Quatre mois après l’annonce par Stéphane Troussel, le président (PS) du conseil départemental de la Seine-Saint-Denis, du projet de déménager les services centraux au Pulse, à Saint-Denis, deux syndicats ne désarment pas et portent l’affaire devant le tribunal administratif de Montreuil. Derrière le bras de fer juridique, certains salariés dénoncent une réorganisation des conditions de travail en flex office, un contournement de la consultation des élus, voire de la loi sur les marchés publics. Explications.
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La dette du département “Seine-Saint-Denis” est annoncée de 1,6 à 1,9 milliards €, une coproduction gauche 93 (unie ou pas) de PCF en PS.
Même si les agents 93 n’en sont pas les premiers responsables, même si la réduction annoncée des dépenses en bâtiments ne se fait pas sans casse, à ce niveau d’endettement local l’État ne sera pas le sauveur ni les contribuables (lesquels, d’ailleurs ?) là pour payer.
En avant-première, ce qui nous attend en France : trop de gaspillages, trop de promesses et dépenses démagos, trop longtemps, depuis 1981, une majorité de votants l’a voulu, et maintenant faut atterrir et réduire les dépenses.
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