont mobilisés les deux weekends derniers pour condamner les violences entre jeunes.
Ce dimanche, environ 200 personnes se sont retrouvées sur le parvis de l’hôtel de ville de Champigny-sur-Marne. Ils ont arpenté les rues du centre-ville derrière une bannière sur laquelle avait été inscrit le mot d’ordre de ce rassemblement “Champigny ensemble, contre la violence”. Le président du conseil départemental du Val-de-Marne, Christian Favier, s’est joint au cortège. Des représentants de familles des adolescents impliquées dans la rixe du 8 mars dernier ont pris la parole à tour de rôle. “Les parents sont souvent stéréotypés comme étant démissionnaires mais non, cela peut arriver à tout le monde. Comme beaucoup d’autres, les parents agissent dans la ville à travers les associations, dans la vie civile en travaillant, mais surtout dans la vie de leurs enfants en tentant de leur inculquer des valeurs et en faisant le maximum pour qu’ils aient un avenir. Et malgré cela, comme beaucoup d’autres parents, ils se retrouvent dans une situation avec des enfants ayant subi une violence démesurée. Il est temps que tous ces jeunes mesurent les conséquences de leurs actes, d’une violence inouïe. Lorsque vous prenez une arme, en prenant le risque d’ôter la vie a quelqu’un, c’est tout une famille que vous rendez coupable d’actes aussi violents. Prenez-en conscience. On a souvent tendance à cibler les quartiers mais ces faits peuvent arriver dans n’importe quel milieu. Nous appelons à l’apaisement, en espérant que des actions seront mise en place pour recréer du lien”, s’est exprimée la grande sœur de l’un des jeunes grièvement blessés.
Le samedi précédent, la municipalité avait organisé une rencontre à l’intérieur de la mairie pour permettre aux familles de prendre la parole. A cette occasion des pères, mères, frères et sœurs avaient pu exprimer leur réprobation des actes de violence. Le maire Laurent Jeanne, et la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse s’étaient également exprimés à cette occasion.
Le communisme a fait des dégâts considérables depuis trente ans, maintenant on les retrouve dans les beaux quartiers tranquilles du Plessis-Trévise, pendant qu’ils continuent leur chanson anticapitaliste mais n’omettant pas de garder leur argent à la nef, ils sont obsédés par l’argent et refusent même de travailler à l’Éducation nationale qu’ils idolâtrent pourtant, parce qu’ils sont mal payés, j’ai halluciné lorsque je rencontrai dans ces beaux quartiers du Plessis un “prosélyte” communiste, qui me faisait à moi qui habite les Mordacs, il ne le savait pas, la moral, tenez-vous bien, accrochez-vous, voilà ce qu’ils pensent des gens qui habitent les quartiers; que ce sont des gens qui sont souvent dealeurs et des gens qui touchent les allocs, je n’en revenais pas ! Voilà le fond de la pensée d’un communiste quand lui est dans les beaux quartiers et que vous mesdames et messieurs vous ramez dans les quartiers sensibles ! Dehors les communistes hypocrites
Champigny mobilisée? C’est ce qu’on appelle avoir le sens des proportions et il suffit de regarder la photo pour conclure que l’on est très loin du compte….
En fait, il s’agit tout simplement d’une récupération scandaleuse d’un drame humain à des fin partisanes et il faut le dire, électoralistes, Comme cela s’est pratiqué à Champigny pendant des dizaines d’années…
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