Au lendemain de la présentation par le premier ministre Jean Castex de sa programmation de construction de prisons, confirmant le projet de 800 places à Noiseau, de nombreux élus locaux ont manifesté leur mécontentement et annoncé qu’ils comptaient poursuivre leur mobilisation .
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Tout le monde veut que la justice soit plus sévère et emprisonne plus de délinquants. Mais personne ne veut de prison dans sa commune!
Ni prison ni pseudo “agroquartier pipeau” ni projet alternatif .
Cette belle terre du Val de Marne appartient à nos enfants.
Comme ils sont moins stupides que nous ils y feront de l’agriculture biologique et du maraîchage biologique
Ils savent eux, que l’avenir est au local et que le béton ne nourrit pas.
Objectivement, quand on observe l’ancien site de France Télécom sur Google Earth, on constate qu’il est situé à 1 km des habitations, que c’est un ancien site bâti et non un site naturel, et qu’il n’est en rien comparable à la prison de la Santé à Paris, totalement insérée dans un quartier d’habitations, séparée de celles ci par une rue de 7 m sur trois côtés.
Les parkings et autres annexes seront loin de cette petite ville, et le seul problème pourrait être la circulation sur le carrefour de la N4.
Il n’y a pas beaucoup de sites comparables dans la proche banlieue parisienne.
Du calme …
Il faudrait peut être que les places de prison soient comptabilisées parmi les logements sociaux. Dans cette hypothèse, Noiseau dépasserait le quota requis par la loi.
Si il y a des sites volontaires, effectivement je ne vois pas pourquoi ils s’acharnent sur Noiseau. Il va falloir se mobiliser énergiquement et en nombre. Ras le bol de ces décisions imposées..
1. En effet on parte d’arrêter l’artificialisation des sols et, comme le dit le président du conseil départemental du Val-de-Marne, Christian Favier, “Les deux terrains ciblés laissent présager la destruction de terres agricoles, pourtant rares dans la petite couronne parisienne”.
Je propose d’utiliser des zones commerciales ou autres abandonnées.
2. Il est important de bien gérer en concertation les sujets même si ça prend plus de temps.
3. Quelques soient les projets soit disant écolos ou pas, il ne faut pas utiliser de terre agricole pour les réaliser.
Le jour où nous seront en crise, ce n’est pas le béton qui va nous nourrir.
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