Le projet architectural du futur mémorial national des victimes de l’esclavage, prévu pour début 2027 dans les jardins du Trocadéro au pied de la tour Eiffel, a été présenté ce jeudi à Paris par le paysagiste Michel Desvignes et l’architecte Philippe Prost.
“Ce choix du Trocadéro n’est pas neutre car c’est là que fut proclamé et signé en 1948 la Déclaration universelle des droits de l’homme”, a déclaré le ministre des Outre-mer Manuel Valls à l’occasion de la présentation du projet au comité de pilotage du mémorial. “Ériger là ce mémorial, (…) c’est affirmer que la mémoire de l’esclavage n’appelle pas la division mais une volonté de réconciliation.”
Promesse du président de la République Emmanuel Macron à l’occasion du 170e anniversaire de la signature du décret d’abolition de l’esclavage, le 27 avril 2018, le mémorial de plus 4 000 m² prendra la forme d’un jardin intégré au sein des jardins du Trocadéro, ont détaillé au ministère le paysagiste Michel Desvignes et l’architecte Philippe Prost, qui l’ont imaginé.
Les prénoms et noms de 215 000 esclaves
Le jardin sera parcouru par deux chemins principaux, l’un retraçant l’histoire de l’esclavage et de son abolition, et l’autre, “le chemin des Noms”, où seront inscrits les prénoms et noms de 215 000 esclaves affranchis en 1848 dans les territoires ultra-marins, ont détaillé les concepteurs du jardin mémoriel.
“Ile des esclaves sans nom”
Au centre d’une retenue d’eau, une “île des esclaves sans nom” rendra hommage par quatre stèles de lave brute aux quatre millions de victimes de l’esclavage (de 1635 à 1848) dont les noms restent inconnus, ont-ils ajoutés.
“Vous avez arraché des identités à l’oubli. (…) Vous avez rendu une place dans l’Histoire à celles et ceux qu’on avait voulu réduire au silence”, a encore salué Manuel Valls à l’adresse des bénévoles et associatifs qui ont œuvré pendant des décennies à ce travail de recherche et qui lui ont remis la liste des 215 .000 noms, ainsi que 100 000 prénoms seuls. “Notre responsabilité, c’est de réinscrire ces filiations dans la mémoire nationale. C’est de dire avec force que l’esclavage fut un crime contre l’humanité et que la République ne veut ni oublier, ni détourner le regard.”
Le mémorial devrait voir le jour “dans quelques mois” et être inauguré “début 2027”.
Pour la Saint-Barthélémy, massacre de milliers de protestants à Paris par les meutes parisiennes, pendant les guerres de religion, où est le mémorial ?
En ce début des temps modernes, les commanditaires étaient très modernes : personne. Tout le monde fuit toute responsabilité !
Pour les massacres de masse actuels à Gaza, selon le précédent esclavage (abolition), plus que 150 ans pour un mémorial à Paris ? Il sera sans doute avant en banlieue !
Le début du message semble avoir été tronqué :
L’article en question traitait de l’esclavage. Vos vociférations ne changent rien : le plus grand crime de l’histoire de France est bien l’esclavage, et la plus grande honte est la collaboration avec les Nazis, et l’arrestation de familles juives par la police et la gendarmerie française.
Bon … Maintenant c’est le corps du message qui disparait !
Donc :
La saint-Barthelemy est enseignée à l’école, et de nos jours toutes les religions sont autorisées dans le cadre de la laïcité, ce qui semble déplaire à certains : catholiques intégristes, juifs intégristes, musulmans intégristes, tous revendiquant un repli identitaire et attirés par le communautarisme.
En ce qui concerne les crimes commis à Gaza, tout en dénonçant le terrorisme du Hamas, la France s’engage à reconnaitre la Palestine en tant qu’état à l’ONU, et incite les autres pays à le faire, ce qui déplait fortement à Israël qui nous traite, bien entendu, d’antisémites …
L’article en question traitait de l’esclavage. Vos vociférations ne changent rien : le plus grand crime de l’histoire de France est bien l’esclavage, et la plus grande honte est la collaboration avec les Nazis, et l’arrestation de familles juives par la police et la gendarmerie française.
La Saint-Barthélémy est enseignée à l’école, et depuis des décennies toutes les religions sont autorisées en France, dans le cadre de la laïcité; ce qui déplait à certains : catholiques intégristes, juifs intégriste et musulmans intégristes, tous se revendiquant d’un repli identitaire et du communautarisme.
Les crimes commis à Gaza ont entrainé, tardivement, la reconnaissance de la Palestine en tant qu’état, la France étant meneur sur ce thème, ce qui déplait fortement à Israël, qui nous traite bien entendu d’antisémites.
Vous vous sentez mieux après avoir craché sur votre pays?
Vous hurlez avec les loups et ne prenez aucun risque en enfonçant des portes ouvertes…
Reconnaître les fautes du passé pour qu’elles ne se reproduisent pas n’est pas une faute.
Les ignorer c’est cracher sur l’avenir de son pays.
Il était temps ! Mais mieux vaut tard que jamais.
L’esclavage et la collaboration (y compris de la police et de la gendarmerie) avec les Nazis font partie des actes honteux de l’histoire de France.
Pour ce qui est de l’esclavage, il faut quand même rappeler que c’est la Révolution qui a mis fin à l’esclavage, rétabli par Napoléon (il a interdit la traite mais rétabli l’esclavage, dont le taux de reproduction était suffisant), puis définitivement aboli en 1848. Il faut aussi rappeler que les colons de Haïti ont été indemnisés de la perte de leurs esclaves, ce qui a entrainé la ruine du pays …
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