Deux actes de vandalisme en un mois pour la permanence du député Mathieu Lefèvre (Renaissance). Entre ce jeudi soir et vendredi matin, des graffitis ont été tagués sur la devanture vitrée, le député a déposé plainte. Le local du député Gouffier Valente (Renaissance) a Vincennes a subi un sort similaire.
Quelques sigles anars, “60 max“, référence à l’âge de départ à la retraite et “dictature fraîche”, ont été inscrits sur le mur extérieur de la permanence du député Lefèvre (Renaissance) au Perreux-sur-Marne. Ce local inauguré il y a deux mois sur l’avenue du Général-de-Gaulle, arbore sur sa devanture vitrée une grande photographie du parlementaire à l’Assemblée nationale. Une façon pour le néo-député de se faire connaître des habitants de la cinquième circonscription du Val-de-Marne (Nogent-sur-Marne, Le Perreux-sur-Marne, Bry-sur-Marne et Champigny-sur-Marne), mais qui en fait aussi une cible de choix pour les opposants au gouvernement.
Le 17 mars dernier, plusieurs autocollants contre le projet de loi sur la réforme des retraites sont venus recouvrir le visage de l’élu. Un regain de tension avait suivi l’annonce par la première ministre Elisabeth Borne du recours au 49.3 pour adopter le texte controversé. “Un projectile est également venu heurter la vitre. Nous n’avons pas pu identifier de quoi il s’agissait mais elle en porte encore la marque et le bruit était impressionnant. Il est question de la remplacer. Une plainte avait d’ailleurs été déposée“, explique-t-on au cabinet du député, souvent sur les plateaux de télévision pour défendre la majorité présidentielle. Au même moment, la permanence du député Guillaume Gouffier Valente (Renaissance) à Vincennes, avait été taguée de l’inscription “déni de démocratie” et d’un pendu.
“Les députés Renaissance n’ont pas vocation à se cacher. Ces tentatives d’intimidation ne changeront pas sa façon d’agir. À l’approche du 1er mai, le sujet des retraites reste assez prégnant mais les parlementaires se projettent désormais sur d’autres sujets comme le pouvoir d’achat des Français”, défend le collaborateur de Mathieu Lefèvre.
Un peu plus tard, l’entourage du député Guillaume Gouffier Valente a signalé des dégradations sur sa permanence de Vincennes. Un trombone a été utilisé pour bourrer la serrure et une mention ordurière a été taguée. “Ces dégradations ne sont pas qu’une simple agression matérielle, elles sont aussi une attaque directe envers nos institutions et notre démocratie. Elles sont inacceptables. La porte de ma permanence est toujours ouverte à celles et ceux qui veulent échanger et débattre”, réagit l’élu.
paradoxalement le fait de cibler des elus avec un mandat national est un retournement
en effet, les élus de la majorité font l’objet de diverses opérations , elle sont orientés sur des députés au sein de leur circonscription avec sur des communes de droite comme de gauche.
or, antérieurement les attaques, agressions concernaient les élus locaux cririquer pour leur sifficulté a aider la population : logement social , emplois, subvention, local, aide sociale autres.
cat , l’état au fil du temps des évènements de l’eau a raboter progressivement les moyens des collectivités locales par le biais de smodification des participations fonancieres dotations autres
de plus, les fonctionnaires d’état faisaient l’ogjet d’agression physique : enseignants policiers autres
en conséquence, ce retournement de situation est un indicateur qui indique que la responsabilité de la situation est considéré pour la population au niveau de l’état et de ses responsables, de la majorité du président de la république.
et non des élus locaux.
surtout, le role des journalistes dans les médias devient ambigu :
autrefois soutien et relai de la communication gouvernementale
ils deviennent plus nuancés , mais pas plus.
la surprise est le retour de journalistes de la période giscardienne
et de leur famille dans nos écrans et pourtant ils ont l’expérience
de la fin du giscardisme……
le couple pouvoir national et pouvoir médiatique semble s user
et se discréditer mais tient bon la barre du bateau en gardant
le cap quoi qu il en coute.
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