Difficile de se représenter comment le futur métro périphérique Grand Paris Express et les prolongements de lignes existantes vont changer la vie quotidienne et rapprocher des villes de banlieue. Une révolution qui a un coût de fonctionnement, au-delà de l’investissement dans les infrastructures. En bref, il va falloir trouver chaque année 1 milliard d’euros de recettes, en plus de celles projetées, à partir de 2031. Une petite bombe à retardement.
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