Romainville a accueilli la première “Fabrique du TIG” en Seine-Saint-Denis. Objectif : réunir magistrats, collectivités et associations pour promouvoir le travail d’intérêt général comme alternative à l’incarcération. Face à un taux de récidive qui dépassent les 60% dans le cas de sorties sèches après la prison, tout l’enjeu est de favoriser la création de postes pour inciter les juges à prononcer des peines de TIG.
La suite de cet article est réservée aux abonnés !
Si vous êtes abonné cliquez ici pour vous connecter.
Si vous êtes déjà abonné et connecté à votre compte, pensez à recharger la page avec Ctrl+F5 ou à vider le cache de votre navigateur pour accéder à l’intégralité de l’article (ou cliquez ici).
La plupart de nos articles sont accessibles gratuitement afin de pouvoir être lus par tous.
Cependant l’information a un coût, et nous réservons donc certains articles ou parties d’articles à nos abonnés payants. Vous pouvez souscrire un abonnement individuel en quelques clics ici.
Il vous donnera immédiatement accès à tous nos articles et contenus réservés aux abonnés, et à tous nos autres articles sans limitation.
L'espace commentaire de cet article est clos.