L’ancien président du conseil départemental du Val-de-Marne, Christian Favier, a été condamné ce mercredi à Paris à 10 000 euros d’amende en raison de l’emploi d’assistants d’élus au sein de la collectivité entre 2011 et 2017.
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Remarque générale : si en France la justice condamne des “affaires” (illégales) c’est qu’elle fait son travail, même si elle se hâte lentement pour cause de moyens et effectifs limités, de procédures complexes, etc.
La vraie question où on attend les politiques est celle des moyens de la justice française, pour mener à bien ses missions. Justice pénale, mais aussi justice civile, tribunal administratif. Plutôt que juste commenter les procès des adversaires.
Que dirait-on s’il n’y avait aucune “affaire” en justice ? Que tout le monde est propre ? Ou bien que la justice est aux ordres, comme dans les dictatures ?
l’accumulation des affaires au fil du temps, de l’eau , des événements discrédite l’ensemble de la classe politique , c’est aussi un outil pour discréditer l’autre électoralement, et cela marche.
le bilan de sarkosy est la difficulté financiére d un parti politique d un département 92
des affaires judiciaires médiatisées
mais la différence des scandales de droite est qu ils sont moins pardonnés que les scandales de gauche qui sont vite oubliés.
l’affaire de droite discrédite plus la droite que l’affaire de gauche discrédite la gauche.
en conséquence, il faut s’attendre a des nouvelles affaires une forme de juridicisation de la vie politique pour discréditer la droite
et pourtant, le vrai scandale est d’avoir creuser l’endettement public sans s’arreter
sans souci des conséquences individuelles et collectives pour la population.
cela risque de discréditer plus durablement et profondément la gauche
de voit son électorat se réfugier dans l’abstention , se détourner , se révolter.
en continuant de creuser les déficits dans la minorité ou la majorité
nous retrouvons cette meme attitude des frondeurs dans la gauche actuelle
l’espoir dans le soutien de la jeunesse pour reconquérir le pouvoir risque de ne pas etre au rendez vous, la désaffection est profonde et durable.
certes, il y a lé gestion du temps pour oublier le passé et revenir avec le sourire
mais cela est ephémère
cohabitation sous mitterrand un de meme sous le deuxieme mandat
absence au deuxieme tour de jospin ……
difficultés de hollande…..
nous avons deux mandats macron avec maintenant un gouvernement borne
composé d’ancien du ps trés actifs sur la réforme des retraites autres….
les scandales vont revenir avec un effet rabot une usure du pouvoir
un discrédit de la classe politique nationale et meme locale
les résultats électoraux intermédiaires dans les pays européens devraient
inciter a réfléchir , a etre prudent.
Heureusement que toute cette mafia a été éliminée aux dernières départementales !
Mafia ? de quel côté ?
Juillet 1996 : Alain Carignon, ancien ministre de droite délégué à l’environnement
Peine prononcée : 5 ans de prison dont 4 ferme pour abus de biens sociaux, corruption, et subordination de témoin
Janvier 1996 : Michel Noir, secrétaire national du RPR en 1979
Peine prononcée : 18 mois de prison avec sursis et 5 ans d’inéligibilité pour recel d’abus de biens sociaux dans l’affaire Pierre Botton
1998 : Jacques Médecin, secrétaire d’État au Tourisme sous Giscard
Peine prononcée : 2 ans de prison pour fraude fiscale.
Juillet 2004 : Michel Gillibert, ancien secrétaire d’État aux Handicapés sous Chirac et Raffarin
Peine prononcée : Trois ans d’emprisonnement avec sursis, 20 000 euros d’amende, 5 ans d’inéligibilité et interdiction de voter.
Décembre 2004 : Alain Juppé, ancien Premier ministre (toujours de droite…)
Peine prononcée : 14 mois de prison avec sursis et 10 ans inéligibilité
2005 : Michel MOUILLOT , Ancien maire UDF de Cannes
Peine prononcée : Condamné en 2005 à six ans de prison ferme , Il est reconnu coupable de corruption dans le dossier des casinos de la ville.
Novembre 2006 : Michel Roussin, ancien ministre de la Coopération et bras droit de Jacques Chirac
Peine prononcée : 4 ans de prison avec sursis, 50 000 euros d’amende et cinq ans de privation des droits civiques, civils et familiaux
Mai 2008 : Pierre Bédier, ancien secrétaire d’État chargé des Programmes immobiliers de la Justice de Sarkosy
Peine prononcée : 18 mois de prison avec sursis, 6 années d’inéligibilité
Avril 2010 : Charles Pasqua, ancien ministre de l’Intérieur de Sarkosy
Peine prononcée : Un an de prison assortie de sursis, en raison de l’âge de Charles Pasqua et des services rendus à la France, a expliqué la Cour de justice de la République.
Mars 2017 : Léon Bertrand, ancien ministre délégué au Tourisme de Jacques Chirac
Peine prononcée : 3 ans de prison ferme
Janvier 2017 : Claude Guéant, ancien ministre de Sarkosy
Peine prononcée : 2 ans de prison dont un an ferme, 75 000 euros d’amende, interdiction d’exercer toute fonction publique pendant 5 ans.
Septembre 2019 : Epoux BALKANY, ancien maire de droite de Levallois
Peine prononcée : Quatre ans de prison ferme pour fraude fiscale, avec incarcération immédiate pour lui, trois ans de prison, sans mandat de dépôt pour elle. Les deux élus se voient également infliger une peine dix ans d’inéligibilité.
Juin 2020 : François FILLON , ancien premier ministre de droite
Peine prononcée : Cinq ans de prison dont deux ferme pour détournement de fonds publics dans l’affaire des emplois fictifs de son épouse
Mars 2021 : François Léotard, président du Parti Républicain, puis de l’UDF de 1996 à 1998
Peine prononcée : Le 30 mai 2013, 3 750 euros d’amende pour outrage à agents publics dans l’exercice de leurs fonctions et en mars 2021, deux ans de prison avec sursis et 100 000 euros d’amende.
2021 : Georges TRON , secrétaire d’état chargé de la fonction publique sous Fillon,
Peine prononcée : cinq ans d’emprisonnement, dont trois fermes, assortis d’une peine d’inéligibilité de six ans pour agressions sexuelles et viols
Mars 2021 : Nicolas SARKOSY, ancien Président de la république de droite
sera à nouveau au tribunal en novembre 2023 pour le procès en appel de l’affaire Bygmalion, concernant le financement de sa campagne présidentielle de 2012. Il avait été condamné en septembre 2021 en première instance à un an de prison ferme, le tribunal correctionnel de Paris le déclarant coupable de « financement illégal. Dans cette affaire politico-financière, l’UMP aurait mis au point un système de fausses factures avec l’agence Bygmalion
l’argumentation de l’ancien président du conseil départemental du val de marne est représentative de la conséquence d’exercer un mandat d’élu sans avoir de risque de voir sa responsabilité engagé, a part la sanction électorale.
rappelons que avant de devenir président du conseil départemental du conseil départemental du val de marne, Monsieur FAVIER était l’élu responsable du BUDGET.
sous Michel GERMA IL CONNAISSAIT les rouages et le fonctionnement du système.
De plus attendre 15 ans la réaction du controle de la chambre régionale des comptes pour réagir sans prise de conscience en amont du problème conduit a se poser la question des véritables compétences de Monsieur FAVIER
Enfin évoquer une situation similaire chez les ” autres ‘est une contribution au slogan ”tous pourris”.
surtout, rappelons que beaucoup de militant ( e ) s sympathisant ( e ) impliqués le faisaient gratuitement bénévolement pour des valeurs des idées.souvent avec beaucoup de contraintes et de difficultés.en raison de l’histoire de son enfance et de sa famille.
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