Le scénario à la Baron noir se poursuit de plus belle à gauche en Val-de-Marne, à quelques mois des sénatoriales. Deux membres de la liste PS se sont mis en retrait ce vendredi 5 mai. Ils protestent contre l’impossibilité de faire l’union faute de promouvoir une candidate femme. En parallèle, un autre élu socialiste, qui avait présenté une candidature minoritaire, prépare une liste dissidente, misant sur la division au PCF et chez EELV. Ambiance.
La suite de cet article est réservée aux abonnés !
Si vous êtes abonné cliquez ici pour vous connecter.
Si vous êtes déjà abonné et connecté à votre compte, pensez à recharger la page avec Ctrl+F5 ou à vider le cache de votre navigateur pour accéder à l’intégralité de l’article (ou cliquez ici).
La plupart de nos articles sont accessibles gratuitement afin de pouvoir être lus par tous.
Cependant l’information a un coût, et nous réservons donc certains articles ou parties d’articles à nos abonnés payants. Vous pouvez souscrire un abonnement individuel en quelques clics ici.
Il vous donnera immédiatement accès à tous nos articles et contenus réservés aux abonnés, et à tous nos autres articles sans limitation.
“Le Sénat est une anomalie démocratique” (Lionel Jospin, PS). Une 2e chambre est certes utile pour réparer des bourdes de l’Assemblée, mais il faut remplacer cette cuisine électorale saumâtre par une élection directe.
Les élus municipaux (grands électeurs aux sénatoriales) sont une représentation massivement biaisée de l’électorat, du fait de la prime de 50% à la liste en tête aux municipales. Et puis les élus municipaux qui votent pour ajouter des grands électeurs, c’est bricolage et bidouillage.
L'espace commentaire de cet article est clos.