Des délais de près d’un an pour statuer sur une pension alimentaire ou un droit de visite, de huit mois pour une première audience de divorce… Inacceptable au regard des situations parfois paroxystiques vécues par les familles. Ce mardi, les professionnels de justice ont donné de la voix pour dénoncer la misère des moyens qui explique ces délais colossaux, à l’appel des barreaux d’Île-de-France. Reportage au tribunal de Créteil.
La suite de cet article est réservée aux abonnés !
Si vous êtes abonné cliquez ici pour vous connecter.
Si vous êtes déjà abonné et connecté à votre compte, pensez à recharger la page avec Ctrl+F5 ou à vider le cache de votre navigateur pour accéder à l’intégralité de l’article (ou cliquez ici).
La plupart de nos articles sont accessibles gratuitement afin de pouvoir être lus par tous.
Cependant l’information a un coût, et nous réservons donc certains articles ou parties d’articles à nos abonnés payants. Vous pouvez souscrire un abonnement individuel en quelques clics ici.
Il vous donnera immédiatement accès à tous nos articles et contenus réservés aux abonnés, et à tous nos autres articles sans limitation.
L'espace commentaire de cet article est clos.