Alors que les établissements hospitaliers et laboratoires ont développé massivement leurs propres outils numériques de suivi médical, les tentatives de plate-forme publique d’espaces patients-soignants peinent à mobiliser. Rattraper ce retard est tout l’enjeu de Mon espace santé, nouveau carnet de santé numérique proposé par l’Assurance maladie, qui a essayé de tirer les leçons des échecs ou semi-échecs précédents. Le point en Val-de-Marne.
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J’ai ouvert mon espace de santé. Je suis très, très loin de l’illettrisme numérique mais c’est inutilisable : il me fallait entrer, un par un, tous les médicaments que je reçois, et j(en reçois hélas beaucoup. J’ai renoncé.
J’ai passé un scanner et une radiographie dans un centre de santé. J’ai du transmettre le CD (scanner) à mon médecin à l’AP-HP, amener la radiographie à mon spécialiste.
Bref, cela fonctionnera le jour où tous les professionnels de santé y auront automatiquement accès sans démarche ni temps de travail supplémentaire.
En tant qu’ancien informaticien je peux donc tranquillement dire que le travail est loin d’être achevé. Il aurait été préférable que retarder son ouverture que de présenter un travail inachevé.
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