Dans un rapport publié ce jeudi 17 février, la Cour des comptes se penche sur la Semmaris, société qui exploite le MIN de Rungis et dont l’Etat détient encore un tiers des parts. La Cour met en garde sur le statut fiscalement et comptablement un peu flou des terrains gérés par la société, et, tout en reconnaissant le savoir-faire de l’entreprise, s’interroge sur ses choix stratégiques pour rayonner au-delà de l’Ile-de-France. Les veilleurs des deniers publics prônent une réactualisation des objectifs de l’Etat dans cette société. Ils saluent en revanche sans réserve la continuité des missions assurée par le marché durant la crise sanitaire.
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